( 23 juin, 2017 )

Cette violence à fleurs de peau

 

Maintenant, c’est la faute de la canicule, hier c’était à cause de la crise, toujours de belles raisons. Notre société véhicule de la violence gratuite, régulièrement, sans cesse. Elle la distille avec doigté, par petites touches. Parfois, on la prend en pleine figure, sans comprendre. Je pense qu’il serait temps de se poser les bonnes questions. D’abord, cesser de rejeter la faute sur les autres. Ce sentiment de victimes  permanentes fait qu’accroître cette insécurité poussant sans cesse à la critique voire à la délation, avec des relents de haine savoureusement cachés derrière des sourires dessinés pour l’occasion. Comme je le disais dernièrement à une personne, il serait temps que chacun s’occupe de son popotin, et non de celui de son voisin. Je refuse de me mêler des différents que certaines personnes ont entre elles. Cela ne me regarde pas, pire cela ne m’intéresse pas. J’ai autre chose à faire de ma vie.

Chacun sa vie, chacun ses problèmes, et en général, ils sont déjà bien assez compliqués à gérer, si en plus des tierces personnes s’incrustent, cela  déclenche un vrai tsunami. Je l’ai vécu de plein fouet à une époque. Je rencontre encore « des visages » du passé, fuyant mon regard. Eh oui, à avoir voulu se mêler de la vie des autres, il ne leur reste, lorsque la tempête est tombée, que la gêne.

 

À chacun donc de savoir rester neutre en toutes circonstances, d’éviter de juger, de critiquer, et surtout de faire le choix d’offrir toujours une analyse positive constructive.

3 Commentaires à “ Cette violence à fleurs de peau ” »

  1. handiparisperpignan dit :

    j aime bcp bises

    Dernière publication sur Les mots d'Ysabelle : Voir, regarder et pardonner...

  2. Tienou dit :

    Bien évidemment cela tend à devenir vraiment insupportable. Or tu le dis bien, sauf à être concerner, que chacun se préoccupe en priorité de son pré carré et es choses pourraient se faire relativement sereinement. Mais entendons-nous bien : il ne s’agit pas pour autant de vivre reclus sur soi, égoïstement, sauvage dans une société qi ne l’est pas moins.
    Il nous faut rebattre les cartes relationnelles, asseoir notre intime perception du monde, en toute loyauté, probité, et faire de la vie le berceau d’une expression juste, à l’avantage de tous plus que de chacun ^_^

  3. jesuisenpoeme dit :

    Bienvenue à l’amour de soi afin de pouvoir s’ouvrir à aimer l’autre!

    Dernière publication sur JE SUIS en poeme : RIVIÈRE

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