Qui a-t-il de plus jouissif chez un écrivain ?
Question difficile n’est-ce pas ? Pour mon premier roman, ce fut incontestablement recevoir mon livre, le tenir dans les mains. Je me souviens avoir versé quelques larmes. Ensuite, c’est différent, je ne sais pas si c’est que l’on s’habitue, mais ce n’est plus la même intensité. Je sais qu’aujourd’hui, mon plus grand plaisir est dans l’écriture, dans la sensation, une fois que j’ai posé le dernier mot, le mot fin comme diraient certains, cette joie immense de se dire, c’est bien, j’ai été jusqu’au bout, j’ai réussi, je suis fière de moi.
Et vous amis auteurs ? Votre avis ?
Je te rejoins Sylvie. Lorsque j’ai reçu l’exemplaire papier de mon premier roman, je l’ai tenu dans mes bras comme on tient son enfant (et ce n’est pas si loin, ça ne fait même pas un an). j’étais fière d’avoir atteint mon objectif et encore plus d’avoir conquis un éditeur ! Après vient le temps où je l’ai vu en rayon… je suis restée plantée devant.
Depuis j’ai écrit une nouvelle et le tome 2 de mon bébé qui est entre les mains de notre directrice de collection… Je suis fière aujourd’hui des avis de mes lecteurs et du lien que je tisse avec eux. Je n’aurais jamais pensé que je me prendrais au jeu et que je continuerais dans cette voie.
bonne soirée
Bisous
Exactement pareil !!!