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( 21 janvier, 2015 )

Pensée du jour

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inutike de de rajouter quelque chose ! J’aurai plus à dire demain.

bon mercredi à tous

( 20 janvier, 2015 )

Résultat du concours

 

 

On y est !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le concours est fini.

 

Les deux heureux gagnants sont :

Marie Ylda pour ROUGE

Nicole Liselotte Bour pour BLANC

 

Ces deux gagnants sont priés de m’envoyer un MP rapidement pour envoi de leur roman dédicacé.

En espérant qu’il leur plaise !

 

En cadeau, j’ai continué le tirage au sort pour un livre numérique ( epub ou PDF)

Voici les 3 gagnants suivants :

Anne Marion

Didier Hallépée

Czarnecki’s Mariamne

 

Si ces trois gagnants sont intéressés par ce cadeau numérique, merci à eux de choisir : Rouge ou  Blanc.

 

Pour info, à 20 heures :98 participants issus de mon blog, de Facebook et de Linkeldn.

 

BRAVO aux gagnants !!!!!!!!!!!!!!!

 

Et restez un contact ! Une autre surprise bientôt !

( 20 janvier, 2015 )

Ne pas se laisser abattre , jamais.

Un coup de pinceau … Sur le tableau de la vie. Je ne reste jamais longtemps dépitée. Je ne sais pas si c’est un défaut ou une qualité. J’ai passé hier, au final une bonne journée pleine de chaleur humaine. J’aimerais être une artiste et pouvoir jeter mille couleurs sur une toile blanche, des jaunes vifs couleur de soleil, des rouges symbol de l’amour, des nuances d’oranges. Pouvoir créer de la lumière juste chasser l’obscurité, pour simplement faire une ronde enchantée, un univers de bonheur pour essayer les blessures du passé.

Met surtout que la plume trempée change ce qui fut écrit afin que la fin soit aujourd’hui autre ce qu’elle fut hier.

 

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( 19 janvier, 2015 )

L’encre des mots

L’encre de mes mots saigne aujourd’hui. L’écœurement face à la nature humaine s’avère de plus en plus grande. Pourquoi l’homme persiste-t-il à voir le mauvais côté de chaque acte, l’interprétation négative de chaque chose. Les mots restent coincés au fond de ma gorge, tristes, sans vie puisque rien n’a de sens. Sur la route de ma vie, j’ai souvent rencontré l’inexplicable, la médisance gratuite et je courbais le dos sans rien dire, bien décidée à laisser passer la vague.
Je laisse l’encre des mots saigner. Je ne la laisserai jamais sécher. Nul ne m’empêcher de prôner à jamais la tolérance, le pardon et l’amitié, même si cela dérange des esprits fermés. Communication, je clamerai toujours et encore ton nom !
( 18 janvier, 2015 )

Libre expression, un leurre ?

 

Après les événements tragiques de ces derniers jours, on pourrait croire vu le monde qui a défilé dans les rues hurlant le mot liberté, que tout irait mieux. Pas si simple !
 Un peu démoralisée ! Et oui, cela m’arrive rarement mais je le suis aujourd’hui. Comment répondre à des critiques de personnes qui n’ont même pas le courage de venir expliquer leur revendication ? La liberté d’expression reste un sujet brûlant et je respecte tous les points de vue. Mais tirer dans le dos sans sommation, ce n’est que de la lâcheté humaine .
Mourir pour ses idées, c’est un joli concept mais mourir parce que le citron est trop pressé, ça jamais !
( 17 janvier, 2015 )

À court d’idées.

Difficile d’avoir un sujet intéressant après ces derniers jours où l’actualité a fait la Une.
Pourtant, je pense qu’il faut continuer à écrire, à laisser les mots vibrer à nos oreilles simplement pour nous permettre d’être toujours vivants.
Florence m’a fait parvenir un magnifique texte. M’autorisant à la mettre sur ce blog, je l’en remercie et vous en fait cadeau.
Ecrire pour ne pas oublier

Ecrire pour briser les chaînes

Ecrire pour transmettre

Ecrire pour partager

Ecrire pour lutter

Ecrire pour penser

Ecrire pour avancer

Ecrire pour faire avancer

Ecrire pour poser, pour déposer

Ecrire pour lâcher prise et continuer.

 

Je pense qu’elle a tout dit alors sortez tous vos stylos et écrivez !

 

( 16 janvier, 2015 )

Le droit à ne pas se taire.

Droit à la parole, autorisation de dire ce que l’on veut. Limite ou non ? Sujet d’actualité brulant. je ne m’y attarderai pas ce matin. J’y reviendrai bientôt.

Je voudrais juste parler des nombreux commentaires et messages que je reçois chaque jour sur mon blog, sur facebook ou sur Linkedln. cela fait chaud au cœur de se savoir soutenue dans mes projets d’écriture, de voir que ces posts insignifiants que je laisse sur la toile vous touche. Ceux qui aiment les mots comprendront certainement ce que je ressens. Ce plaisir à partager tout simplement, sans jugement, sans haine, juste pour le plaisir d’être quelques instants ensemble.

Je vous remercie tous de continuer à me suivre. C’est un rêve qui dure. Cela me pousse à continuer, un peu comme a dit un jour un grand homme : «   Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir. Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine. Je continuerai à construire, même si les autres détruisent. « 
Et puis, sans ce blog, où lirais-je des commentaires plein d’humour comme ceux de Raymond dont je reçois régulièrement des morceaux de vie ou de pensées depuis des mois ? Il est vrai qu’avec certains, une relation régulière des mots dirais-je s’est instaurée. Je n’autorise la publication que d’un ou deux commentaires par jour sinon le blog serait vite trop lourd. Mais j’aime vous répondre Raymond tout comme Maryse ou Brigitte. J’apprécie vos témoignages reguliers et votre vision de la vie. On critique beaucoup le virtuel mais parfois on y trouve des perles.
Alors, cher Raymond, votre commentaire fut lisible par tous hier :) Il m’a fait bien sourire ! Quant à votre question : Que faire pour être aimé de celle que vous aimez en secret ? Si j’avais la recette, cher ami, je serai milliardaire ! Qui n’a pas un jour aimé en secret ? Qui n’a pas senti son corps battre plus fort pour l’interdit ?
Dessinez des sourires sur un visage qui vient vers vous, façonnez un bouquet de fleurs plein d’espoir, construisez-vous des jours remplis de joie. Que vous dire ? Si vous avez cette chance unique de savoir que la passion est à votre porte, ne la fermez pas ! Vous ne dites pas ce qui vous retient d’aller lui dire votre désir mais osez ! À votre doux âge, toutes les folies sont permises avant que la faucheuse ne vienne vous chatouiller le nez. Qu’avez-vous à perdre ? Un refus ? Et quand bien même cela vous ouvrira peut être une bien jolie amitié. Mieux vaut, croyez-moi, partager un sentiment fort d’amitié que rien. On a tous sur ce blog un jour perdus un ami, par bêtise ou parce que la vie l’a emporté. L’absence reste lourde. Certaines personnes sont bien difficiles à oublier.
Il faut oser l’impensable, l’inouï. Comme dit Jean-Jacques Goldman dans une de ses chansons:  » Il faut oser ce que la voix bannit. » Parfois, c’est difficile, surtout si des interdits se retrouvent en travers mais faut-il pour autant renoncer ?
Qui n’ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile.
William Blake
Alors Raymond, osez ! Et revenez vite tout me raconter car vous avez attisé ma curiosité !
( 15 janvier, 2015 )

L’érotisme

 

Les foudres d’un jaloux sur FB ne m’ayant pas atteinte, retour à l’écriture, même si cela dérange cet écrivain frustré. Parlons justement sur une des frustrations du siècle : le sexe.
La question de l’érotisme se pose souvent sur les groupes littéraires. En clair, doit-on mettre du sexe dans un roman ? Comment bien écrire une scène érotique ?
Nous savons tous que les romans qui marchent sont ceux où le sexe est roi pour ne citer que « 50 nuances de Grey », même si je trouve le scénario gentillet. Pourtant ce livre a réalisé un nombre de ventes incroyable !  C’est une réalité Et la preuve que nos lecteurs aiment lire des scènes hots.
Comment bien écrire une scène érotique ? Je pense en tant qu’auteur qu’il faut la sentir, qu’elle soit réaliste aussi bien douce qu’excitante. Nombreux furent mes lecteurs ayant adoré Adelyse et ses galipettes dont les scènes sont pourtant restées soft.
Le hard et la pornographie, ce n’est pas pour moi. J’aime trop le son des mots pour écrire cru et vulgaire. Pour moi, l’érotisme reste la plus jolie forme d’amour, le plus beau cadeau que l’on puisse mutuellement offrir à l’autre. Dans un roman, le lecteur cherche souvent une évasion. Après vingt-cinq ans de vie commune, l’érotisme au niveau d’un couple même aimant, souvent, s’appauvrit. Le rêve se dessine alors en lisant,  monsieur s’imaginant une liaison secrète où son besoin de liberté et d’expression serait assouvi pleinement, tandis que sa moitié fantasmera sur le héros au grand coeur qui pourra lui mordiller l’oreille tout en lui sur susurrant de doux mots d’amour.
Ne nous voilons pas la face ! Les vraies passions sont presque toujours au départ adultères.
L’érotisme fait partie de nos vies, de nos livres. Il en faut en ponctuer nos romans  sans excès avec juste le zeste nécessaire ( sauf s’il s’agit d’un témoignage douloureux ).
Une connaissance écrivant des romans Harlequin, me disait que cela se vendait comme des petits pains. je n’affectionne guère ce genre et avoue m’être essayée à ce type d’écrits sans grand succès ! J’en suis restée bloquée à la moitié ! Mais ces romans marchent car ils ont un public. Fort de constater que du simple roman d’amour il y a trente ans, ils sont devenus des ouvrages presque totalement érotiques aujourd’hui.
Érotisme, un jour. Érotisme, toujours ! dans votre quotidien, dans vos lectures, dans vos écrits, soyez vous, soyez Érotisme.
Triste est la vie sans amour mais triste est aussi la vie sans sexe.
C’est un peu comme manger une tartine sans beurre. Alors consommons ce qui nous fait rêver.
Vous pouvez compter sur CARLA, vous ne serez pas déçus.
( 14 janvier, 2015 )

Je t’ai tant aimé

J’ai reçu dernièrement un très beau texte d’une personne suivant ce blog. Son texte m’a profondément émue tant il est beau, vrai. J’ai eu son autorisation pour le poster. Elle mériterait d’être éditée :)
« Je l’ai tant aimé. Il était tout ce que je détestais. Il était tout ce que je méprisais. Il ne m’attirait même pas. Je n’ai pas eu le temps de respirer que déjà chaque minute était pleine de ses mots, chaque instant de ses phrases, chaque seconde de son essence. Le regarder juste, à la dérobée me laissait des heures remplie de lui, de bonheur. Entendre sa voix au téléphone me transportait vers des paysages verdoyants. Il devint mon essence, ma raison d’être, ma raison d’exister. Il ne le savait pas. Peu importe. Moi je savais. Je ne vivais plus que pour son sourire, son rire tintant à mes oreilles. Je rêvais de sa bouche sur mon corps, de son corps sur le mien, de son souffle ne faisant qu’un, d’un orgasme commun. J’étais lui, il était moi.
Je l’aimais, il ne le savait pas.
Un jour, il est parti de ma vie. Il n’a pas eu le choix. C’était trop dur. Pour lui. Certainement. Je pense. Je le sens. Mon coeur a saigné tout bas. Personne ne l’a su. Personne ne le saura.
Dix ans ont passé. Ma vie a continué. Heureuse, je l’étais malgré moi. Pourtant souvent j’ai prié, espéré. L’amour ne meurt jamais quand aimer est vraiment aimer. Même si c’était trop compliqué, même si il était marié, même si au fond je l’ai repoussé pour éviter de déraper. Même s’il m’a certainement détesté. C’était mieux que la vérité.
Un jour, il est revenu.
 Sans un mot, sans une explication. Au coin d’un bourg, d’une rue, Je n’ai rien demandé. Je l’ai regardé. Le temps s’est arrêté. Je me suis avancée. Nos regards étaient soudés. Il m’a pris dans ses bras. Je l’ai embrassé. J’ai compris à cet instant qu’un jour ou dix ans n’était rien. Amour unique, amour fou. On s’est alors aimé en secret . On s’aime toujours depuis six ans même si parfois c’est compliqué. Seule la mort pourra nous séparer. « 
Je trouve ces mots magnifiques. On y sent une telle force que ça met du baume au coeur.
Il y a des personnes que l’on aimera toujours même si la vie a fait dévier nos routes. Tout comme cette lectrice, je suis convaincue que le temps ne brise jamais ce qui est vrai. La peur souvent de faire ce premier pas l’emporte mais chacun a droit de vivre ce dont il a besoin.
N’attendez pas d’être morts pour dire je t’aime, pour vivre vos rêves, pour vous glisser dans des draps de soie.
Votre seul ennemi c’est vous ! Ne faites pas comme cette femme, dix ans, c’est bien trop long ! Ne laissez pas le temps vous déposséder de vos sentiments. Aimez à en mourir, à perdre la raison …
Vous aurez de quoi ensuite faire de bien jolis textes :)
( 13 janvier, 2015 )

Un sourire

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Un sourire, un geste de la main au coin d’une rue, dans une voiture et le monde s’illumine de mille paillettes …

merci …

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