( 17 octobre, 2018 )

Pourquoi me mettre à la peinture ?

 

Pour moi rien n’est un hasard, et lorsque je suis tombée dernièrement sur les carnets de croquis de mon père, j’ai eu une révélation. Je me devais d’essayer ! Petite mes enseignants me disaient que j’étais bonne en dessin, mais c’était mon père l’artiste, et je ne me voyais pas tenter de lui ressembler. Il y a trous ans, lorsque j’ai récupéré ses tableaux et dessins, je me suis sentie attirée par ces couleurs, pas toujours gaies, car ce n’était pas un peintre joyeux. Depuis, je rêve de tenir un pinceau et de barbouiller des couleurs chaudes qui expriment la beauté de la vie. J’ai rejoint des groupes sur Facebook pour apprendre les techniques diverses, je réfléchis sur les matériaux, aquarelles ou peinture à l’huile. Peindre est bien plus coûteux que d’écrire, et il ne faut pas que je me trompe, mais une nouvelle porte s’ouvre pour moi, de nouveaux contacts aussi, la découverte de la Beauté que de nombreux artistes gardent secrète. J’attends juste d’avoir le temps …

Peindre me semble vraiment un prolongement de la plume, un tout. Une autre manière d’apporter un peu de positivisme dans la vie des autres et bien sûr dans la mienne.

 

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3 Commentaires à “ Pourquoi me mettre à la peinture ? ” »

  1. Tienou dit :

    C’est une autre joie !
    Et Toute personne qui ressent en elle la pulsion du coup de brosse (ou pinceau) se doit d’essayer, d’une, de persévérer, au moins un peu : on ne s’improvise pas peintre, et surtout de ne pas se laisser troubler par les écueils.
    Peindre c’est reproduire, plus que ne le fait l’écriture, les visions et les pensées de l’âme.

  2. Elisabeth LEROY dit :

    Je me demande où tu trouves le temps pour tout cela : lire, peindre. Mais en vérité tu y arrives bien. Tu as raison d’essayer la peinture en ce moment. Bon courage et bonne soirée. Bisous.

  3. 010446g dit :

    Il arrive souvent, lorsqu’un ainé a été reconnu dans un art, que les jeunes se sentent mal à l’aise à s’y risquer… tant que le premier vit, puis, comme par envie de prolonger son souvenir, que l’un ou l’autre emboite le pas…
    Foncer!
    Ne pas hésiter!

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