La vie est-elle une bouffonnerie
Avouons-le, la vie est une grande toile d’araignée où nous, pauvres humains, nous nous débattons sans cesse pour ne pas nous faire dévorer. La vie, c’est reculer pour mieux avancer, partir pour mieux revenir …
Quelqu’un m’a dit un jour : Nous ne sommes que des pions sur le grand échiquier de la vie. Si on est fort, plus fort que Dieu, ce sera nous qui ferons bouger ces pions, et les verrons tomber …
Pour faire un clin d’œil à ce fan de jeux, j’ai choisi pour un des thèmes de BLEU les échecs auquels je l’avoue, je ne pige rien ! Mais dans un livre, c’est très sympa à utiliser ! Par contre vous êtes-vous posé la question : jeu d’échec ? Pourquoi la mot échec ?
Peu importe en fait, ce qui doit être retenu, c’est que chaque pas est un échec potentiel et que nous devons donc tout faire pour ne pas le rater.
Alors, que vous soyez ministres ou simples ouvriers, hétéro ou homo, blancs ou noirs, vous restez des hommes. Prenez garde aux marches que vous aurez à grimper, ne jouez pas des pions que vous ne saurez maîtriser et surtout ne faites pas de mal pour vous amuser.
En clair, assumez vos actes, vos choix !
Ne jouez pas un rôle et ne poussez pas quelqu’un à un jouer un … Restez vous-même …
Je pense toujours à ce que certains jeux peuvent faire, jeu débuté juste afin de faire rire l’assemblée ou pour se croire plus fort que les autres, jeu où vous vous retrouvez englué, sans en avoir donné votre accord, dans une immense toile d’araignée, où vous vous apercevez que tout ce en quoi vous croyez s’avère faux, que tout a été programmé ne le fut que par bêtise, par jeu, jeu où vous avez laissé un peu de votre âme pour avoir cru en quelque chose qui n’était qu’irréalité. Alors vous qui me lisez, retenez ceci : on ne doit pas jouer avec les sentiments des autres quelqu’ils soient, ni avec la vie. On ne doit à aucun moment se croire au-dessus des lois, au-dessus des règles simplement parce que prenant la vie des autres n’est pas un jeu … Nul n’a le droit de tirer les ficelles, même si c’est pour de bonnes intentions.
Un jeu peut faire mal. Un jeu peut détruite. Un jeu peut anéantir.
Vivez, chers lecteurs, vivez vos vies mais ne jouez pas avec celle des autres …
La vie n’est pas une bouffonnerie …
J’ai pleuré en lisant vos textes.je suis aussi une mamange et je vous suis sur FB aussi
Je suis admirative dépressive je n’ai goût à rien
Quand je vois votre parcours le chemin que vous avez mener je suis bouleverser c’est fabuleux
Jusqu’à devenir écrivain et ainsi aider les autres
Vous arrive t il de penser à vous parfois ?
On a l impression que vous donnez tout aux autres
J’aimerais vous ressembler
Et quand je vois que y a des gens qui vous ont fait mal Comment ont ils osé ? Si c’était eux aussi des papanges ou des mamanges ils reviendraient vous dire pardon
Qui peut nous juger nous qui avons perdu ce qui comptait le plus ?
Continuez à parler car je m’accroche à vos mots et merci
Pour répondre à votre question
Le terme échec et mat vient de l’arabe as-sāh māt(a) qui se traduit par « le roi est mort », expression issue du persan sāh māta, c’est-à-dire « le roi est mort »[2]. Cependant, selon The Barnhart Dictionary of Etymology, il y aurait eu une confusion entre le persan mata « mort » et le persan mat « étonné ». Shah mat signifierait alors plutôt « le roi est sans défense ». Cette dernière étymologie correspondrait mieux au jeu, puisque le roi est la seule pièce à ne pas être « tuée » sur l’échiquier, mais à se rendre (le joueur couche la pièce) lorsque la partie est perdue[3]
Donc voilà pourquoi on met echec dans ce jeu
À quoi sert d’espérer quand on ne croit plus en rien ?
Divin ! Je viens enfin de finir ton livre Sylvie ! C’est un chef d’œuvre ! Tu as une nouvelle Fan ! J’adore ! Un pur bonheur ! BRAVO
Superbe analyse !