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( 27 décembre, 2018 )

Mon ombre assassine

Mon ombre assassine de Estelle Tarreau

Taurnada Éditions

Tout d’abord je tiens à remercier Taurnada Éditions pour son service presse et sa patience, car débordée, j’ai mis du temps à pouvoir faire un retour.

Le roman est présenté d’une façon très original qui incite à poursuivre, un mélange d’extraits documentaires, de morceaux d’auditions, puis les témoignages de Nadège à travers son propre récit.

L’histoire est celle de Nadège Solignac, une institutrice que tout le monde aime, soupçonnée de meurtre dr en attente de son jugement, une femme avec un passé terrible, qui a fait d’elle une tueuse manipulatrice.

 

C’est un roman vraiment intéressant à lire, qui met terriblement mal à l’aise, car on se sent très partagé face à Nadège. Elle attire tout autant qu’elle dégoûte. Exerçant la même profession que moi, j’en ai eu des frissons d’imaginer une telle psychopathe s’occuper d’élèves, renforçant à posteriori l’idée que trop de personnes se cachent derrière un masque.

Un roman qu’il faut lire simplement parce que notre société nous a beaucoup trop habitués à des psychopathes hommes à tel point que l’on oublie souvent que des Nadège Solignac existent !

Un livre original à découvrir …

Mes phrases coup de coeur

« Les regards aimants n’existent pas. Ils ne sont qu’une apparence sociale, une technique de manipulation, une mise en confiance nécessaire. Nous sommes condamnés à vivre seuls avec nous-mêmes. L’autre n’est qu’un moyen ou un danger. »Extrait de Mon ombre assassine

« Le pire des monstres a droit à une défense sinon nous ne valons pas mieux qu’eux quand la justice s’exerce sans preuve et sans discernement quant aux responsabilités de chacun »

 

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( 27 décembre, 2018 )

Ces stéréotypes …

Ah, ces stéréotypes qui s’incrustent dans les esprits, qui s’y infiltrent, jusqu’à devenir une certitude. Un stéréotype n’est pourtant qu’une simple croyance partagée par un groupe de personnes, souvent fondée sur de fausses interprétations.

Par exemple, notre société va cataloguer les hommes et les femmes en « genre », l’homme sera fort, compétitif, manipulateur, déterminé, séducteur tandis que la femme sera fragile, douce, spontanée, attentive.

De là à conclure qu’un homme ne pleure pas, qu’il est dénué de sentiments, le raccourci est rapide.

Stéréotypes sociaux : la femme est prédestinée à s’occuper des tâches ménagères ( ben, voyons !) tandis que l’homme, lui, sera plus branché mécanique ou bricolage.

Un petit garçon sera considéré comme « normal » s’il est vif, même violent tandis qu’une petite fille qui va donner des coups de pieds se verra souvent préconiser une consultation chez un psy. Et pourtant ! N’est-ce pas complètement ironique ?

Après on lit régulièrement que les garçons sont meilleurs en maths que les filles. Une analyse sociologique a montré que ce n’était pas le niveau qui faisait la différence, mais l’éducation qui poussait les garçons à aimer les maths et les filles à se tourner vers le français ou le dessin.

Autre stéréotype, les blondes n’ont pas de cervelle ! Stéréotype issu d’une société matriarcale où la femme de l’époque, souvent blonde, n’avait pas son mot à dire. Pourtant, il est évident que la couleur des cheveux n’a rien à voir avec le QI, et pourtant, ce type de stéréotype a la vie dure !

Et je ne parle même pas des stéréotypes sexuels qui se transmettent de génération en génération … Un homme ne peut rester un jour sans baiser ( ahahah), un couple sans rapport sexuel régulier ne s’aime plus, une femme peut jouir rien qu’en regardant un homme dans les yeux (ahahah), les hommes n’aiment que les femmes maigres ( zut pour les 75% de femmes enrobées ahahah), les gros sexes font plus jouir que les petits ( ahahah, c’est un stéréotype qui m’éclate et qui a malheureusement beaucoup de convaincus surtout les nanas coincées), une fille est chiante, c’est qu’elle a ses règles ( euh… effectivement les hormones influent sur le caractère, mais ce n’est pas une généralité), on ne fait pas l’amour pendant les règles ni en dehors du lit ni dans la nature etc, une femme « masculine » est automatiquement gay ( et bien non ! )Et la liste est longue !

Autant ces stéréotypes sont une mine d’inspiration pour une auteure car ce sont de véritables caricatures de notre société, autant il serait temps que les esprits évoluent et regardent le monde tel qu’il est. Après un garçon qui offre des fleurs ou des cadeaux, c’est toujours bien agréable :) :) :)

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( 26 décembre, 2018 )

Mon bilan écriture

Comme j’aime beaucoup le dire, 2018 fut pour moi une année de reconstruction complète consacrée à retrouver l’équilibre de mes énergies et à faire des choix d’avenir pour 2019, à aussi découvrir d’autres passions comme la peinture. Résultat, je l’avoue, ma plume, en dehors de ce blog, fut un peu paresseuse. J’ai juste écrit Ambre, la suite de Pourpre, qui sortira fin 2019. Il est vrai que j’ai tout de même pris beaucoup de temps pour retravailler tous mes anciens polars repris par ma maison d’édition, et cela ne paraît pas, mais replonger dans d’anciens manuscrits, c’est un peu tout recommencer, car on trouve toujours des failles, des grosses bourdes, voire des  envies de tout changer. Heureusement que j’ai une excellente directrice de collection qui sait faire la part des choses. Ayant pu reprendre mes droits pour Hashimoto, mon amour, j’ai aussi en Juillet 2018 pu lui faire peau neuve et permettre à mon édition de lancer Maladies thyroïdiennes, dévoreuses de vie.

Au final, je n’ai pas vraiment rien fait si on regarde de plus près, puisque Bleu et Noir font également peau neuve et seront de nouveau en vente en 2019.

Et justement 2019, allez-vous me dire, et bien, j’ai de nombreux synopsis dans mes carnets, des histoires à écrire, polars, des  romances, et d’autres idées de projets qui commencent à germer. Il ne me manque que le temps. Nous verrons bien ce que la vie réserve ! Chaque seconde est importante, chaque mot posé l’est également, et une année, c’est long et pourtant cela passe vraiment vite !

En attendant, continuez à faire connaître mes livres … s’ils vivent , c’est grâce à vous !

https://www.evidence-boutique.com/samsara/maladies-thyroidiennes-devoreuses-de-vie

https://www.evidence-boutique.com/clair-obscur/rouge

Vous y trouverez Rouge, Blanc, Pourpre

Chaque jour, une pensée

https://www.amazon.fr/Sylvie-Grignon/e/B01CDBWI58/ref=la_B01CDBWI58_ntt_srch_lnk_6?qid=1545836733&sr=1-6

 

Et sur amazon ( en recherche éditeur)

https://www.amazon.fr/Juste-une-seconde-Sylvie-GRIGNON-ebook/dp/B0773THGQC/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1545836837&sr=1-1&keywords=Juste+une+seconde+sylvie+grignon

 

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( 26 décembre, 2018 )

Assumer ses choix

Rien n’est plus difficile que de choisir, car comment savoir à l’avance si notre choix sera bon pour l’autre ou pour nous ? Cette certitude ne sera possible qu’avec un recul, parfois très long, et entre les deux, diverses émotions peuvent se profiler comme le regret, le remord, la déception, la frustration voire le découragement.

Assumer ses choix ne veut pas dire nécessairement sortir glorieux. Les relations humaines ne sont pas des combats de gladiateurs, et même si certains, souvent la gente masculine, ne supportent pas de voir leur ego touché, il n’en demeure pas moins que certains choix de vie sont indispensables à la survie.

Faire un choix implique que nous allons mettre une croix sur une des deux possibilités qui se présente, croix définitive parfois, croix qui va impliquer peut-être un changement de vie, de pensées. Rien n’est plus compliqué. Assumer ses choix, c’est être certain qu’il ne pourrait pas exister de meilleure option, que notre avenir ou notre bonheur voire celui de l’autre, sont incontournablement liés à cette décision

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Loin d’être facile, n’est-ce pas, car le doute reste inéluctablement tapi dans l’ombre avec des questions sous-jacentes. Et si nous étions dans l’erreur ? Et si ce choix allait nous éloigner du bonheur ? Et si l’autre pour qui nous avons fait ce choix allait nous en vouloir éternellement ? Tant de « et si … »

Assumer ses choix, c’est assumer les conséquences de ces choix, même les erreurs possibles. C’est aussi s’autoriser une ouverture au cas où l’autre choix se profilerait avec plus de fermeté quelques mois ou quelques années plus tard. Ne pas rester sur ses positions, et s’ouvrir à un éventail de choix alternatifs.

Assumer ses choix, c’est avant tout avoir confiance en soi. Nous sommes les seuls à savoir ce qui est bon pour nous, et le piège dans lequel on tombe souvent trop facilement est de penser savoir ce qui est bon pour les autres.

Notre choix est notre responsabilité. Nous sommes la somme de nos choix et ne devons jamais laisser notre dernière décision, même mauvaise, prendre le dessus.

 

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( 25 décembre, 2018 )

Noël de ma vie, Noël aujourd’hui …

 

Éternelle rêveuse, j’ai longtemps cru que le père Noël existait « quand même », malgré les adultes qui m’affirmaient le contraire. Je voulais croire que quelque part en Laponie, un endroit où je n’aurais jamais été, ce bonhomme rouge passait des jours tranquilles, en attendant de pouvoir combler les enfants sages. Déjà, je trouvais injuste que certaines de mes copines n’aient pas de cadeaux, que d’autres ne festoient pas en famille. Ce père Noël me semblait la solution à tous les malheurs, un peu comme si le temps d’un jour, le bonheur était pour tout le monde.

Et puis j’ai grandi, et franchement, ce n’est pas rigolo de grandir. J’ai découvert que la guerre continuait dans le monde même le jour de Noël, que des gens mourraient ce jour-là, que d’autres pleuraient. Et puis, j’ai vécu son dernier Noël, un Noël magique, un Noël unique, parce que c’était le dernier. J’ai fait en silence un vœu, mon seul souhait, qu’un miracle arrive, mais le père Noël n’a pas ce pouvoir, même pas les médecins. N’empêche que son dernier Noël fut grandiose ! Des jouets à profusion comme si la quantité pouvait remplacer les années qu’il ne vivrait jamais.

Et puis, il y eu « l’après », d’autres Noël, d’autres enfants, d’autres souffrances aussi, des amours perdus, des amis disparus. Et puis, de nouveaux Noël où sur la pointe des pieds, j’ai osé faire revivre cette magie, des petits-enfants, des voitures, des peluches, une famille, MA famille, eux, ma véritable magie de Noël aujourd’hui !

Si vous saviez père Noël, les choix que j’ai dû faire dans ma vie, le chemin que j’ai parcouru, les larmes versées, les genoux égratignés, simplement pour préserver cette unité, vous n’auriez pas fait mieux en Laponie, sans tous ces Noëls de ma vie.

 

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( 24 décembre, 2018 )

La magie de Noël

En cette veille de Noël, j’ai une tendre pensée pour tous les oubliés, ceux qui sont seuls, ceux qui sont isolés, ceux que la vie va séparer. Une pensée aux couples « cachés » qui ne pourront pas se retrouver, à tous ceux qui ont perdu un proche cette année, à ceux qui sont au bord du fossé. Une pensée à tous nos anciens souvent simplement perdus dans leurs pensées, pour qui la mémoire effacée ne les relie plus à la réalité. Une pensée à tous nos disparus dont le manque malgré les années sera plus ressenti en ce jour de grande convivialité.

Et puis, parce que la vie reste un merveilleux tableau que j’aime dessiner, une pensée pour tous ceux que j’ai aimés, même ceux que j’ai pu détester,  les sentiments négatifs ne sont que futilités. Une pensée pour mes amis d’aujourd’hui que j’aimerais à jamais, je suis ainsi. La magie de Noël reste pour moi une priorité, celle de voir de grands sourires se dessiner sur le visage de mes petits-enfants adorés.

Bon Noël à tous, et que la trêve de Noël soit enfin au fond de tous les coeurs respectée.

 

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( 24 décembre, 2018 )

Un bocal d’amour.

Et si, au lieu de ne penser toujours que négativement, de ne voir « l’autre » que comme un monstre ou une folle, vous déposiez juste dans un bocal quelques mots qui font du bien. Et si, au lieu de ronchonner dès votre réveil, vous applaudissiez le simple fait d’être en vie. Et si, plutôt que vous morfondre sur ce que vous n’avez pas, vous comptiez un peu tout ce que la vie vous a apporté, tous les mots d’amour que l’on a un jour susurré à vos oreilles, toutes les caresses qui vous ont enveloppé. Et si, plutôt que de maudire votre boulot, vous décidiez d’en changer ou simplement de l’améliorer. Et si, au lieu de toujours renoncer, vous acceptiez cette douce réalité, vous êtes la seule personne capable de remplir un bocal d’amour et de lumière, tout comme vous êtes la seule personne à pouvoir laisser ce bocal vide. Alors, plutôt que de toujours voir la coupe vide, regarder la beauté qui se cache derrière la grisaille que vous avez dessiné, le sourire derrière la noirceur que vous avez inventée par facilité, et chaque jour de l’année, remplissez ce bocal d’amour de plein de messages apaisés.

 

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( 23 décembre, 2018 )

Peut-on vraiment encore sauver notre planète ?

Restons résolument optimiste et pensons que oui, sinon quel triste héritage nous allons laisser aux générations futures. Si on écoute les uns, c’est la faute d’untel, si on prête l’oreille aux autres, ce sera unetelle, mais au final, il ne faut pas se leurrer, nous sommes tous dans la gadoue, et nous avons tous participé de près ou de loin à cette Terre qui disparaît petit à petit sous les montagnes de détritus, sous les nuages noirs de pollution. Qui n’a pas acheté une couche jetable lève la main ? Qui n’a pas utilisé un tampon ou une serviette périodique lève la main ? Qui n’a pas préféré choisir la pomme bien rouge, sans bosse, certainement bourrée de pesticides, lève la main ? Qui n’a pas laissé la lumière allumée, un ordinateur ou simplement qui a préféré monter le chauffage plutôt que de mettre un second pull ? Qui préfère mettre en route la climatisation l’été ? La liste est longue aussi longue que les erreurs des hommes. Chacun a souvent inconsciemment contribué à détruire notre planète, un coup de déodorant, trop de produits nettoyants, et doit-on parler des particules macroscopiques médicamenteuses que nous offrons en souvenir et qui s’infiltrent dans les sols.

Malgré cela, j’ai bon espoir que l’on sauve notre belle planète, peut-être simplement en secouant les idées pré-conçues, en apprenant les bons gestes dès la toute petite enfance. Peut-être si l’homme avait le courage de renoncer au profit, de former des jeunes pour de nouveaux métiers totalement dédiés à l’écologie. Peut-être aussi en acceptant de renoncer au confort. La loi sur l’interdiction des sacs plastiques est un premier pas, car deux siècles pour faire disparaître ces monceaux au fond des mers est un réel problème. Seulement il reste les bouteilles en plastique, les couches bébé, et l’utilisation de tous ces cartons. Vous achetez une boîte de gâteaux, dedans, il y a plus de plastique et carton que de nourriture !

Je pense qu’avec l’énergie solaire, on arrivera à sauver notre planète, mais pour cela, il faudrait que chaque personne y mette un peu du sien, politiciens inclus, et rien que cela, ce ne sera pas facile !

 

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( 22 décembre, 2018 )

Croire en ses rêves …

Parce que je me suis accrochée, que j’ai plié sous les coups sans me casser complètement, cette chanson me parle :)

 

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( 22 décembre, 2018 )

Vivre ses rêves …

Suivez vos rêves ils connaissent le chemin …

Il y a cinq ans, j’ai cru en eux, et je continue …

 

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