( 16 mars, 2019 )

Une romance est-elle de la littérature ?

Une nouvelle question posée sur mon blog : écrire une romance est-ce écrire de la vraie littérature ? J’avoue être un peu coincée car la new romance, très à la mode aujourd’hui, j’ai beaucoup de mal à accrocher. Que voulez-vous, je suis une littéraire de formation et je bute sur le style souvent très primaire. Je prends par exemple « After », « Calendar girl », des romans avec une trame infime, sans vraie surprise, du sexe assez soft, mais suffisant et surtout un livre bourré de vocabulaire familier.

Quand je vois que mes Carla  furent réfutées par une édition car plus au goût du jour, qu’une autre édition beaucoup plus axée vers les livres sérieux , à l’inverse, très littéraire adore, mais pas avant 2021, que les contrats numériques, eux, affluent, je suis très amusée. Une autre édition, après envoi du contrat que je n’ai pas signé, m’a demandé de tout réécrire dans le style « (presque) jeune (presque) jolie (presque) célibataire) », en clair casser vraiment le côté littéraire de ce roman pour faire du très facile à lire !

En ai-je envie ? Curieusement, non, je pense que certains textes doivent rester ce qu’ils sont au départ s’ils ne veulent pas perdre leur âme.

Après devons-nous, nous petits auteurs, passer par cette case « lecture facile » de la new romance ?

Je n’ai pas non plus la réponse mais quand je vois un livre comme Calendar girl qui s’est vendu à plus de six millions d’exemplaires, cela fait rêver bien sûr, et en même temps, on est loin de la plume de Marguerite Duras par exemple. Je ne veux pas paraître cynique, mais à côté de « l’amant » ou de « Hiroshima, mon amour », la new romance, ce n’est pas pour moi de la vraie littérature. Après, si je me retrouve avec une obligation urgente financière, je céderai peut-être à cette mode, plutôt par obligation que par pur plaisir !

Et vous ?

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( 16 mars, 2019 )

Le salon du livre de Paris 2019

Ce sera ma cinquième année consécutive en qualité d’auteure ! Et oui ! Quitte à me répéter, ce salon est pour moi symbolique. J’y suis allée chaque année depuis mes quinze ans, arpentant les allées, farfouillant sur les stands, revenant en général le sac rempli de bouquins. Seuls les vrais amoureux des livres peuvent comprendre ce doux plaisir à lire une quatrième, à caresser une couverture, le coup de coeur pour le roman inconnu qui nous fait de l’œil. À l’ère du numérique, on prend vite l’habitude de lire sur liseuse, au coût moins cher, parfois aussi moins encombrant, mais une fois dans ce gigantesque salon, l’envie de retourner au papier est la plus forte.

J’ai la chance encore cette année de dédicacer mes polars ainsi que mes recueils.

Je ne suis pas une adepte, contrairement à beaucoup d’auteurs, des séances de dédicaces, souvent bien fatigantes, mais ce salon reste, pour moi, un grand moment de bonheur !

Chaque année, je me dis toujours que ce sera le dernier, que d’autres auteurs talentueux viendront prendre ma place, chacun son tour, et j’ai l’immense plaisir depuis cinq ans d’être toujours présente, même si les maisons d’édition , elles, ont changé.

Alors si la vie veut que ce soit ma dernière année ( nul ne sait ce que sera demain), je peux vous dire que demain je vais pleinement savourer cette magnifique journée et je vous raconterai tout ! Promis !

 

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( 15 mars, 2019 )

Les blessures du coeur

 

Rares sont les personnes qui n’ont jamais souffert dans leur vie et j’avoue ne pas trop savoir si je les envie ou pas. Être blessée, c’est déjà être capable de ressentir une émotion, donc quelque part d’être vivant. Une blessure est le signe que l’on a essayé, que l’on a tenté même si on s’est vautrée ensuite.

Une blessure n’est au fond qu’un simple « bobo » qui peut faire mal, qui peut saigner mais qui finira par cicatriser si on ne passe pas son temps à vouloir gratter sans cesse  la plaie.

Alors pour toutes ces blessures, que ce soit les blessures du coeur, de l’âme, celles de notre orgueil et de notre vanité, il faut bien comprendre qu’elles finiront par s’estomper si on évite de les raviver.

Comme vous tous, j’ai été blessée dans ma vie, j’ai souffert aussi, j’ai survécu au pire, et j’avance toujours, meurtrie, certes, mais libre et sans rancune. D’autres tenaces aimeraient me voir me noyer, mais même si parfois je manque de chavirer, je finis par retrouver mon équilibre, parce que justement ces blessures me rappellent que l ‘on peut toujours guérir de tout. Peu importe ceux qui voudraient m’emporter dans une guerre sans fin, qui aimeraient lire la peur dans mes yeux, ils ne verront que cet amour que j’ai de la vie, cette foi intacte malgré des décennies, parce qu’un jour, « il » fut …

Ne jamais oublier que : « Aujourd’hui nous sommes le résultat de nos pensées d’hier et demain nous serons ce que nous pensons aujourd’hui » Bouddha.

En tous les cas, pour moi c’est le salon Dimanche, et j’ai vraiment hâte d’y être !

Un bonheur que personne ne m’enlèvera !

À dimanche donc la compagnie !

 

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( 15 mars, 2019 )

Les enfants malades.

 

J’ai regardé les premiers épisodes de la série les bracelets rouges saison 2. Toujours un immense bravo à cette magnifique série pleine d’humanité où on sourit, on rit, on sent aussi les larmes monter aux yeux.

J’ai connu ce monde, un monde bien à part, un monde où la vie n’est pas rythmée de la même manière, où simplement les aiguilles du temps se stoppent.

La première fois que l’on arrive dans un service d’enfants malades, ce qui surprend c’est d’abord les couleurs, ce sont rarement des murs blancs. On voit des dessins partout, des jouets qui traînent, des rires parce que dans ces murs, il n’y a souvent que les parents qui pleurent. Les enfants, eux, rient, s’amusent, ne cessent pas de vivre. Seulement, il y a la mort qui rôde comme une ombre derrière chaque visage, derrière chaque sommeil.

Mais on s’habitue, parce que l’on s’habitue à tout, parce que surtout la vie continue même si parfois c’est dur, même si on prend des chemins détournés, on continue tout simplement parce que l’on y croit, parce que l’on veut y croire encore jusqu’au bout, parce que surtout on veut conserver juste cette petite étincelle tellement importante, celle qui allume les souvenirs.

Voilà pourquoi en regardant cette série, je revois se dessiner tous les moments heureux, tous ses éclats de rire, toutes ces mains que j’ai serrées, tous ces petits visages auxquels j’ai souri durant l’année que mon fils a passé à l’institut Gustave Roussy de Villejuif, au neuvième étage, celui des enfants cancéreux.

La maladie des enfants reste une merveilleuse leçon de courage ! Ils ont une force que nul n’égal, un rayonnement unique, peut-être parce que leur temps de vie sur terre est si court qu’il doit ensuite nous servir de lanterne toute notre vie.

https://youtu.be/LcFyPgd36vs

( 14 mars, 2019 )

Comment naît un manuscrit ?

Une étincelle, un mot ou une phrase entendus, et c’est l’évidence ! On sait, on en est sûr, on tient le sujet du siècle. La naissance d’un roman est identique à celle d’un enfant. La gestation va se faire, peut-être pas durant neuf mois, mais durant quelques semaines. On hésite. Est-ce que cela pourrait avoir un intérêt ? Est-ce que l’idée n’est pas trop « nunuche » ? À l’inverse, n’est-ce pas trop polémique ?

On tâtonne. Selon les personnes, on va sculpter ensuite les personnages. Pas facile de trouver « les bons personnages » qui vont coller exactement à notre roman. Il ne faut pas qu’ils soient trop caricaturaux, mais il ne faut pas non plus qu’ils soient trop ordinaires. Avec le temps, j’ai découvert que, bien plus que le physique, les lecteurs s’attachent à la vie des héros, à leurs états d’âmes, à leurs souffrances, peut-être pour s’y retrouver un peu. La naissance d’un manuscrit peut naître aussi à partir d’un personnages. Ce fut le cas lorsque j’ai écrit « Juste une Seconde ». J’avais le personnage de Nadia en tête, cette femme victime d’agoraphobie qui va se retrouver une victime d’un attentat. Contrairement à mes polars où je commence par tout miser sur l’intrigue, je suis partie de l’humain pour en faire une histoire.

Un manuscrit peut donc naître de mille façons différentes, un mot, je le redis, entendu, une image qui va provoquer une série d’idées qui vont se façonner en ancrage, un personnage qui va être mis au monde afin de pousser son premier cri.

Par contre, je me refuse à me fondre dans une ligne éditoriale qui m’imposerait d’écrire, de refaire parce que « cela se vend ». Ce serait un peu comme saupoudrer une recette et de rajouter trop d’épices parce que c’est à la mode ! Il faut laisser juste sa plume courir et ne pas vouloir à tout prix publier immédiatement ! Il faut laisser le temps au temps …

Au fond, peu importe les raisons qui vont permettre cette émergence d’idées, l’important reste cet acte d’écrire, tellement important, unique pour chacun, mais qui reste le signe d’une société libre.

 

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( 13 mars, 2019 )

Parce qu’un jour, on y croit et que l’on ne doit jamais cesser d’y croire !

Qui n’a pas vu un jour se dessiner tel un arc-en-ciel, l’espoir ? Souvent il apparaît au tournant d’un chemin, un peu comme une évidence, comme un coup de foudre ou de coeur. Ce peut-être une histoire d’amour, une amitié, un nouveau travail, un choix professionnel, peu importe ! Il sème sa petite graine qui va ensuite doucement germer.

Alors on se met à y croire, souvent même lorsque l’on n’y croyait plus. On se sur prend à rêver de nouveau, à formuler des hypothèses « Et si… », à remplir des carnets d’idées, de possibilités …

Parce qu’un jour, on se remet à y croire, tout redevient possible. Le manteau de vie un peu grisâtre que l’on se plaisait à porter prend des allures festives. Les obstacles qui nous semblaient infranchissables, nous semblent soudain insignifiants.

Parce qu’un jour, on y croit vraiment, nous ne pensons plus qu’au temps présent. Fini, les Hier. Fini, les Demain. Il ne subsiste que le Maintenant.

Espérer, c’est renoncer à se morfondre sur son passé, à continuer à ruminer de vieilles rancoeurs, c’est également ne pas vouloir construire un avenir qui ne serait qu’une entrave à la vie. Trop de personnes, certainement par besoin de sécurité, ont besoin de poser rapidement des pierres et de s’y installer, parce que souvent, elles ont vécu trop longtemps dans un désert affectif ou dans une vie toute tracée, et que se projeter de nouveau les sécurise.

Seulement, il faut laisser les graines germer, il faut accepter de voir les fleurs s’épanouir, puis se faner, pour reprendre vie ensuite, il faut surtout laisser l’imprévu s’infiltrer dans le quotidien, car c’est lui et lui seul qui va laisser ces projets s’inviter dans nos vies, et surtout continuer de croire, que la vérité peut triompher, et que le mensonge, lui, sera dévoilé.

Parce qu’un jour, on y croit, on continue d’avancer …

 

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( 13 mars, 2019 )

Ne pas rester dans les non-dits.

Bien trop souvent, les non-dits génèrent des non-sens voire des blocages dans la communication. Il suffit parfois d’un rien, d’une goutte d’eau, et le trop-plein inonde tout. Rester dans le vrai, dans l’authenticité est primordial, seulement il faut aussi savoir être lucide, cette goutte d’eau, même si elle n’a pas de raison d’être, ne devient pas un océan par hasard. Blessure d’ego, jalousie, orgueil bafoué, ou simplement impossibilité de communication. Le « on-dits » devient alors vérité, la vérité devient rumeur, la rumeur devient arme. Triste société qui au lieu de fonctionner sur la générosité va immédiatement interpréter, détruire, simplement pour donner du sens à un ressenti propre. Combien d’adultes je croise, qui se comporte comme des gamins dans une cour de récréation usant du «  C’est pas moi, c’est lui ! », n’hésitant pas à mentir, à manipuler, pour arriver à leur fin, oubliant souvent le point de départ de la discorde.

Pourquoi la communication est-elle si importante ? Simplement parce que communiquer veut dire créer du lien, et que hormis les personnes dites asociales,les autres ont besoin de ces échanges positifs pour mettre un peu de soleil dans leur vie. Une bonne communication évite les conflits, ces non-dits, les rumeurs. Si on est clair avec soi, si on est en accord avec ses idées, alors il ne peut y avoir d’incompréhension sauf si l’autre de son côté n’est pas totalement honnête.

Des disputes, des embrouilles, tout le monde en rencontre un jour, mais cela ne tourne pas nécessairement au psychodrame ! Avant d’arriver à ce stade, bien se poser les véritables questions : ce que l’on me rapporte est-il vrai ? Si c’est le cas, est-ce une raison de me fâcher avec untel ? J’ai dit une bêtise, que puis-je faire pour la réparer ? J’ai compris de travers, comment rétablir une bonne communication ?

Je pense surtout que sous l’emprise de la colère, de l’énervement, de la lassitude, on peut facilement déraper, mais qu’il est important de ne pas briser une communication par orgueil. Plus le temps passe, plus la goutte d’eau va devenir une rivière, et à un moment, même une bouée ne suffira pas pour ne pas se noyer, et quelle tristesse de n’arriver à ne vivre que dans le conflit ! Personnellement, sachant mal nager, j’ai choisi te tendre la main quitte à me la faire bouffer par le crocodile du coin ! :)

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( 12 mars, 2019 )

Est-ce plus facile d’écrire un polar que de commettre un meurtre ?

« Est-ce plus facile d’écrire un polar que de commettre un meurtre ? » J’adore quand mes lecteurs me posent de telles questions ! Tout d’abord n’ayant jamais commis de meurtres, je ne peux donc pas vraiment répondre à cette question, par contre je peux beaucoup plus facilement parler de la facilité ou non, de se mettre à l’écriture d’un manuscrit policier ou bien d’un thriller.

J’aime écrire depuis toujours. Comme je l’ai déjà expliqué à multiples reprises, j’étais fan à l’âge de huit ans des « Alice » des « Fantomette », « Le club des cinq », bref toutes ces petites histoires qui appartiennent à une autre génération, mais qui faisaient mon bonheur. J’ai écrit des pages sur mes vieux carnets, des suites au Club des cinq, des aventures qui auraient pu être vécus par des gamins. Mais n’ayant jamais été une grande téméraire, je ne me serai pas risquée à vivre une de mes aventures. C’est ce qui est fabuleux dans l’écriture, cette possibilité de vivre au travers des mots une vie tout en gardant bien ses deux pieds sur Terre.

Lorsque j’ai commencé mes polars, je n’ai pas eu la science infuse. J’avais des amis fidèles qui m’ont poussée, qui me suggéraient des idées, des situations, des personnages. C’est pour cette raison que j’ai toujours dit que Rouge fut un vrai manuscrit d’équipe. Seule, je n’aurais jamais pensé à de tels rebondissements, et surtout je n’aurais jamais osé publier le manuscrit. Ensuite, tel un oisillon, j’ai commencé à prendre mon envol, tout en gardant précieusement mes bêtas lecteurs sans qui je ne serai rien. Bien écrire, c’est prendre du recul, et seul, on ne peut voir les incohérences, les faiblesses d’un ouvrage tellement on est plongés dedans.

Pour conclure, je dirais juste que je ne sais pas si commettre un meurtre, creuser dans son jardin pour enterrer un corps est facile, et honnêtement, je préfère ne pas le savoir. Je reste convaincue que la haine n’a jamais apporté de bien à quiconque. Par contre, se lancer dans l’écriture d’un polar demande beaucoup de temps, beaucoup de recherches aussi pour ne pas tomber dans le piège du polar « déjà lu » ou de la série vue à la télévision. Cela demande aussi une énorme souplesse d’écriture, savoir comment alterner les situations, les lieux, les meurtres. Et surtout d’éviter de tomber dans la facilité !

Une fois le scénario bien défini. Il faut foncer ! Et je peux vous dire que vous prendrez un immense plaisir à écrire un polar, bien plus certainement que de commettre un meurtre … Ahahah :) :) :)

 

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( 12 mars, 2019 )

Le pouvoir de la pensée …

J’ai toujours cru profondément au pouvoir de la pensée comme au pouvoir des mots. Un mot n’est en fait que la résultante de dizaines de pensées qui se sont croisées, qui se sont entrechoquées, qui se sont aimées ou détestées. Un mot, ce mot, va ensuite nous emporter vers un horizon où nous nous retrouverons toujours seul face à cette immensité. Les mots peuvent alors se poser sur nos rêves comme un nuage de douceur ou se comporter comme une arme et faire du mal. Seule notre manière de les appréhender fera la différence. Les personnes « trop gentilles » seront souvent des éponges à sentiments, s’imprégnant de petites phrases, les avalant, les assimilant, sans arriver pour autant à les vomir.

Le pouvoir de la pensée va être ce qui définit notre vie, nos relations. Penser avec bienveillance nous apportera de la douceur, un bien-être, une paix certaine. Penser négativement renversera la situation et nous conduira à broyer du noir, à devenir déprimés voire dépressifs. S’entourer d’individus négatifs ne nous conduira qu’à nous enfoncer vers des abîmes sans fin où nous ne pourrons compter que sur nous-mêmes, car il est bien illusoire de penser qu’en pleine noyade, quelqu’un, à notre époque, trouvera l’énergie de nous envoyer une bouée.

 

Pourtant, curieusement, souvent, tels des aimants, le négatif attire le négatif, et telle une boucle sans fin, l’homme se retrouve dans un tourbillon dont il n’arrive plus à sortir. Il faut avoir le courage de donner un grand coup de pied dans la fourmilière, même si au départ cela fait un peu mal, même si on s’en sort avec difficulté, l’important est de s’en sortir, vraiment.

Alors, croire en la force de la pensée, croire en soi, croire positivement, c’est une porte ouverte vers une vie où le gris n’existera plus, où seul le soleil laissera passer ses rayons…

« On n’obtient pas ce qu’on veut, on obtient ce en quoi on croit. » Oprah Winfrey….

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( 11 mars, 2019 )

Salon de Paris 2019

Pour tous ceux qui souhaitent me retrouver, ou plutôt retrouver mes livres dont la sortie de BLEU, je serai au salon de Paris dans quelques jours ! Fait exceptionnel ne pouvant allier dédicaces et travail scolaire, et surtout ma maladie auto-immune m’octroyant de grosses douleurs dorsales et cervicales. Mais je serai là ! Et heureuse de vous retrouver  !

 

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