Les limites du modernisme
Quand rien ne marche, on frise la saturation. Comme vous le savez tous, depuis mon piratage d’il y a quelques années, je n’utilise plus mon propre PC l’ayant légué à mon fils, ravi d’avoir un micro performant, n’utilisant qu’un vieux PC qui lui, n’est pas relié à Internet. C’est important de protéger ainsi mes manuscrits vu le nombre croissant d’individus jaloux sur les groupes d’écriture. Je tiens à mes mots comme s’ils étaient le sang qui coulait dans mes veines. Mais étant toujours une quiche en informatique, je ne cesse de me battre contre Antidote qui refuse de fonctionner quand j’en ai besoin ou Word qui se bloque stupidement. Ah, le modernisme ! Tout cela pour dire que j’ai corrigé hier le BAT de BLEU avec bien du mal car ma vieille machine me faisait des caprices. J’ai même pensé un instant à un piratage possible rigolant de l’inutilité. Que pourrait-on me prendre sur ce vieux ordi ? Même mon dernier fichier n’y est pas enregistré ! Ah si, quelques préparations scolaires … Quelle utilité ! À l’ère du modernisme, tous les coups sont permis donnant bien du pouvoir parfois à des rancuniers m’ayant prise pour Maléfice. Mieux vaut rire de la bêtise humaine ! Je le redis et le signe encore : laissons le passé à sa place ! Que l’on me laisse écrire mes livres en paix. Je ne demande rien à personne alors que l’on respecte ma liberté, ma tranquillité.
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