Où est la Culture ?
Ces guerres internes dans le milieu littéraire, ces égos surdimentionnés de certains auteurs qui ne supportent pas la compétition, ce combat perpétuel entre les indés et les autres, quelle foutaise ! Il est temps de secouer le cocotier et de faire retomber un peu toutes ces idées. La culture est plurielle et appartient à tous. Dévoreuse de livres, je ne supporte plus cette mentalité raccourcie. J’aime le dire, le clamer, je lis de TOUT aussi bien des romans publiés dans de grosses éditions, des valeurs dites sûres, des romans sortis de l’ombre dans des petites éditions et d’autres » des indés », et je fais régulièrement des découvertes formidables. Que serait ce monde des mots sans de nouvelles plumes ? Trop de personnes ont aujourd’hui « la grosse tête », se gargarisant d’être une vraie plume simplement parce qu’ils ont publié chez Albin ou chez Grasset. Je vais vous avouer un secret, j’ai lu de vrais navets aussi chez ces éditeurs. Eh oui ! Rien ne garantit un best-seller de nos jours.
J’ai envie de dire aux éditeurs de tout va, aux lecteurs du monde entier, choisissez un livre pour sa vraie valeur, pour le sentir vibrer, et non simplement pour le vendre, cessez de jouer cette « guèguère » infantile entre auto édités, édités, célèbres ou non.
On se croirait presque sur une scène politique digne d’un grand Guignol.
La culture est quelque chose de magique qu’il faut apprécier, s’en délecter.
J’aime les livres, et contrairement à tous ceux qui tranchent sans vraiment savoir, sans avoir lu de tout, de tous les genres, il y a de vraies perles cachées, et on les trouve de plus en plus rarement dans les grands noms de ce monde. Vous voulez une preuve, lisez-moi, ahahah, et croyez-moi, même si vous n’aimez pas, je ne vous en voudrais pas ! Mais surtout, surtout, lisez de tout !
Bonne lecture à tous ce we
Allez, on sait bien que le best seller est plus souvent une affaire de communication de l’édition que de la valeur de l’écrit !
L’important, avant tout je pense, est que le livre existe. Que celui qui l’a tiré des sa matière grise, de fait poussé à la sueur de son cerveau ait eu le cran de l’offrir à l’édition.
Tout après tient plus au goût de la personne. Mémé si je sais bien que de torchons, des navets comme tu dis, des rouleau à papier Ch….. sortent régulièrement (nous le savons qui avons eu à lire ce qu’une de nos édition n’a pas hésité à pondre un texte qui « faisait bien » ici ou là, uniquement pour afficher du nombre d’auteur, devenir la plus grande maison publiante….)
tu as raison : LISEZ ! il en restera toujours quelque chose