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Croire en soi pour éviter d’écouter les autres
Jolie citation de Pablo Neruda pleine de bon sens que chacun devrait appliquer avec régularité.
Oser Risquer
Ce sera ma pensée du jour … J’adore cette phrase : Seul celui qui ose vraiment risquer est vraiment libre. J’en ai croisé des individus n’osant pas, ne pouvant pas, ne voulant pas, ayant peur de, jalousant les autres parce que la frustration les rendait envieux ou malheureux. Écrire, c’est oser au-delà des simples mots, c’est une sensation qui produit le même effet que courir le long d’une plage à en perdre haleine. Oser écrire c’est être libre ! Et croyez-moi, c’est merveilleux !
Écrire, éditer, y croire.
Coup de coeur litteraire : le conseil du desordre
» Le conseil du désordre » de Marine Forestier.
compte-rendu salon de gagny
Me voilà réconciliée avec les salons ! Quelle agréable journée nous avons passée. Le salon était bien exposé, très accueillant, lumineux. Les auteurs d’Edilivre étaient tous regroupés ce qui m’a valu de faire connaissance avec des auteurs fort sympathiques. Claude Duberseuil , mon voisin, était très agréable et le temps a passé très vite, tout comme Emmanuelle Solac, mon autre voisine, référente du groupe Edilivre. Des contacts avec des visiteurs très drôles, ce couple de Gagny plein d’humour qui a beaucoup fait rire notre tablée, tout comme certaines lectrices parfois au profil atypique plein de fantaisie. Le tout fut ponctué par quelques ventes. Au moins, on n’est pas parti bredouille comme à Boissy l’an dernier. Une bien meilleure ambiance où chacun recherchait plus le contact humain que les ventes.
Agréable à vivre, un salon où l’on se retrouve entre auteurs de la même maison d’Édition, pouvant ainsi échanger des idées, des remarques, des critiques bien sûr, mais aussi de nombreux points positifs. Edilivre est souvent très critiqué, mais on constate qu’il y a bien plus mal loti. Un auteur ayant publié chez les plus grands se plaignait de certains droits d’auteur que ses éditeurs n’avaient jamais versés ( auteur très connu, très drôle, médiatisé), la maison ayant fait curieusement faillite après avoir encaissé un bon pactole.
Il ressort que les tarifs d’Edilivre restent trop chers. Un auteur présentait un livre magnifique sur des tours de magie mathématiques à un prix astronomique. Quel dommage ! Je sais que mon fils lorgnait dessus, mais …
Discuter avec de nombreux visiteurs montre que le livre papier a encore un bel avenir et reste une valeur sûre, que la crise limite les prix à un achat de 20€ maximum et que ce sont les romans d’amour qui ont toujours la cote numéro un. Le monde est toujours sentimental. Réjouissons-nous-en.
Le lecteur » lambda » ne se tournera pas spontanément vers les romans policiers ( » c’est trop compliqué « ), les livres de poésies, ou les livres historiques. Leur recherche s’orientera vers un contenu court et facile à lire. Est-ce à dire que La Culture serait en danger ? Peut-être pas ! Juste que le besoin de s’évader de vies difficiles ne peut s’effectuer que dans un livre accessible à tous.
Ma conclusion : j’ai passé très bon dimanche d’où je sors ravie, espérant retrouver certains auteurs le 30 novembre pour mon prochain salon et surtout pour une bonne partie de rigolade. Je remercie mon mari et mon fils de m’avoir soutenue. Et merci à l’auteur Isio Poilodos d’être passée me faire un petit coucou. C’est génial cette chaîne de solidarité que nous avons sur certains groupes sociaux.
Gagny
Salon de Gagny
Internet et l’overdose de communication fictive
Sans internet depuis plusieurs semaines, je n’en ressens pas le manque de notre société. C’est vrai que je ne suis pas à la diète totale puisque la 4G permet de lire certains messages sur les réseaux sociaux, mais pourtant j’ai l’impression de m’être déconnectée.
Le Futuroscope
Après un merveilleux séjour au pays de l’image, j’en sors la tête pleine de rêves. On peut ne pas aimer le cinema, la télévision, préférer les livres ( heureusement que c’est le cas d’un bon nombre de personnes) on ne peut pourtant qu’être admiratif face aux technologies déployées, que ce soit les écrans gigantesques, les films en 4D et j’en passe. Une impression d’être immergée dans le monde de demain. C’est mon sixième séjour et pourtant, je garde ce regard d’enfants plein de paillettes après avoir vu des films sur l’immensité de notre univers, nous incitant à nous poser l’ultime question : comment pouvons-nous avoir la prétention de nous sentir Grands, nous pauvres humains, face à l’échelle de l’univers ? Beauté des couleurs, zénitude absolue, bonheur du regard …
Parlons
Entre ce que je pense