( 14 août, 2014 )
Nos erreurs que nous écrivons sur la toile de nos vies …
Nous faisons parfois des erreurs tout simplement parce qu’au moment où nous les faisons, cela ne semble pas des erreurs.
J’ai entendu cette phrase prononcée dans une série télé. Toute la magie de la vie réside dans cette phrase. L’homme ne peut que faire des erreurs car au final il ne sait pas que c’est une erreur. Il le découvre que bien plus tard. La question qui me vient automatiquement à l’esprit est la suivante : si l’homme, par un hasard que lui offrira la vie, découvre que son actes, son geste sont des erreurs, que va-t-il faire ? S’excuser envers tous ceux qui l’ont offensé ? Se terrer pour cacher sa honte ? Persévérer dans son erreur pour ne pas perdre la face ? Feindre juste l’indifférence pour que l’erreur rejoigne l’oubli. ?
Ne serait-il pas préférable vu le nombre d’erreurs que chaque individu commet dans sa courte existence, d’éviter au maximum ces erreurs, de réfléchir un peu plus et surtout de se souvenir qu’une erreur même infime peut enclencher un véritable séisme qui peut ensuite détruire des vies …
( 13 août, 2014 )
En solidarité avec mon groupe d’auteurs Edilivre, je continue mes chroniques.
Aujourd’hui, 365 délices pour le cœur de Nathy Labell
C’est un livre d’un genre totalement différent des ouvrages précédant, un recueil de maximes et de phrases sur le bonheur et la pensée positive. J’ai vraiment beaucoup aimé étant depuis toujours une grande fan de jolies phrases. Cet ouvrage est plein de belles valeurs, de positivisme qui font défaut trop souvent à notre société. Les personnes à tendance dépressives y trouveraient une vraie source de jouvence en faisant une lecture quotidienne. Personnellement, je retournerai régulièrement glaner une phrase au hasard selon mon humeur …
À commander sans modération car le bonheur n’en a pas besoin…
http://www.edilivre.com/365-delices-pour-le-coeur-1e69721a84.html#.U-vPKmIayK0
( 13 août, 2014 )
Hommage à Robin William
On ne peut que saluer un acteur de génie. Qui n’a pas vu un jour le magnifique film » le cercle des poètes disparus » ou « madame Doubtfire. » Je me remémore aussi le film Péter Pan que j’avais adoré, réaliste où on faisait vivre le Péter Pan adulte ayant oublié ce que rêver voulait dire.
Un grand homme est parti, un grand homme qui a choisi de quitter ce monde malgré sa renommée mondiale, son succès, son argent nous laissant un goût d’amertume et surtout une grande question : comment un homme qui a tout, peut-il avoir été malheureux ? Un mot, un seul : dépression, fléau du siècle … Elle emporte tel un ouragan tout sur son passage. Nous avons tous un rôle à jouer. Notre société est de plus en plus négative. Nous nous devons d’être là pour tendre la main et tout faire pour maintenir la paix et l’harmonie.
( 12 août, 2014 )
Clandestin de Nunzia Benedetti.
Texte magnifiquement bien écrit sur un sujet délicat. Superbe analyse de cet homme en attente d’un univers qu’il pense meilleur que celui où il vit, le jardin d’Eden quelque part, ailleurs, puis l’horreur, le drame. On vit avec les mots, on sent les émotions au diapason avec le héros. C’est beau, c’est fort, c’est vrai … Une fin …
À lire sans hésiter … C’est le troisième livre que je lis de Nunzia et c’est mon préféré. Un vrai coup de cœur !
http://www.edilivre.com/clandestin-nunzia-benedetti.html#.U-p3Y2IayK0
( 12 août, 2014 )
L’espoir, c’est vouloir quelque chose, la foi c’est croire en quelque chose et le courage, c’est faire quelque chose. Au final, il est facile de croire car cela nous amène l’espoir. Par contre, il est très difficile d’avoir du courage parce qu’il nous faut surmonter nos peurs et ce n’est pas une mince affaire. La peur est ce qui nous paralyse, ce qui va semer les doutes, planter des graines qui vont nous ralentir. Cette peur sera là pour nous rappeler ce qu’hier nous a enlevé alors que nous devons impérativement nous tourner vers ce que demain sera.
Ce processus ne se fait pas en un jour, il faut parfois des mois, des années pour surmonter sa peur.
Seulement il faut se souvenir d’une chose important, même si l’espoir semble avoir disparu, il ne meurt jamais. C’est la même chose que si on tourne une page de vie ratée, cela arrive, on ne doit pas s’y arrêter, juste se dire que la prochaine page sera bien meilleure. Parce que continuer son histoire, c’est se donner un nouveau but. Se donner un nouveau, c’est tout simplement se donner un rêve … Vivre, c’est rêver … Vivre, c’est espérer ….
( 11 août, 2014 )
Je suis allée voir le film LUCY de Luc Besson.
Le thème :
A la suite d’une poche de drogue qui se fissure, une jeune étudiante voit ses capacités intellectuelles se développer à l’infini. Elle « colonise » son cerveau, et acquiert des pouvoirs illimités jusqu’à pouvoir utiliser 100% de son cerveau.
Un excellent film à la Luc Besson. Ce film est prenant, étonnant, captivant, éblouissant, intelligent, et recherché. Le scénario est basé sur des recherches scientifiques.
En lisant les critiques, il y a des avis négatifs concernant sa longueur. C’est vrai que certaines scènes sont inutiles, sa violence : Besson ne fait pas dans la dentelle mais ce n’est pas une nouveauté.
Par contre, j’adore le message et la philosophie transmise. On n’en sort pas indemne, sans se poser de grandes questions existentialistes. Notre évolution doit-elle se faire au détriment de ce qui fait de nous des humains, l’empathie ? Notre aboutissement est-il de nous fondre en une énergie universelle ? ce film veut il démontrer que plus on est intelligent, plus on a un gros QI et plus on est dénué d’empathie ? Ce qui ne serait qu’une confirmation de ce que j’ai pu constater. C’est ce que je reproche, je bloque un peu sur l’absence de sentiments et d’amour. Utopiste, peut-être, je ne puis concevoir une évolution qui l’occulterait. Pour moi, ce serait simplement renoncé à notre humanité …
En tous les cas, j’ai passé un bon moment. Un bon Besson, me rappelant par certains aspects son film culte » le cinquième élément « .
( 10 août, 2014 )
Même si je suis à 300 % dans ma réécriture jusqu’à en avoir mal aux yeux, je m’octroie des moments de pause en regardant mes séries télé. Hier, j’étais plongée dans XIII saison 2.
J’adore ! Hormis le scénario un peu tiré par les cheveux, il y a de magnifiques phrases énoncées. J’en ai relevé une :
Le mensonge règne sur le monde on peut choisir de l’ignorer ou de se battre pour la vérité.
C’est si vrai ! Quand je vois des personnes sur les réseaux sociaux s’inventer des statuts bidons ( romanciers alors qu’ils n’ont pas écrit une ligne, éditeur alors qu’ils ne savent pas écrire, avocat ou même médecin par messagerie ) je me demande où va le monde !
Dernièrement, c’est une personne se réclamant du domaine médical qui » ausculte » sans connaître la personne, sans savoir qui elle et en se faisait tout de même payer 50€ l’heure ( rien que ça !) . Faut que cessent ces mensonges, ces individus qui jouent un rôle, qui manipulent le pauvre crédule à distance. Je m’insurge contre cela, étant je me connais suffisamment confiante pour tomber dans ce type d’arnaques … Bon, un peu moins ces dernières semaines. Certaines claques sont positives !
Je revendique le droit à la vérité même si elle fait mal, le droit à savoir, le droit à ne pas rester dans le doute et l’ignorance. Le droit tout simplement d’entendre : On ne sait pas non plus … Plutôt que des suppositions insipides donnant un faux espoir.
La vérité permet d’avancer, permet d’être plus serein et surtout offre une clé importante : l’espoir.
( 9 août, 2014 )
Un auteur est souvent avant tout un lecteur qui se nourrit de littérature. Lorsque l’on prend la plume, on est déjà imprégné de textes, d’ histoires, de styles différents. On ne fait que poser ses chaussures dans des se tiers qui nous ont précédés. Au début, on va imiter puis on va trouver son style, pas nécessairement celui que les grands hommes de lettres attendent, mais on s’en fiche. On écrit !
Notre manuscrit fini, envoyé, puis accepté par un éditeur, on se plonge dans la réécriture.
Je croyais ce travail facile. Il ne l’est pas ! Il faut rentrer en communion avec la vision que l’autre attend de nous et qui n’est pas nécessairement la notre. On se libère à ce moment-là des contraintes. Notre texte devient un support. Autour, on y met, comme en cuisine, les différents épices. Réécrire, c’est donner vie à l’œuvre.
Avec le recul, j’ai conscience que Rouge, qui ne fut qu’une ébauche, aurait nécessité tout un travail approfondi de corrections et d’analyse afin d’aller encore plus loin dans l’essence même des personnages. Un jour, peut-être, le remettrais-je à jour ? Ou peut-être choisirais-je de le garder intact comme point de départ de mon évolution dans ce monde de l’écriture.
Une chose est sûre, l’écriture est un travail de Titan. Je passe depuis deux jours plus de huit heures sur la relecture de CARLA et j’ai la sensation d’avancer à pas d’escargot. Mais tant que je prends du plaisir à pousser mon manuscrit, je ne suis pas prête d’arrêter !
J’espère simplement que ce ne sera pas pour rien …
( 8 août, 2014 )
Le travail de réécriture est le plus gros travail qui existe dans l’écriture. Plongée, le nez dans le guidon dans les corrections et les directives de mon éditrice, je ne vois plus le jour. À la fois, épuisée et exaltée, j’ai l’impression de survoler des montagnes, jonglant d’une idée existante à une nouvelle inspiration parfois soufflée. Peut-être est-ce parce que c’est le premier roman dirigé ou bien parce que je n’ai aucune contrainte m’obligeant, mais j’éprouve un véritable plaisir à faire ce travail. Chaque mot semble danser rien que pour moi, chaque sentiment semble prendre vie. Mais j’y passe tout de même plus de six heures par jour alors que je suis en vacances. Cela fait un peu beaucoup !
Marchera ou ne marchera pas ? Peu importe ! Carla aura eu le mérite de m’apporter un retour très positif sur mon travail d’auteure. Bien sûr, je préférerai qu’il se vende et que beaucoup l’apprécient mais on ne peut plaire à tout le monde. C’est là tout le poker de la vie …
Parler de la vie me fait penser à une série que je regarde en voster » the lottery » dont le thème interpelle. Un proche futur (2025) où l’humanité est devenue infertile, et où plus un seul enfant ne naît. Quand une scientifique parvient à fertiliser un embryon, le gouvernement lui arrache sa découverte, et décide de lancer une grande loterie nationale, pour savoir qui aurait la chance de porter le premier bébé d’un monde renaissant… Excellent idée de roman … Que devient l’homme sans descendance ? Les rapports entre humains ? Mêle l’amour ?
Un bon sujet de réflexion …
( 7 août, 2014 )
La vie réservé bien des surprises. Parfois des larmes glissent sur nos joues sans s’arrêter. On souffre victime de la méchanceté humaine. Et puis, la magie arrive, légère, vraie …
C’est ce qui m’arrive aujourd’hui avec Carla qui a trouvé une éditrice formidable qui m’aide à réécrire, changer certaines erreurs afin de faire de ce livre un petit bijou !
Vivre ses rêves est déjà une jolie chose mais voir que ces rêves ne sont pas prêts de s’arrêter, c’est fantastique ! Hier, j’ai passé ma journée à refaire mon prologue ! Ce n’est pas facile de casser ce que l’on écrit, de rentrer dans l’idée d’une autre personne mais c’est vraiment très riche ! Aujourd’hui, je m’attaque au temps du roman et à sa chronologie … Passionnantes vacances ! Le bonheur de se sentir une vraie auteure !