( 4 mars, 2016 )

Les misérables

 

« Ce n’est rien de mourir. C’est affreux de ne pas vivre. » Victor Hugo Les misérables. Que dire d’un tel roman que j’ai bien dû lire vingt fois et que je relis en version abrégé pour aider mon fiston ( peu enclin à la littérature classique ). Ce roman de Victor Hugo reste pour moi un grand chef d’œuvre. Je pense que l’on a tout fait côté film sur ce prodigieux thème, que l’on a tous pleuré sur la situation de cette pauvre Cosette. C’est un roman comme tout écrivain rêverait d’écrire et à côté, nous les petits gribouilleurs ne sommes que des vers de terre. Beauté des dialogues. Beauté des textes. Splendeur de l’analyse de ce XIX siècle, de ce climat politique si complexe.
Et si c’est certain que l’on s’arrête surtout sur Jean Valjean, Fantine ou Cosette, on en oublie souvent la profondeur des personnages secondaires comme Éponine, cette pauvre fille dont le destin sera jusqu’au bout cruel, ou Javert, persuadé de faire le bon choix jusqu’à la fin.
Bien plus qu’un roman, un chef-d’oeuvre, unique et je ne peux que regretter que l’on ne puisse plus trouver de nos jours d’histoires aussi travaillées. On est bien loin des Musso ou des Lévy. Ah, comme j’aimerais avoir le temps de peindre notre siècle de la même manière !

1 Commentaire à “ Les misérables ” »

  1. Etienne Renaudon dit Tienou dit :

    Ah la littérature du XIX° ! ! ! !
    Et c’est vrai que ce cher Hugo en est un ténor ^_^

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