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( 16 janvier, 2018 )

Ces signes extérieurs de richesse

Ah ces signes extérieurs de richesse qui en font rêver certains ou râler d’autres, que sont-ils réellement ? Il semblerait que pour le commun des mortels, le premier signe de richesse soit la voiture, la grosse berline, noire de préférence, ou la Porsche. Pour d’autres ce sera la villa avec piscine sur la côte d’azur, pour d’autres encore ce sera la dernière console de jeux, le dernier Iphone etc

Chacun a sa propre vision de ces signes extérieurs de richesse, les miens sont plus sélectifs. Villas de luxe, jets privés, super voiture, c’est du dégueuli de richesse, par contre les petits signes qui ne trompent pas sont les sacs de luxe Chanel, les Birkins ( honnêtement, j’ai du mal à comprendre cette engouement pour UNE marque, si encore ils étaient vraiment plus beaux !), les montres Cartier ( elles sont belles, mais voilà quoi, mettre une telle somme pour juste montrer que l’on est riche !) , les fringues un complet Armani, orné d’une Rollex et d’une paire de chaussures Versace, le summum de la réussite, car tout est là, l’argent est la réussite!

La liste serait longue, et pourtant je vais vous dire, les gens qui bouffent du caviar à la petite cuillère, ceux qui s’enfilent du champagne au prix d’un salaire de smicard, ces gens me donnent la nausée, et je n’envie ni leur fric ni leur vie. Ils ont tendance à puer le poisson pourri à l’intérieur. Parce qu’il n’y a pas de plus grande richesse que ce que l’on peut donner aux autres aussi bien l’amour que l’amitié, tous ces petits riens qui font des tout. Alors que l’on ne me bassine pas avec les signes extérieurs de richesse, ce n’est rien face à ce fou créatif ou à ce chercheur qui va trouver l’impensable.

J’ai envie de dire que le sexe tout comme le fric, ce n’est pas la taille qui compte, c’est juste la façon de l’utiliser ! Les vraies richesses sont intérieures. :) :) :)

( 15 janvier, 2018 )

Femmes d’aujourd’hui

La femme n’est plus une potiche ou un objet sexuel. La femme existe. Elle EST !

Une histoire d’amour ne devrait jamais mourir, c’est tellement triste, et pourtant les statistiques sont formelles, la durée d’un couple ne dépasse pas dix ans. L’amour éternel n’existe donc plus ? Je dirais plutôt que le couple institutionnalisé coupe souvent les ailes à ce sentiment qu’est l’amour. Je vais même être encore plus dure, ce  sont les femmes qui ont changé la donne. Au XIX siècle, la femme n’avait qu’un rôle secondaire, femme au foyer, ouvrant les cuisses quand l’homme rentrait au bercail. Lui demandait-on si elle avait envie, si elle prenait du plaisir, si elle avait des rêves ?

La femme du XXI siècle assume sa sexualité, son propre plaisir, elle sait tout autant donner que recevoir. Si elle aime, elle le dit, si elle ne veut pas, elle le dit aussi. Elle n’est plus la potiche passive que l’on pose dans un coin ou qui passe des heures à attendre que son homme rentre. Elle sort, elle est belle parce qu’elle se sent belle (et elle l’est de l’intérieur), elle peut avoir trente ans ou soixante, c’est pareil. Elle se moque de ses rides, de ses bourrelets, car son charme réside justement dans le pétillant de ses yeux. La femme d’aujourd’hui ne se contente plus d’un compagnon pépère assis dans son canapé à siroter une bière ou un intello connecté vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur sa tablette. La femme d’aujourd’hui veut être reconnue comme une vraie femme et non comme une mère, elle ne veut pas de sexe programmé ni de galipettes exclusivement dans le lit conjugal, elle veut que l’autre la regarde vraiment.

Alors oui, certainement, la femme d’aujourd’hui a bien du mal à aimer passionnément le même homme au-delà de dix ans, mais comme elle est bien éduquée, gentille, elle restera, elle continuera à attiser les braises douces de son foyer, elle sera même la flamme du ménage. L’homme sera heureux. C’est le principal. Je sais ce que vous allez me dire, et elle ? Renoncera-t-elle à ses rêves ? La femme d’aujourd’hui sera bien plus maline, elle saura offrir ses faveurs à celui qui lui fera battre son coeur, s’autorisant à vivre plusieurs magnifiques histoires d’amour. N’est-ce pas au fond la routine, l’absence de folie qui met un point final à la vie ?

« Être une femme des années 2018 … » :)

( 14 janvier, 2018 )

L’hypocrisie Humaine

 

Je n’ai pas la langue de bois, et j’avoue que je méprise de plus en plus l’hypocrisie humaine. Telle une guimauve qui a fondu au soleil, elle dégouline un peu partout, collante, écoeurante. Je dois être stupide, mais je n’arrive pas à comprendre ces personnes qui ne cessent de déblatérer par derrière, cassant les autres, usant même de mots pas vraiment jolis, et que l’on voit bombarder certains profils de coeurs, like, « chérie » et j’en passe. Plus je prends de l’âge et plus je suis allergique à ces comportements. Pourquoi certains les laissent faire allez-vous me dire ? Peut-être simplement parce qu’ils ont besoin de ces mots mielleux même s’ils sont complètement vides. Pourtant on les voit à cent mètres. Ce sera celle qui va vous faire des promesses tellement sincères en apparence que vous y croyez vraiment, que vous tombez dans le piège, et que lorsque vous vous apercevez que ces mêmes promesses furent dites à d’autres, il est trop tard. ( le monde de l’édition regorge d’hypocrites en tous genres). La personne hypocrite est la pire ennemie, car elle vous fera parler, puis se servira de vos mots pour mieux vous manipuler, pour atteindre un objectif qui va juste servir son côté narcissique. En général ce sont des personnes ambitieuses, qui sous couverts de victimisation, attirent l’affection des autres, mais n’ont strictement rien à faire de vous. J’ai assisté à des scènes terribles l’an dernier où l’hypocrite parvenait à ses fins grâce au chantage affectif, à la menace, à des liens illusoires qui n’existent en fait que dans ces esprits bien perturbés.

Il fut un temps où ma naïveté occultait ce travers chez l’autre. Je pensais toujours qu’un compliment était sincère, qu’une main tendue était gratuite. La vie m’a poussée dans le fossé, mais voilà, je n’y suis pas restée, j’ai juste viré ces hypocrites de ma vie, fermement, honnêtement, sans mentir, sans argumenter, juste avec un non qui n’avait aucun retour possible.

Je refuse de rentrer dans ce moule en particulier dans le monde de l’édition, je resterai sincère. Si j’offre mon aide, mon avis voire mon amitié, c’est que l’on peut compter sur moi. Je suis extrêmement fidèle en sentiments, mais aussi honnête. Ne me confier pas votre livre pour que je fasse un avis de complaisance. Si je n’aime pas, je l’écrirais, si j’aime, je le crierais. Dans la vie c’est pareil, si je vous aime, vous saurez le lire entre mes gestes ou entre les lignes, si la page est tournée, je briserai définitivement le lien sans retour possible. Mais une fois encore, je vous aurais laissé longtemps une seconde chance, et il y aura eu celle de trop … celle où vous fûtes hypocrites … celle qui a mis définitivement le mot fin, alors dans ce cas, je deviens simplement indifférente, mais jamais hypocrite.

( 14 janvier, 2018 )

Sortir de l’ombre pour mieux vivre

 

J’aimerais bien que certaines personnes sortent un peu de l’ombre pour croiser ma route. Nous vivons de plus en plus dans un monde virtuel, sur tablettes, smartphones, là où il n’y a plus de place voire de temps pour le réel. Au fil des années, je trouve cette évolution de plus en plus pesante. J’aime discuter loin des foules, lire dans les yeux, répondre aux sourires, rougir aux compliments.

Je ne suis pas une droguée des réseaux sociaux même si j’y passe pourtant trop de temps pour promouvoir mes écrits ou aider ceux qui en ont besoin, mais je privilégie avant tout la vraie vie, celle où on va se retrouver autour d’une boisson chaude dans un café ou dans un resto. C’est vrai que nous nous heurtons inexorablement au temps, ce facteur que l’on ne peut oublier, que l’on ne doit pas oublier, mais qui ne doit pas nous empêcher de comprendre l’importance privilégiée de ces instants précieux.

Une amie me confiait dernièrement entretenir une relation amoureuse intense, passionnée,limitée par le temps à une ou deux fois par mois, juste quelques heures de pure magie. Avant, j’aurais trouvé cela stupide, tant donner pour juste quelques heures, mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Aujourd’hui, je comprends. Ce temps précieux mieux vaut le vivre par phase avec intensité que pas du tout. Alors ceux qui comme moi sont dans le dernier tournant qu’est la vie, avant de finir comme des loques dans un fauteuil roulant, pensez à sortir de l’ombre, à vivre vos envies, vos désirs, à faire l’effort de composer ce numéro oublié juste pour prendre un café ou cet autre pour une balade en forêt, peu importe, ne renoncer pas à vivre totalement avant que les aiguilles l’aient décidé. Au printemps, les zamis petit resto habituel ? :)

( 13 janvier, 2018 )

Livres sur la thyroïde

Vous avez été nombreux à nous demander la liste de livres sur les maladies de la thyroïde.

Voilà un petit référencement

 

Ma maladie d’Hashimoto: Papillon de vie Format Kindle de CLARA CHOSEL (Auteur)

Hashimoto Mon Amour de Sylvie Grignon (Auteur)

 

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Thyroide, les solutions naturelles Broché – 2 juin 2016 de Philippe Veroli (Auteur)

Les dérèglements de la Thyroide, c’est fini ! Poche – 24 février 2017

de Doumenc Nissim Isabelle (Auteur)

En finir avec l’hypothyroïdie Broché de Benoît dr Claeys (Auteur)

Hypothyroïdie: Comment reconnaître et traiter le plus fréquent des troubles de la thyroïde et rééquilibrer votre organisme. Broché – 11 juin 2015 de Raul Vergini (Auteur)

Les pathologies de la thyroïde : Les comprendre Les traiter Broché – 13 mars 2014 de Jean-Pierre Willem (Auteur)

 

Continuez à augmenter cette liste et à nous donner vos avis

Et pour les enfants

H et la plume de l’espoir

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( 13 janvier, 2018 )

Tous la même fin, alors ?

Prenons la vie avec humour …

Que l’on soit riche ou pauvre, honnête citoyen ou truand, le jour de notre fin, lorsque notre dernier souffle s’arrête, une seule réalité, nous ne serons plus rien qu’un tas d’os, vide d’émotions, vide de vie. Peu importe les croyances, les religions, cette terrifiante pensée ne peut-être effacée. Un corps mort même bien habillé restera un corps mort.

Alors, pourquoi nous prenons-nous tellement la tête ? Pourquoi passons-nous notre temps à chicaner, à nous tirer dans les pattes, à accepter les sarcasmes, les critiques, les remarques parfois méchantes, pourquoi ne pouvons-nous pas savourer ce temps limité qui nous est offert, profiter des bons côtés de la vie, se moquer de l’opinion des autres.

Puisque notre destination finale est pour tous identiques, pourquoi perdre ce temps précieux à ruminer des rancœurs ou des regrets au lieu d’aller de l’avant ? Pourquoi ne pas se laisser happer par ces évidences, ces rencontres qui changent nos vies, ces mains qui nous ont serrés, ces lèvres qui nous ont effleuré, ces rires qui ont fait rougir nos joues ?

Pourquoi l’homme continue-t-il à refuser de croquer dans cette pomme rouge, juteuse, savoureuse, dégoulinante de jus, si bonne qu’il serait vraiment stupide d’y renoncer ?

Personne n’a de temps, personne ne veut prendre de temps, alors j’ai simplement envie de dire, un jour, le tas d’os , il en aura du temps, ne faudrait-il pas un peu s’éclater avant ?

( 12 janvier, 2018 )

Apprendre à nous aimer, NOUS !

Les livres de développement personnel regorgent, signe d’une vraie nécessité, nous avons besoin de « nous aimer ».  Pourquoi ce constat ? Peut-être parce que le monde où nous vivons place la barre un peu trop haute, il faut toujours être tellement bien, que l’on finit par ne plus « nous voir ». L’image médiatique des femmes retouchées sans un gramme de graisse, pire des anorexiques sur pattes, sans une vergeture, honnêtement, n’est que le fantasme de ceux qui ont un sacré problème psy.

Dans la vraie vie, ce sont les autres, celles qui ont pris du poids avec leurs enfants, qui ont allaité et ont vu leur taille de soutif doubler, celles qui bossent tout en s’occupant du ménage, de la cuisine, des mômes et qui n’ont ni le temps d’aller transpirer dans une salle de sport ni celui de passer des heures chez un coiffeur. La femme ordinaire doit faire face à cette réalité. Elle ne peut concurrencer avec ces mannequins, cela veut-il dire pour autant qu’elle n’est personne ? Et surtout cela veut-il dire qu’elle n’est pas désirable ? Après tout c’est dans les vieux pots que l’on fait la bonne soupe et pas nécessairement dans les casseroles en argent !

Apprendre à s’aimer, c’est apprendre à accepter qui on est. On ne sera jamais celle qui vient d’inventer le nouveau vaccin ou cette autre qui ne vend que des best-sellers. Et alors ? C’est peut-être simplement parce que nous avons un autre chemin à mener. Apprendre à s’aimer, c’est surtout cesser de toujours se demander ce que pensent les autres, parce qu’au fond cela ne doit avoir aucune importance. Peu importe si untel m’apprécie, si tartapion n’aime pas mes kilos ou mes fringues, l’important est que ses critiques ne me blessent pas, que j’accepte ces failles qui font de moi un être humain.

La fille superbe sur l’affiche, rien ne dit qu’elle est heureuse, la femme parfaite toujours bien coiffée, les mains sans un ongle cassée, rien ne prouve qu’elle ne porte pas un masque.

La vie c’est une multitude d’expériences bonnes ou mauvaises, de réussites ou d’échecs qui nous pousse à affirmer nos limites. Les images parfaites ne sont pas systématiquement celles de gens heureux. D’abord, être heureux vingt-quatre heures sur vingt-quatre est une ineptie. Les gens heureux sont ceux qui ont simplement compris que rien en dehors de la mort n’est définitif, et que seule notre manière de penser peut changer la donne.

S’aimer, c’est s’autoriser à bien penser, à rendre les autres heureux, et par ricochet, à se faire du bien à soi, et simplement être heureux.

( 11 janvier, 2018 )

Quand l’adultère fait des ravages

Vous, mes lectrices, vous êtes nombreuses à jeter la pierre au visage de celle qui a détourné le gentil mari du droit chemin. Pourquoi ce désir de vengeance ? N’ayant jamais été trompée dans ma vie ou ne l’ayant jamais su ( ce qui au final est pareil), je ne connais pas ce sentiment, mais j’essaie de comprendre, pourtant je suis une convaincue que la vengeance n’apporte pas de soulagement, que c’est une énergie négative, violente, faite sur le coup d’une douleur intense.

Pourtant, vos témoignages montrent que souvent, vous les femmes, vous vous venger, et pas qu’un peu, soit en allant détruire l’autre, soit en bousillant la vie du chéri. Les statistiques montrent que 90 % des personnes disjonctent en apprenant qu’elles sont cocues. Elles vont crier, hurler, se fâcher, menacer de partir avec les enfants, mais si la blessure est trop profonde, elles vont tout simplement reporter leur colère sur leur rivale. Vengeance avec crêpage de cheveux, vengeance sournoise, vengeance destructrice.

La jalousie en est-elle la cause ? Je ne pense pas, je dirais plutôt que c’est le fait de perdre la face qui induit ces comportements. L’autre en qui on avait toute confiance a osé poser ses yeux sur cette femme, et au fond qu’a-t-elle de plus que nous ? Que fait-elle au lit de mieux ? Et surtout l’aime-t-il ?

Une lectrice me disait être outrée d’avoir été choquée par cette femme obèse qui l’a remplacée.

Chaque couple peut un jour se trouver face à une histoire d’amour qui tourne mal. Un coup de coeur ne se choisit pas, il s’impose. Il est souvent lié à une attirance sexuelle, pourtant tout le monde ne franchit pas la ligne rouge. Tromper ne veut pas dire non plus ne plus aimer. Tromper l’autre signifie qu’il y avait une faille dans le couple, un manque, un besoin de vivre autre chose. Il y a souvent des signes avant coureur.. Alors pourquoi cet esprit de vengeance puisque la cocufiée est indirectement responsable de sa propre situation ? Cette vengeance effacera-t-elle l’humiliation ? Être trompé se sait rapidement, les gens parlent, l’amour même le plus fort est abimé. Peut-on pardonner à une personne infidèle ? Je pense que l’on peut pardonner à tout le monde si on le veut vraiment, mais on ne pourra jamais oublier. Reconstruire, oui, autrement, peut-être, durablement, si on le veut vraiment, et puis à dire vrai, il n’y a pas de vengeance plus parfaite que le pardon, poussant l’autre au remord, non ?

( 11 janvier, 2018 )

Les surprises

Devrais-je plutôt dire « les surprises », ces moments auxquels on ne s’attend pas, qui arrivent sans prévenir, qui vous frappent de plein fouet, qui font plaisir ou pas.

Je n’aime pas vraiment les surprises, je ne les ai jamais aimées, et rares ceux qui arrivent à me surprendre. Les gens sont si prévisibles. Et puis, trop souvent, on fait plutôt fait les frais des mauvaises surprises plutôt que des bonnes ! Pourtant j’en ai connues, des « hors normes », des inédites, des inoubliables.

Qui n’attend pas la surprise, celle dont on rêve, celle qui nous emmènerait vers le paradis retrouvé ?

Seulement faire face à une surprise n’est pas simple, il faut un sacré lâcher-prise et ce n’est pas trop ma tasse de thé, le lâcher-prise, peut-être simplement parce que cet imprévu, cette chose impensable , je n’y avais pas pensé, elle ne m’avait pas effleurée, résultat, la surprise se retrouve être une situation que je ne peux maîtriser.

Au fond, si on n’aime pas les suprises , c’est que l’on n’arrive pas à faire face à cette émotion déstabilisante.

Alors, au fond, est-ce que l’on n’aime pas les surprises ou bien nous font-elles peur ?

Car avouons le, l’avantage avec les surprises c’est qu’après, le souvenir lui reste, et même si on n’a pas aimé la surprise, si on a eu peur de nous à cet instant, de ce que l’on pourrait laisser transpirer, on va aimer le souvenir de cette surprise, parfois même on en parlera encore des années après.

( 10 janvier, 2018 )

Un blog ce n’est plus d’actualité

« Pourquoi fais-tu toujours un blog » me lança récemment une bonne âme (à qui au passage je n’avais rien demandé) juste avant de conclure « un blog de nos jours ça ne sert à rien , ce n’est plus d’actualités, va sur twitter. »

Seulement voilà, je n’aime pas twitter, déjà je n’y comprends rien, en plus je trouve les échanges ponctués de publicités, et puis j’aime mon petit cocon, mon petit endroit où je me sens bien, mon blog.

Dois-je faire un Flashback ?

Super quiche en nouvelles technologies ( on se demande pourquoi on dit nouvelles, car depuis quinze ans, elles ne le sont plus vraiment), j’ai choisi l’option blog il y a quatre ans par pure facilité. Je ne connaissais personne, j’avais une profonde aversion pour Internet suite à mes soucis de piratage, et pourtant je devais faire connaître mon premier livre. J’ai eu la sensation d’être une gamine de huit ans face à une montagne à gravir.

Créer un blog est simple bien plus qu’un site ( preuve en est, je n’ai jamais réussi). En plus j’aime bien le concept de déposer des articles courts avec des liens faciles d’accès et une pagination toute faite. C’est un moyen idéal pour les paresseux ou ceux qui n’ont pas le temps. Tout le monde peut créer son blog, si je l’ai fait, c’est que c’est vraiment « fastoche », que ce soit dans une optique privée ou professionnelle.

Après la différence, d’après ce que j’ai lue, se retrouve dans le référencement, un blog étant presque introuvable sur Google à l’inverse de nombreuses plateformes de sites que l’on trouve en un clic.

En tant que simple auteure, j’avoue aimer le côté discret du blog. Tout le monde ne me trouve pas, et c’est bien. J’aime l’ombre, et au moins ceux qui me lisent, sont ceux qui en ont envie,  une sympathique compagnie virtuelle qui passe à tour de rôle chaque jour, un peu comme un café que l’on prendrait ensemble.

Il n’empêche que j’ai eu dernièrement plusieurs coups de coeur pour des sites littéraires, magnifiques, et si je ne manquais pas cruellement de temps, si j’étais plus douée, si j’avais quelqu’un qui me donnais sincèrement un coup de main, je m’autoriserais ce défi, au moins pour y poser mes chroniques littéraires et en faire un joli portail agréable aux yeux.

Un jour, certainement un jour …

 

L’important reste d’écrire, de toujours trouver pour chaque jour de nouvelles lignes, de conserver ainsi une ouverture vers le monde, et un entraînement. Je n’écris mes manuscrits que durant les vacances et il est important que je ne perde pas l’envie de jongler avec les mots durant l’année scolaire, car le secret de l’écriture, c’est d’écrire, écrire encore et toujours, ne jamais s’arrêter d’écrire.

Écrire ne coûte rien, cela ne rapporte rien non plus ( le fantasme des auteurs qui flambent, c’est pour les séries B), c’est certainement un plaisir un peu « nombrilique », mais pour ceux qui aiment écrire, il n’y a rien de plus doux que ces mots partagés.

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