Un des pires vices de cette période : le chocolat !
Ah cette période de l’année qui regorge de petits carrés marrons, de boules rondes blanches ou noires remplies de crème aux noisettes, ah ces chocolats bien gras Léonidas ou ces Férérro. Qui en dehors de ceux qui détestent cette friandise arrive à résister à ce plaisir de faire fondre doucement, presque sensuellement un carré sur sa langue ? L’objet du délit avalé, un désir irrésistible d’en saisir un autre nous prend aux papilles. Des regrets ? Jamais pendant la dégustation, avouons-le, mais quelques joirs après, l’aiguille de la balance oscille dangereusement telle une claque, le pantalon qui lui peine à fermer. Plaisir d’un jour qui va mettre des semaines à disparaitre, mais quel plaisir ! Petit vice bien sympathique qui donne le moral, même s’il lègue au passage quelques kilos bien difficiles à dissimuler. Mais au fond, n’est-il pas plus important de s’offrir ces petits bonheurs, ces plaisirs éphémères égoïstes et solitaires, le temps de ces fêtes, plutôt que de toujours y renoncer en se projetant sur le lendemain et sur les futures bouées d’amour qui vont se dessiner. Dégustons le présent comme un chocolat de Noël et n’oublions pas de le partager !
C’est vrai que le dilemme s’avère fâcheux pour beaucoup !
Alors… Que faire?
Je pense que c’est en amont qu’il puiser la solution. et y arriver, je propose de commencer dès maintenant pour parer à la prochaine fois.
Satisfaire au besoin irrépressible d’en reprendre… Pourquoi? Ce n’est que le résultat de la satisfaction procurée par celui d’avant ! Alors autant muer cette envie en délice et se dire que c’est parce qu’est encore assez bon qu’on en redemande autant.
Vous verrez : à la longue on s’habitue et plus de bourrelets