Le réel face au virtuel
Je fais partie de la vieille école qui préfère les rencontres réelles plutôt que de rester collée au virtuel. J’ai toujours été une adepte des échanges et de la communication. Écrivant depuis toujours , j’avais adolescente de nombreuses correspondantes. Nous échangions des lettres très longues avec cartes postales et photos à l’appui. Honnêtement, les mails à côté, c’est du pipeau ! Hormis un correspondant à Saint-et-Miquelon, j’ai toujours réussi à rencontrer mes contacts au fil du temps. Quelle riche expérience ! Ce fut la même chose lors de mes projets de classe sur les droits de l’enfant, sur l’handicap, où j’ai créé des liens avec des intervenantes qui sont toujours dans mon cercle amical aujourd’hui, c’est également le cas avec ma casquette « auteure ».
Les rencontres sont de belles richesses. Elles ne nous apportent pas la fortune, mais ces échanges valent de l’or. Par le biais des réseaux sociaux, j’ai retrouvé des amies de jeunesse, des anciens parents d’élèves, même des élèves, et c’est cette multitude de contacts qui permet d’être entier. J’ai découvert de vrais amis que je ne lâcherai pas même si on me signait un chèque à plusieurs zéros !
Alors, non, je ne regrette rien, aucune de mes rencontres faites « en réel » et j’espère bien en faire encore beaucoup parce que ce sont ces multiples échanges qui nous aident à nous construire encore et encore, et peut-être à rester jeune
La rose de ma terrasse au lever qui montre que les moindres graines fleurissent …
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