La liberté d’être ce que l’on est.
Le retour dans le monde du travail reste un moment agréable malgré les mois difficiles qui vont certainement suivre, moment où on découvre de nouveaux élèves, de nouveaux collègues, où on se sent en phase avec ses convictions. Longtemps, je fus ce que l’on attendait de moi, me fondant dans un moule anonyme où personne ne me remarquait, ce qui me convenait tout à fait. Je n’ai pas changé sur ce dernier point sauf que j’ai en main les clés de mon destin. Je suis aujourd’hui une spectatrice amusée d’une société où chacun a des difficultés à trouver ses marques. Des courbettes ? Je n’en fais plus. Si j’aime, je le dis, si je n’aime pas, je ne vais pas cirer les pompes pour faire plaisir. J’évite de dire des mots négatifs pour ne pas blesser car faire du mal reste pour moi une des choses qui me rebutent le plus. Facile allez-vous me dire ? La difficulté n’est-elle pas surtout de prendre conscience que l’on se retrouve parfois prisonnier malgré soi ? Trouver la clé de son destin reste simple si on a conscience de ce que l’on vit mais nombreux sont ceux qui n’ont pas cette prise de conscience, préférant se contenter d’un semblant d’être plutôt que d’être vraiment.
Merci et Bravo Sylvie pour ces mots !
C’est quand on apprend que la conscience est affaire de respect de soi avant tout que l’on devient libéré. Et même si déplaire n’est pas forcément agréable, il vaut mieux cela que nuire, tu as bien raison.
Et être original est avant tout être soi, être libre aussi. Le monde finira bien par appartenir à ceux qui osent la sérénité !
Encore merci de tes mots
Soyons nous-même et fière de l’être !!!
J’espère que ta rentrée s’est bien passée. Je le souhaite. Je commanderai ton livre dès parution sur le site des Ateliers de Grandhoux. J’ai pour ma part envoyé mon manuscrit témoignage de ma maladie hypo à quelques éditeurs. Il ne me reste plus qu’à espérer…. Bonne soirée.