( 17 mars, 2014 )

Allez …. motivons nous …

C’est difficile d’ouvrir une porte quand on ne sait pas ce qu’il y a derrière …

Mais encore plus difficile de passer sa vie sans l’ouvrir

Et le pire, tu sais quoi ?

C’est de mourir sans avoir su ce qu’il y avait derrière cette porte..

 

 

Alors … Ouvrez là cette fichue porte ! Même si vous tremblez de peur, même si comme moi, vous êtes pétrifiée en voyant votre nom sur un beau de papier lors d’un salon, même si vous vous dites : non, ils se sont trompés, ce ne peut pas être pour moi … Qui suis-je pour être lue, pour être entendue ? Alors que l’on m’a tant fait savoir il y a un an que je n’étais rien, que je ne valais rien. Mais on ose, on ouvre doucement la porte, et là, on découvre plein de jolis sourires, plein de personnes agréables qui vous complimentent, qui vous confortent dans l’idée que Rouge marche bien, qui vous apportent ce petit plus qui vous fait dire avec certitude :

Une personne peut s’être trompée mais tous ces gens, ils sont trop nombreux, ils croient en moi. Tant de livres vendus pour un premier roman, ce ne peut être juste un hasard. J’ai eu raison d’ouvrir cette porte alors merci, merci mille fois à la vie de m’avoir offert cette jolie chance … Merci à tous ceux qui y ont cru …

 

( 16 mars, 2014 )

Salon de Boissy

Salon du livre de Boissy ! Mon premier salon.. Et bien j’étais impressionnée même si au fond ce  ne fut qu’un tout petit salon.. Beaucoup d’auteurs rencontrés au fil des jours sur Facebook donc très sympa de mettre un visage sur un nom ou sur un post ! Une chaude ambiance :)

Dommage que le soleil ait fait de l’ombre au Salon …

 

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( 13 mars, 2014 )

Du soleil dans le coeur …

Il y a des matins où des commentaires reçus la veille font vraiment du bien ! Surtout quand on est  » un bébé » dans ce mêtier (juste que je ne suis pas autoéditée mais édité chez Edilivre qui ne fait aucune pub)  ! On doute … beaucoup … Merci donc à Sab … et n’hésitez pas à vous procurer son livre !
Aujourd’hui, je laisserais juste un commentaire reçu sur Facebook de Sab Chabine auteur de Cache-Caché Face à Face …
http://www.sab-chabline.fr/2014/12/03/rouge-de-sylvie-grignon/?logout=1
Ce roman me confirme que les auteurs auto-édités valent tout autant d’être lus que les autres, voire même que ce roman-ci en vaut bien d’autres plus renommés.
Et quoi d’autre ?
Que l’auteur n’a pas ménagé sa peine pour nous concocter une intrigue bien ficelée faite, comme il se doit, d’un imbroglio d’évènements qui s’entrecroisent et ce de telle façon que, oui il me faut l’avouer, j’en ai eu le tournis parfois à ne plus savoir qui était qui ni qui faisait quoi, avant que le puzzle ne se reconstitue sous mes yeux petit à petit pendant que les pages défilaient avec rapidité. Le suspense est bien amené. Il m’a prise par surprise à plusieurs reprises et me fait dire que ce polar-ci est réussi.
Pour moi qui ne lit jamais de polar, je dirais que celui-ci m’a plu car il doux et non sanguinolant : pas de tête tranché ni de fusillade à tire-larigot, malgré les meurtres en séries qui s’égrènent. Euh, oui, là je me contredis, vous avez raison. Comment vous expliquez ?…
Il y a bien des meurtres dans ce roman, forcément, sinon ce ne serait pas un polar, mais les meurtres sont décrits sans volonté de choquer le lecteur et cela m’a plu. Voilà, c’est cela ! En somme, ce roman est « bien dosé » selon moi : il contient tous les ingrédients du bon livre qui se laisse lire avec facilité : les meurtres en série s’allient à des histoires d’amour bien amenés, les personnages sont décrits avec justesse et humanité, les phrases s’enchainent avec poésie bien souvent.
Qu’en ai-je retenu dans l’après-coup ?
Que Sylvie Grignon est un auteur plein d’humanité, une femme complète qui nous fait partager son amour de la vie, sa vision large et juste de celle-ci, sa capacité à transcender les épreuves qui, on le devine l’ont touché de près (et ce qu’elle a vécu me paraît effroyable…), son sens de l’amitié, sa sensibilité pleine de sensualité. D’ailleurs, avis aux amateurs d’érotisme, ce roman en contient plus qu’un peu, mais sans aucune vulgarité ni sans excès, mais suffisamment pour mériter d’être lu rien que pour cela.
Pour finir, il me vient tout simplement l’envie de dire à l’auteur qu’elle a bien du talent, plus que certains auteurs plus renommés et que par conséquent je trouve son livre réussi et que  je la bise sur les deux joues. Oui, je me le permets même si je ne la connais pas.
Sinon un autre lien où mon livre est référencé :
http://lalibrairiedesinconnus.blogspot.fr/2014/03/rouge.html#gpluscomments
( 12 mars, 2014 )

rappel … dimanche : salon du livre !

Merci pour votre enthousiasme à tous pour mon défi écriture ! Je prends la température en lisant ce type de littérature …  J’ai l’impression que c’est toujours la même chose !

En attendant, n’oubliez pas Dimanche ! Boissy !!!!!

65 auteurs seront présents et des très connus …. ça fait un peu peur, oui, mais il faut prendre cela comme un jeu ! Après tout, je ne suis pas là pour faire exploser mes ventes, juste pour voir un salon « de l’autre côté du miroir » ….

( 11 mars, 2014 )

Un défi … réalisable ? pas sûr mais …

Citation :  » J’ai une confession à vous faire,  j’ai plusieurs amoureux et ils varient au fil du temps. Tout dépend du roman que je suis en train de dévorer. »

Quoi de plus vrai que l’évasion que l’on peut ressentir en lisant un roman.,

Il y a ceux qui aiment les livres bien prises de tête, qui réfléchissent, qui méditent, qui philosophent, il y a ceux qui lisent pour frissonner, pour se faire peuŕ, pour se coucher en regardant les placards au cas où, et puis il y a celles qui lisent pour tomber amoureuses d’un beau bellâtre, riche, pire milliardaire qui va les faire rêver, fantasmer, s’évader le temps d’une soirée … Il n’y a pas de mauvais livres, de livres cons, il n’y a que des livres qui offrent un moment de plaisir, un instant où le quotidien n’existe plus …

La collection Harlequin est idéale pour offrir ce rêve, simple et rapide … Et bien, c’est décidé ! Un ami m’a lancé le défi ! Tu n’es pas Cap d’écrire un Harlequin  ! Tu ne lis que des polars et tu n’y arriveras Jamais ! JAMAIS ? je déteste ce mot !  Pas cap ? Moi ? Sérieux ? Tu crois ça … Alors vu que BLANC est en relecture et que je ne vais pas me lancer dans le tome trois sans savoir si les lecteurs accrochent sur le tome 2, je vais donc faire une pause Harlequin … Et qui parie que je vais le relever le défi même si c’est un type d’écrits que je ne maitrise pas … Je vais le faire ! Pour le fun, même si je me plante ! Juste pour essayer car vivre vraiment c’est oser ! Et puis parce que j’adore les défis et que je déteste perdre alors là,  l’idée est franchement très rigolote !!!!

Vous êtes prêts ? Qui y croit ? Rendez-vous dans deux mois …

( 10 mars, 2014 )

Evaluer … toute la difficulté …

Je l’ai déjà dit il y a quelques jours, j’ai la mission d’évaluer un manuscrit pour Nouvelles Plumes. J’étais très enthousiaste à cette idée ! Pouvoir aider un jeune auteur, lui donner le coup de pouce qui peut lui faire réaliser son rêve. Joie profonde en recevant le livre broché ! Joie de courte durée … Au bout de 150 pages, il ne se passe toujours rien … Je ne désespère pas et continue ! Me voilà à 300 pages et … Toujours rien …

Et là, je me sens mal, très mal. Qui suis-je pour juger ce livre ? Pour dire qu’il ne vaut rien ? Dois- je y mettre de la poudre aux yeux en me disant que d’autres le liront aussi et auront peut- être aimé ? Simplement parce que je ne m’attendais pas à ce type de roman ?

D’un autre côté, la maison d’édition ne pourra plus me faire confiance si je ne suis pas sincère et honnête ! J’en veux au destin ! Pourquoi ne pas m’avoir permis de plébisciter un roman de haute qualité ? J’aurais aimé faire des éloges, trouver le nouveau best seller … Au lieu de ça … Je me force à lire ce livre ! Et je me demande si je pourrais arriver à la fin ! Si, si ! J’irai jusqu’au bout ! Par respect pour celui qui a écrit car même s’il est vraiment très mauvais, derrière ces pages, il y a un travail énorme, un homme également qui croit en son œuvre… J’espère finir sur un chapitre « espoir » comme j’ai coutume de le dire, un petit plus qui me fera écrire que …

Alors pour Mady qui désespère d’être lue un jour, il y a des raisons pour lesquelles ton livre n’est pas choisi et trouve son point faible. Ensuite, , n’envoie que des tabuscrits. Oublie les éditeurs qui te demandent des manuscrits brochés. Personne ne les lit !

Ensuite, fais le lire avant à des clubs de lecture. C’est ce que j’ai fait pour ROUGE afin de savoir si ce que tu as retracé présente un intérêt ! Et surtout, n’hésite pas à recommencer, à effacer, à rayer, à reprendre. Un livre ne s’écrit pas en un jour. Parfois l’inspiration n’est pas là. Ce n’est pas un drame ! On passe alors à autre chose ! Puis on y revient plus tard …

Écris des morceaux de vie, des brèves de mystère, des descriptions de personnages que tu croiseras dans la rue ou ailleurs. Ne désespère pas mais dis toi que si ton livre a été refusé, c’est peut être qu’il te faut remanier, rectifier certains passages !

Courage !

Un bon manuscrit sera toujours choisi ….

 

( 9 mars, 2014 )

La liberté, c’est de ne pas fuir ….

J’ai entendu hier cette superbe citation dans une série télé (et oui, les séries ne sont pas toujours aussi stupides que l’on peut le penser)

Citation criante de vérité, tellement vraie.

Combien de fois avons-nous fui devant un problème, nous retrouvant ensuite menottés à une destiné qui au final n’était peut-être celle trace à la base ?

Une personne m’a rapporté dernièrement une histoire très drôle où le monsieur s’est enlisé des années dans un mensonge gros comme une maison afin de ne pas avoir à affronter l’autre personne. Il a fui, fui, jusqu’au jour où trente ans après, son mensonge, pourtant oublié, l’a rattrapé et laminé de plein fouet. Je pense très franchement que les conséquences sont pires aujourd’hui qu’il y a trente ans …

Alors chers lecteurs, affrontons nos peurs, regardons en face nos ennemis et restons ferme sur nos positions.

La liberté est la seule chose qui ne doit jamais nous être prise …

( 8 mars, 2014 )

Fatigue d’une semaine chargée …

Après une semaine très dense côté travail, je vais attaquer ma relecture complète afin de pouvoir ensuite passer à la correction orthographique complète. Je reçois beaucoup de demandes de mes lecteurs voulant la suite … Mais pas de précipitation ! Écrire un livre n’est pas la même chose que taper une lettre ou un texte ! Il faut y mettre un peu plus que juste son inspiration, il faut y mettre son âme … Et pour ça, il faut être très en forme !!!!

Je n’écrirais pas plus aujourd’hui car je suis très fatiguée mais je vous promets que je m’attèle à cette lourde tache … Bon Samedi à tous

( 7 mars, 2014 )

La journée de la femme

Certains de diront : encore une journée histoire de ! A quoi sert-il de célébrer une journée pour la femme alors qu’elle doit être célébrée chaque jour ..

Seulement voilà ! La femme n’est pas respectée chaque jour dans de nombreux endroits du monde. Certaines sont violées, vendues à l’âge de la puberté, d’autres battues par des époux trop violents, d’autres encore sont détruites par des hommes exerçant sur elles un pouvoir psychologique, une souffrance morale pouvant les conduire comme notre amie Valou à la mort, d’autres subiront le harcèlement d’hommes trop sûrs d’eux, de leur charme et du pouvoir que détient leur porte monnaie …

Il est important que la femme ait sa journée à elle !

De plus, qui n’a pas oublié qu’au début du XX siècle, voir jusqu’au milieu, la femme n’était majeure qu’à 21 ans et devait demander à son père si son amoureux convenait. Ou bien que la femme devait demander la signature du mari pour faire un chèque (même si c’est elle qui gagnait l’argent !) et on ne parlera même pas du droit de vote qui était interdit aux femmes sur le critère qu’elles étaient inférieures aux hommes !

Alors en ce 7 Mars, je souhaite à toutes les femmes de la Terre, une très belle journée de la Femme !

( 6 mars, 2014 )

Ecrire …

Une fois encore je reçois des questions sur  » écrire » .. Pourquoi deux styles dans ROUGE etc

Je reprends rapidement : J’ai commencé ROUGE il y a longtemps. J’avais fait deux nouveles sur ce sujet dont une sur mon fils Christophe. J’ai commencé mon roman durant l’été 2010 parce que je lisais beaucoup et que l’envie de créer m’a pris au ventre … Suite à une attaque informatique, je me suis fait chipé mes 7 premiers chapitres. Alors, j’ai du recommencer, autrement, sans conviction car tout reprendre, c’est déprimant ! ( OK je n’avais qu’à bien sauvegarder ! je suis d’accord ! donc passons … la leçon fut bénéfique !). Des mois après, j’ai repris ROUGE quand Antoine apparaît dans l’histoire .. d’où une cassure de style très nette ! J’aurais pu tout réécrire, oui mais j’avais la flemme !!!!! Pour ceux qui s’interrogent, BLANC n’a qu’un style et c’est celui que je me suis trouvée en fin de roman …

 

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(image prise sur le net … superbe non ?)

Réponse à Fabienne …

La douleur ça te fait souffrir mais ça ne te détruit pas. Le problème, c’est la solitude engendrée par la douleur. Elle te tue à petits feux, te coupe du monde et détruit ce qu’il y a de meilleur en toi.

J’ai envie de vous dire, si un con est si con, c’est simplement par qu’il est rongé à l’intérieur par une douleur qui le fait se renfermer sur lui, qui le ronge, qui le dévore, qui le transforme en monstre. Pour moins souffrir, il se sent obligé de montrer les crocs, de faire voir qu’il est fort, qu’il est le meilleur … Il va s’enliser dans sa bêtise jusqu’à s’y noyer.

Pourquoi, vous, sûrement si différente, vous vous attachez à un tel monstre jusqu’à en souffrir ? C’est plus compliqué, lié à votre histoire, à votre recherche de l’absolu …

J’ai tendance également à penser que rien n’est un hasard. Nous rencontrons régulièrement des coïncidences de vie, des éléments qui s’emboîtent si bien et que l’on en vient à se demander pourquoi on ne s’en est pas aperçu avant … Ce sont les situations en chaîne, les catastrophes que l’on a pu vivre qui ne tiennent que sur un misérable petit élément T qui ,lui, pourtant a une importance considérable car si ce premier grain de sable n’avait été, le résultat Y que nous sommes en train de réaliser, de vivre, serait totalement différent, totalement autre ..

Alors Fabienne, pourquoi cette rencontre avec un con ? Parce que vous avez quelque chose à accomplir avec lui, quelque chose à comprendre. Cela va peut être vous prendre un mois, un an, dix ans .. Peu importe ! L’important est le résultat de cette rencontre … Pourquoi cet attachement ? Parce qu’il vous reste quelque chose à apprendre, à comprendre .. Le jour où il ne restera plus rien … Vous serez libre et vous aurez accompli quelque chose de très important …

Ne laissons pascal solitude engendrée par la douleur pourrir nos vies .. Ouvrons nous …même aux cons …

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