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Hashimoto, mon amour : pourquoi ?
L’entraide
J’adore quand ce mot est galvanisé et utilisé à sens unique. Se gargariser, en avoir plein la bouche et ne pas lever le petit doigt pour aider son voisin. Chacun pour soi ! Une relation m’a dit un jour que les gens ne peuvent vivre ensemble car ils sont différents. Je m’insurge contre cette idée car les vraies différences permettent à chacun de se construire, d’apprendre si l’autre accepte de donner, et tout est là ! Peu nombreux sont ceux qui acceptent de donner gratuitement que ce soit de leur temps, de leur personne comme si un tel acte pouvait les amputer d’un membre. Non, la différence n’est pas ce qui sépare les personnes. Je m’en suis encore aperçue hier., heureusement, il y a des milieux où l’entraide existe ! Vous en faites partie tous ceux qui m’ont épaulée pour mon essai, tout comme mon éditrice, et ceux qui furent à ses côtés et hier, j’ai eu mon livre entre les mains. Je vous expliquerai pourquoi cet essai est si important demain, car même si c’est ma cinquième publication, c’est la première qui ira en nationale et qui est écrit, non pour moi, mais pour d’autres personnes . Quant aux autres, ceux qui refusent d’aider, critiquent, méprisent, je le redis, ce n’est pas la différence qui les sépare mais c’est simplement leurs conneries !
La maladie d’Hashimoto : le livre qu’il faut acheter pour la rentrée
Le choix de vivre
Ils ont beau vouloir nous comprendre
Ceux qui nous viennent les mains nues
Nous ne voulons plus les entendre
On ne peut pas, on n’en peut plus
Et tous seuls dans le silence
D’une nuit qui n’en finit plus
Voilà que soudain on y pense
A ceux qui n’en sont pas revenus
Du mal de vivre
Leur mal de vivre
Qu’ils devaient vivre
Vaille que vivre «
La sagesse
La jalousie
Illusion ou réalité ?
Le doute de l’écrivain
Pourquoi continuez-vous à me lire, ai-je envie de vous dire ? Chaque jour, je constate votre passage de plus en plus nombreux sur ce blog, ou un nouveau livre vendu, une nouvelle chronique faite et cela me remplit de joie. Pourtant comme tout écrivain, j’ai mes phases de doute. Est-ce grave docteur ? Peut-être est-ce la sortie imminente de mon essai qui me provoque cette anxiété, ou mon retour à la vie quotidienne, ou bien ce temps qui me manque pour écrire des nouveaux chapitres de mon prochain polar ? Je ne sais pas ! Mais pas d’affolement, le doute amène aussi une ouverture positive car pour sortir de ce doute, je sais qu’il me faut, comme à chaque fois que cela m’arrive, monter une marche afin d’aller plus loin. C’est ce qui m’attend avec la rentrée scolaire qui me génère certainement l’angoisse de devoir laisser ma passion. Alors je vais me botter les fesses et finir ce chapitre qui est en cours puis en faire un suivant avant d’amorcer durant les six prochaines semaines une relecture complète pour pouvoir terminer pour les prochaines vacances. Pourquoi douter puisque déjà trois quart de pages remplies, mais comme pour tout roman policier, le plus dur reste à écrire, le dénouement et ce sera pour la dernière ligne droite durant les vacances de Toussaint. En attendant, je croise les doigts que marche Hashimoto, mon amour car ce fut plus difficile pour moi d’écrire un essai en respectant la force des témoignages que de faire un roman policier. J’espère ne pas m’être plantée ! Mais je compte sur votre franchise pour me le dire Bon dimanche à tous.
Écrire l’amour