Stop à l’agressivité face à Edilivre ou aux Ateliers de Grandhoux.
À Vanessa, aux autres.
Je n’ai guère le temps ni l’envie de m’attarder une fois encore sur la médisance de certains mais je vais le faire pour la dernière fois.
1) Je n’écris que pour le plaisir et je suis débutante ( je rappelle que mon premier roman n’est sorti qu’en décembre 2013 !!!) donc mes livres en particulier Rouge ne sont pas nécessairement aboutis. Je ne vis pas de mes rentes comme certains le pensent. Je travaille et c’est un boulot épuisant nerveusement. Écrire est une vraie soupape. Je vends sans promotion et c’est ce qui semble ennuyer certaines langues de vipère. Pourquoi tant d’agressivité envers les petits auteurs ? Serait- ce parce que que j’atteins plus de ventes que certains en ne faisant pourtant ni salon ni dédicace ( ou rarement ). Les mots me plaisent. Pas le public relation. De plus, j’ai une vie , désolée mais elle est bien plus importante que mes livres. Une famille et des amis qui passeront toujours avant.
2) Je n’ai pas un réseau où je mets le couteau sous la gorge à mes lecteurs pour qu’ils laissent un commentaire.
3) les Éditions de Grandhoux sont une édition à droit d’éditeur et non une édition fantôme ! Je pense que Félicia mon éditrice va encore voir rouge

n’importe comment nous prouverons bientôt la valeur de cette Edition lors de la sortie nationale de Carla.
4) Je suis mise au poteau ayant réagi à une critique bidon. Toute critique est constructive si elle est argumentée ! Les personnes qui oscillent entre « le j’adore, c’est génial et je n’aime pas, sans argument », sont ridicules. Dernièrement j’ai eu un commentaire d’une auteure très difficile pointant tous les points faibles de ma trilogie et je remercie Marino car je vais y veiller sérieusement lors de mon prochain polar. Pareil pour Carla où certaines critiques ont reproché le côté trop érotique. J’y veillerai si suite il y a.
Alors oui à la critique, non à la méchanceté !
et pour généraliser, j’ai plus de huit cents commentaires positifs non validés. Si j’avais voulu me la jouer, chère Vanessa, je me serai empressée de les faire apparaître !
Pour finir, vous avez incendié mes livres à travers Edilivre et ses auteurs, tout comme les Ateliers, ayez le courage de mettre votre vraie adresse émail ainsi j’aurais pu vous répondre directement et ouvrir un vrai dialogue au lieu de jeter sur le papier votre venin empli de haine et de jalousie.
Je respecte personnellement tous les auteurs édités par des petits éditeurs, des grands ou de l’autoédition car le livre est en crise, les jeunes ne lisent plus !
Sachez Vanessa que je m’en contre fiche d’être aimée ou non, de plaire ou non ! Le constat est : j’écris et si vous réagissez ainsi c’est que ma verve même si elle vous déplaît a su taper où cela fait mal. C’est le but !
Hâte que mon essai sur Hashimoto sorte alors ! Cela va être corrosif !
Donc à tous les jaloux, les frustrés et les cons, je ne le dirai qu’une fois : je vous emmerde !
À tous les autres, on continue le voyage et merci …,