L’après
Le tourbillon de la vie est parfois si violent qu’il nous emporte vers des rêves fous, des idées qui nous prennent aux tripes, qui nous enivrent. Une journée succédant au salon du livre de Paris procure la même sensation. Deux jours en immersion totale hors de la réalité quotidienne, sans chamailleries d’élèves, des rencontres au fil des stands, sur le stand, nous pousse l’imagination à son extrême et surtout attise l’envie d’écrire.
Depuis quelques semaines, j’étais un peu en recul comme à chaque période de travail, me remettant en cause quant à mes choix parfois peu judicieux concernant certains partenariats pour mes polars Et à l’inverse, encore plus sûre de moi face au choix de mes co-lectrices . Je digère toujours mal les nombreuses fautes dans NOIR qui auraient dû être évitées. Une fois encore, faute de temps, j’ai péché par excès de confiance ! Heureusement que les retours sur le contenu me confortent dans ce genre d’écrits. Il n’empêche que lorsque le doute apparaît, seule la vie peut l’effacer.
Ce plongeon dans l’univers des livres ce week-end a déclenché une démangeaison intense, un besoin de remplir des pages blanches. Des sujets se sont dessinés au cours de discussions et le besoin est si fort que je me trouve devant un vrai dilemme, comment vais-je pouvoir attendre les prochaines vacances qui ne sont que dans un mois ? Cette période professionnelle est pleine et m’attendent piles de copies, corrections, et livrets scolaires. Alors, que faire ? Plonger au risque de me noyer ou ranger mon stylo ? Peut-être y a-t-il une petite alternative ? quelques brasses avec une bouée bien attachée afin d’éviter de couler et de crouler sous le poids des charges ?
Ah, cette envie … Chut … Je vous dirai bientôt ce qui s’est dessiné.
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