( 30 novembre, 2014 )
Le choix d’un livre.
Choisir un livre s’avère difficile. Le monde de l’édition regorge de nouveautés, continuant à mettre en avant les romans des stars, accrocheurs, ou des politiciens, romans que je ne lis pas, car sans intérêt.
Avant, j’achetais mes livres dans les librairies ou les magasins spécialisés, choisissant au hasard, piochant selon la quatrième ou la page de couverture. Je le fais toujours, mais je me tourne beaucoup plus vers des livres découvertes comme je les appelle, les romans inédits, encore tremblotants, mais bourrés d’idées fabuleuses. J’en lis un par semaine en moyenne. Peu sont à la hauteur d’un best-seller et pourtant certaines merveilles existent et ne seront jamais connues du grand peuple.
Je ne m’aventure pas vers la lignée des Musso ou des Levy, dont j’ai lu les premiers, mais qui aujourd’hui restent pour moi trop superficiels. Je vais donc au hasard de mes humeurs opter pour des polars ou des romans psychologiques, des témoignages ou même des romans d’amour ou érotiques. J’aime tous les styles. Je me fonds dans tous les genres. Tout est en fonction du moment, de l’instant.
Mon choix reste le fruit du hasard. Cette semaine, ce fut un Harlen Coben » Tu me manques », puis un style différent » Survivants d’Auschwitz » faisant réfléchir et un superbe polar. Demain, ce sera peut-être un roman léger ou une saga qui me prendra plusieurs jours. L’avantage des livres, peu importe leur contenu, est que tel un navire, ils nous emmènent très loin là où s’évadent nos rêves.
Pour découvrir, mais pas sans risques, des oeuvres nouvelles, il y a une possibilité: participer _bénévolement souvent_ à un comité de lecture (pré)sélection d’un réseau d’éditeurs…
Sachant que certains _ passionnants _ ne verront pas le jour parce que pas (ou plus) au goût du jour… Et d’autres *moyens*, parce que leur auteur est une personnalité connue seront édités à grands battages médiatiques.
Dernière publication sur le radeau du radotage : SURVEILLANT
Je suis pareille. J’ai une boulimie de livres qui s’entassent sur mon étagère non lues, des numériques que je stocke et je passe de l’un à l’autre. Trop de livres ne detruit il pas le livre ?