Les pensées négatives.
Suis-je en passe de devenir un peu redondante dans mes posts ? Possible car je ne supporte plus ce négativisme qui inonde notre société. Fondons une secte de personnes positives ( secte étant dit à l’humour bien sûr ). J’en ai assez de ne lire que des plaintes continuelles sur les réseaux sociaux, de croiser des personnes dans la rue avec des têtes tristes, de lire des litanies larmoyantes sur les attentats passés ou pire à venir. Mais bon sang, on ne peut éviter le futur alors plongez un peu dans la vraie vie au lieu de tout examiner à la loupe. La plupart de ces porteurs de pensées noires ne travaillent pas ou sont dans des bureaux où ils s’ennuient et n’ont rien d’autres à faire de leur journée qu’à se lamenter sur le net. Venez faire un tour dans ma classe, vous y verrez des rires d’enfants, des blagues racontées, la vie telle qu’elle est vraiment. Et c’est vrai que c’est peut-être immature de contourner le mal de notre siècle ( on me l’a dit !) , mais au moins cela me permet de conserver mon sourire, mon optimisme et de ne pas sombrer dans cette humeur morose qui colle à la peau de nombreuses personnes en ce début de XXIe siècle. Pour être en bonne santé, essayez de repousser toutes les pensées négatives qui peuvent vous phagocyter, cela ne vous garantira pas l’immortalité mais juste quelques rides au coin des yeux d’avoir tant souri. Le prix en vaut la peine car le positivisme attire le positif alors je compte sur vous et bon mercredi à tous …
Oh tu sais, je ne suis pas trop pour les sectes, elles ont trop tendance à pousser à la pensée obligée. Mais je veux bien rire avec toi de la dernière broutille qui passe ou m’émerveiller de ce minois qui avec ses grands yeux te pose la question la plus incroyable qui soit.
Chaque jour à son lot de travers et c’est vrai que c’est plus sur cela que les gens s’apitoient. mais comme le disait le poète: « là bas, brille la paix, la rencontre des pôles et l’épée du printemps qui sacre votre épaule. Gazouillez les pinsons, à soulever le jour et nous autres grinçons, pont-levis de l’amour ! »