La damnation éternelle ou quand …
Noël arrive et que je n’arrive pas à résister à un Ferrero rocher à la noix de coco. Non sérieux, je déteste cette période pour ces tentations terribles, mais rien que d’imaginer cette friandise rouler sur ma langue, j’en bave déjà. N’étant pas raciste, je craque aussi pour les Ferrero classiques aux noisettes. Une seconde de pur bonheur va mettre en branle un an de discipline où le chocolat, sans être totalement proscris ne se retrouve guère sur la scène. Mon article ne s’adresse ni à ceux qui n’aiment pas le chocolat ni aux anorexiques de service, juste aux autres, tous les autres qui se retrouvent inexorablement attirés par ce chocolat défendu, aussi tentant que le pomme au jardin d’Eden. Céder à la tentation ? Comme beaucoup, Noël n’est qu’une seule fois dans l’année, et céder durant quelques jours n’est pas si grave. Résister fera certes de nous « une sainte », mais avons-nous vraiment envie de porter cette auréole ? Autant en amour, céder à la tentation peut parfois apporter beaucoup plus de problèmes que de plaisir, même si D Gray disait que seul céder à la tentation nous libère de son emprise. Autant, hormis la balance qui va hurler, ce chocolat reste un bon moyen de se faire du bien, à condition de ne pas en abuser. Mais qui parle d’abuser ? L’idée ne nous aurait pas traversé l’esprit, n’est-ce pas ?
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