Vivre heureux par la pensée positive.
Notre société se veut culpabilisante, stressante, et pourtant ce lien entre notre psy et nos émotions peut s’avérer néfaste voir dramatique pour notre corps. Il est donc important d’apprendre à vivre heureux dès le plus jeune âge. Régulièrement, je propose à mes élèves d’écrire des phrases qui « font du bien », nous en discutons ensuite, cherchons les mots les plus « gentils » qui existent. On pourrait penser que c’est facile, il n’en est rien. Dire du bien des autres, penser positivement, n’est plus instinctif. Les gens jugent, tranchent, sans réfléchir aux conséquences de leurs actes. Un mot violent peut détruire une vie. Si cela arrive, il ne faut pas laisser ces souvenirs perdurer et apprendre à les effacer pour pouvoir avancer.
« Pourquoi on souffre » me demandait un écolier la semaine dernière. Que répondre si ce n’est avec des phrases fleuries. Le pourquoi importe peu, l’espoir de s’en sortir est bien plus important.
Cela ne se fera pourtant pas en un jour, après quelques mois d’écoute de votre corps, vous allez apprendre à vous aimer de nouveau, à aimer surtout la vie. Pour ceux qui n’arrivent à tenir debout que blindés de médicaments, il faut vous dire que cette période est révolue. Fini les petites pilules de toutes les couleur, place aux véritables couleurs de la vie. Le passage final sera celui où vous oserez enfin vous réconcilier avec l’enfant qui est en vous, surpassant cette frustration qui vous rend si négatif. Autoriser « cet enfant » à hurler sa douleur, sa peine, à parler de ses blessures, des pertes qu’il a subies, de ses désirs, de ses envies, de ses rêves.
Une fois ce trajet effectuée, presque par magie, vous ne serez plus attiré par les pensées négatives. Tel un tableau dessiné par de jeunes enfants, vous sourirez un peu bêtement à la vie, heureux simplement d’exister, heureux de savoir aussi que vous rendez d’autres personnes heureuses, et surtout, et c’est un des points les plus importants, heureux du bonheur des autres. C’est même cela le plus important. Se dire que ces autres n’auraient pas aussi bien évolué sans passer par nous, et s’en réjouir.
Vivre positivement ne serait-il pas le secret d’une vie épanouie ?
J ADORE CES ARTICLES QUOTIDIENS !!! TELLEMENT BIEN ECRITS ET TOUJOURS L IMPRESSION QU ON SE COMPREND,QU ON EST SUR LA MEME LONGUEUR D ONDE VOUS,MOI ET CEUX QUI VIENNENT SUR LE BLOG.LE TEXTE CI DESSOUS N EST PAS DE MOI MAIS J AI EU ENVIE DE LE PARTAGER….
Deux bébés se partageaient le ventre d’une femme enceinte. L’un demanda : « Crois-tu en la vie après l’accouchement ? ».
L’autre répondit : « Pourquoi ? Bien sûr, il doit y avoir quelque chose après le passage. Peut-être que nous sommes ici pour nous préparer à ce que nous serons plus tard. »
« Absurde ! répond le premier. Il n’y a pas de vie après l’accouchement. Quel genre de vie ce serait ?»
Le deuxième dit : « Je ne sais pas, mais il y aura plus de lumière qu’ici. Peut-être pourrons-nous nous promener sur nos deux jambes et manger avec notre bouche… Peut-être que nous possèderons d’autres sens que nous ne comprenons pas maintenant. »
Le premier reprit : « C’est absurde, la marche est impossible. Et manger avec notre bouche ? Ridicule ! Le cordon ombilical fournit notre nourriture et tout ce dont nous avons besoin. Mais le cordon est court. Du coup, une vie après l’accouchement ne peut qu’être logiquement exclue. »
Le second a insisté : « Eh bien moi, je pense qu’il y a quelque chose et que c’est sans doute différent d’ici. Peut-être que tu n’auras plus besoin de ce cordon physique. »
Le premier répliqua : « ça aussi c’est absurde ! D’ailleurs s’il y avait une vie après, pourquoi personne n’est jamais revenu de là-bas ? L’accouchement est la fin de la vie, c’est comme ça. Et après, il n’y a rien que l’obscurité, le silence et l’oubli. Cela ne mène nulle part. »
« Je ne sais pas, dit le second. Je crois que nous allons rencontrer Mère et qu’elle prendra soin de nous. »
Le premier a répondu : « Mère ! Tu crois réellement en Mère ? C’est risible. Si Mère existe, alors où est-elle maintenant ? »
Le second enchaina : « Elle est tout autour de nous. Nous sommes entourés par elle. Nous faisons partie d’elle. C’est en elle que nous vivons. Sans elle, ce monde ne serait pas et ne pourrait pas exister. »
Le premier déclara : « Eh bien je ne la vois pas, Elle. Donc il est logique qu’elle n’existe pas. »
Ce à quoi le second répondit : « Parfois, lorsque tu es dans le silence et que tu te concentres, que tu écoutes vraiment, tu peux percevoir sa présence et tu peux entendre sa voix aimante nous parlant depuis là-haut… »
Merci pour ce magnifique partage