( 6 novembre, 2017 )

Tu es ce que tu penses

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Cela fait un peu sujet de bac philo, et pourtant, je trouve cette citation tellement juste.

Longtemps, on a évité que les gens pensent trop (en particulier les femmes qui n’étaient bonnes qu’à ouvrir les cuisses). Ensuite, de nombreuses personnes se sont retrouvées simplement cataloguées sur leurs intentions, sur « ce qu’elles disent qu’elles feront », même si elles ne feront jamais rien. Nous avons tous certainement en mémoire, l’ami qui nous aura promis d’être toujours là, de nous aider linéairement quoiqu’il arrive, et qui au final, au premier changement de vent, s’est volatilisé voire pire, s’est métamorphosé en monstre sans coeur.

Nous sommes en tord, car nous y avons cru. Nous avons attendu les promesses qui ne furent jamais tenues, nous avons serré la main qui nous a lâchés, pleuré sur les espoirs stupides que nous avions dessinés. Les mots n’avaient pas été dits avec sincérité, c’est notre seule erreur au final, nous ne pouvions prévoir que les actes ne suivraient pas, ou nous ne voulions pas le voir.

Il y a une question qui m’intéresse. À quoi sert-il de demander à l’autre de l’attendre et pourtant de ne jamais revenir ? Pourquoi tant de lâcheté ? Pourquoi certaines personnes refusent de s’expliquer ? De pardonner ? Pire d’écouter simplement. Pourquoi ne pas avoir eu dès la première bourrasque l’honnêteté d’affirmer ses limites ?

Je reste une idéaliste qui fais ce que je dis, qui assume ses erreurs, et étant loin d’être parfaite, j’en fais beaucoup, et qui surtout essaie de toujours rester fidèle à ce que je pense. Résultat, on peut me reprocher ( et j’accepte ce reproche) d’être intolérante envers ceux qui fonctionnent différemment, ceux qui vont sourire par devant et pousser dans les orties, ceux qui vont séduire juste par jeu, ceux qui commencent un projet et l’abandonnent sans songer à tout l’affect que vous y avez mis. Je déteste les égoïstes qui ne pensent qu’à eux.

Je suis ce que je pense, et comme le veut la fameuse loi de l’attraction, j’essaie d’être de plus en plus attentive à mes émotions afin d’ouvrir ma porte aux énergies qui me ressemblent et avec qui je vais pouvoir fusionner, amicalement, professionnellement, et surtout positivement, sur la durée. La route m’en a fait croiser de nombreuses ces dernières années, et j’espère arriver à les préserver. Quelques portes qui ne doivent pas se refermer. Une seule chose, trouvez votre clé et n’oubliez pas « Tout ce que vous pensez, en bien ou en mal, vous l’attirez dans votre vie »

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