La société idéale
À chaque époque, l’homme a rêvé d’une société idéale souvent utopique, retranscrite dans les livres, les films. On s’aperçoit vite que chaque personne a sa propre définition de la société idéale puisqu’en fait, chacun a son propre idéal. On l’a vu récemment dans ces « cahiers de doléances du XXI siècle », certains vont demander plus d’argent, plus de bien-être, d’autres penseront à l’avenir, à la planète. Une fois encore, comment accorder une société de plusieurs millions d’habitants avec tous des aspirations différentes ? Notre monde d’aujourd’hui se rapproche de plus en plus « du meilleur des mondes » de Huxley où l’homme se fond de plus en plus dans des mondes électroniques jusqu’à s’y perdre au détriment de l’empathie, de l’amour et de la bienveillance.
La société idéale, au final, serait peut-être tout simplement une société où chaque individu pourrait s’accomplir dans un travail qu’il aime, où les inégalités financières n’existeraient plus, où la violence ne serait plus la seule réponse à un conflit.
Utopique ? Certainement mais bien moins destructrice que cet avenir vers lequel nous fonçons tous les yeux fermés simplement occupés à toujours critiquer.
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