Aujourd’hui est Demain …
Écrire, c’est être libre. On sait tous que la liberté d’expression est un des premiers signes de répression dans les pays totalitaires. Écrire, c’est coucher sur le papier des mots qui prennent vie à chaque instant, c’est faire tourner en boucle des idées pour construire petit à petit un texte, une histoire qui pourra peut être émouvoir …
Parfois, on pense s’être évadé très loin de la réalité, avoir tracé des mots puis les avoir regardés s’effacer … Parfois, on pense que l’on s’est fourvoyé alors on efface doucement avec un peu de regret puis on reprend la plume et l’encre commence à sécher, sur la feuille de papier.
Parfois on touche juste d’un doigt la réalité …
Je n’ai pu retenir un sourire en lisant le commentaire de Robert ce matin … Encore un Matt ! Mon dieu ! Je ne pensais pas que cette espèce existait à foison … Très heureuse, cher Robert, de vous avoir offert un peu de rêve … Ne passez pas à côté de jolies amitiés sous prétexte qu’une Hortense vous tient en laisse, ne renoncez pas à vous battre pour elles, faites de chaque instant un rayon de soleil … La vie est trop courte pour vivre de regrets …
Écrivez votre histoire avec chaque battement de votre cœur afin que votre existence ne soit pas une éternelle routine mais ait un sens … Qui se nomme simplement le bonheur …
Pour votre gouverne, j’ai coupé le commentaire très privé de Robert, qui faisait presque deux pages, où il racontait sa vie en tant que médecin de campagne. Vu qu’il donnait des détails trop personnels, pouvant être reconnu par des patients, je n’ai gardé que le principal. Mais je voulais juste dire que Robert est un homme effectivement comme mon héros, très occupé par sa profession, dévoué à ses malades, à ses enfants, mais un homme qui rentre le soir, tard, et qui au fond se retrouve très seul face à lui, face à ses souvenirs, face à ses erreurs passées. Robert a raconté son coup de cœur pour une voisine, un besoin d’amitié très fort qu’il n’a pu s’offrir, faute de temps, par peur aussi … Je vous livre ses pensées car c’est un peu un appel au secours qu’il nous lance … Ne croyez pas que les gens qui vivent à cent à l’heure, qui côtoient des dizaines de personnes chaque jour, ne sont pas seuls. On peut se retrouver seul au milieu d’une foule, on peut être seul parce qu’une personne nous manque, on peut connaître simplement la solitude parce que l’on n’ose pas avancer vers son rêve !
Ne tournez pas le dos à un sourire, à une main tendue …
Certaines personnes s’interdisent d’être heureux ! Autorisez vous à l’être, à aimer, à partager …
Croyez, comme moi, en vos rêves !
Madame, je voudrais revenir sur le thème du jeu. Je suis sur forum de jeux de rôles et je constate des dérives actuellement rejoignant votre texte ; Certains inscrits vivent leur « « rôle » à l’extérieur. Il est important de bien faire comprendre que le résultat peut être grave. Un couple s’est séparé à cause de ce jeu, Cela fait grave flippé. Un mec est venu bousillé la vie d’un autre mec car il s’est pris pour Superman, justicières temps modernes. C’est bien votre blog. je l’ai mis en ligne. J’aime pas lire mais j’aime votre blog et on apprend plein de trucs sympas. Bravo
Je suis écrivain- poète. Pas fan de roman, désolé mais par contre je suis avec plaisir votre blog que je trouve poétique, plein de douceur, de tendresse, de positivisme. Bravo