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( 23 décembre, 2019 )

Nostalgie … Rouge, un jour …

 

Le 23 décembre 2013, Rouge prenait vie chez Edilivre. Quel bonheur que de voir ces mots écrits depuis des mois s’étaler dans un livre, un vrai ! Je me souviens que j’en ai pleuré de joie tellement l’émotion était forte. On a beau dire, on se souvient toujours de son premier bébé ! Publier chez Edilivre fut un pur hasard, même si je ne crois pas au hasard. Je n’avais même pas eu l’idée de mettre mes écrits dans les mains d’un diffuseur. Edilivre étant une édition alternative assimilée pour beaucoup à de l’autoédition, le livre fut accepté sans souci et voilà comment, il y a six ans, le premier ouvrage de ma série couleur est né ! Il était bancal, plein d’imperfections et pourtant, il en a eu des lecteurs ! Il s’est nettement amélioré lors de sa seconde parution chez Evidence éditions. Au final, c’est mon roman qui aura eu le plus de couvertures, toutes aussi belles les unes que les autres.

Je voulais rendre hommage à ce polar, totalement né de mon imagination ( je précise car j’en ai entendu des personnes parler de complots, de relations tordues existantes, de fantasmes délirants), à ce tout premier bébé livre qui m’a plongé dans la marmite de l’écriture. J’ai mis des années avant d’oser dire que j’étais une auteure tellement cela semblait irréel. Il m’a fallu côtoyer le monde de l’édition aux côtés de mon ancienne éditrice FD pour comprendre que j’étais bien un maillon de cet univers, petit, mais non négligeable.

Peu importe le nombre de livres qui a suivi, je garde une certaine nostalgie positive de ce ravissement qui a bouleversé ma vie pour toujours. Je resterai éternellement reconnaissante envers ceux qui m’ont aidée dès le début, qui ont cru en moi, qui sont restés fidèles.

On a beau dire et redire que l’on n’écrit que pour soi, savoir que notre livre offre du plaisir, de l’émotion, de la détente à d’autres, cela fait vraiment du bien au coeur !

Alors continuez à me suivre, continuons à traverser la vie, ensemble !

https://livre.fnac.com/a11231345/Sylvie-Grignon-Rouge?esl-k=sem-google%7Cng%7Cc237496096512%7Cmb%7Ck%7Cp%7Ct%7Cdc%7Ca58186874548%7Cg1010282809&Origin=EF_GOOGLE_FNAC_LIV&gclid=EAIaIQobChMInb6tjZa_5gIVAbDtCh3I_QU3EAAYASAAEgJ_8PD_BwE&gclsrc=aw.ds

 

Rappel de l’histoire :

 

Quand médecine et polar se rencontrent, cela donne un résultat aussi envoûtant qu’effrayant !

Matt Louvier, ancien chercheur ayant fait une découverte stupéfiante, va voir sa vie bouleversée entre son amour fou pour Marie, amnésique suite à un accident.

 

Matt Louvier, ancien chercheur ayant fait une découverte stupéfiante, va voir sa vie bouleversée entre son amour fou pour Marie, amnésique suite à un accident, et son désir pour Adelyse, une jeune femme moderne et libérée qui pourrait être sa fille. Le destin de ces différents personnages va se recouper avec celui de leurs familles, de leurs amis et celui de jeunes victimes retrouvées égorgées, portant toutes un caducée tatoué sur la cheville.Quel lien unit toutes ces personnes si différentes ? Qui est le tueur au caducée ?

 

 

Quelques chroniques …

http://blondes-and-litteraires.over-blog.com/2018/04/rouge-1-de-sylvie-grignon-2017.html

 

https://auroredesbullesetdescouleurs.fr/2019/06/chronique-de-rouge-de-sylvie-grignon/

 

http://croqueurdelignes.over-blog.com/2019/02/rouge-de-sylvie-grignon.html

 

https://viou03etsesdrolesdelivres.blogspot.com/2014/05/rouge-sylvie-grignon.html

 

https://lesmotordusdanneju.com/2015/07/15/a-la-rencontre-de-sylvie-grignon-une-auteure-qui-nous-veut-du-bien/

 

https://leslecturesdepampoune.blogspot.com/2014/08/rouge-sylvie-grignon.html

 

http://www.cirac.org/club/Rouge-SG.htm

 

https://www.focus-litterature.com/8131874/chronique-rouge-tome-1-sylvie-grignon/

 

https://www.instagram.com/4bookine/p/ByH0yipCfKw/

 

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( 22 décembre, 2019 )

Le bonheur, c’est facile …

Le bonheur, c’est facile, qu’ils ont dit. Seulement, pourquoi je croise sans cesse des personnes qui font la tête, qui voient le monde en noir, qui peignent tout en gris.

C’est peut-être que ce n’est pas si facile que ça, c’est peut-être que la vie n’est pas toujours un cadeau, c’est peut-être que chacun a le droit de regarder la vie autrement.

Et puis, il y a toujours des personnes là pour détruire le bonheur des autres, parce que ce bonheur guimauve qui dégouline, cela les fait flipper, parce que eux, ils n’arrivent ni à être sereins ni heureux. Certains vont même jusqu’à jouer les détectives privés dans la vie ou sur les réseaux sociaux pour se donner l’illusion d’être important.

Seulement, c’est raté, parce que si on est heureux, si on vit paisiblement, leur petit manège ne nous touchera pas !

Le bonheur, c’est tellement facile si on accepte ses propres faiblesses, si on accepte de se donner une chance, si on accepte de tout regarder avec les yeux d’un enfant.

Seulement, on n’est plus des enfants, on n’est plus innocents, on sait d’avance que les cicatrices seront bien longues à disparaître.

Il faudrait, oui, que le bonheur soit facile, mais non, ça ne l’est pas toujours. Il faut faire des efforts pour le voir ce bonheur, pour le garder et surtout s’accrocher et se dire qu’il y a des jours merveilleux, et d’autres qui ne le sont peut-être pas.

Mais ce n’est au fond pas bien grave !

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( 21 décembre, 2019 )

Les mots qui sont dans la tête

Ah ces mots ! ces mots qui vibrent, qui retentissent, qui sonnent, comme ils sont bons à nos oreilles ! Ce sont ces mots qui chantent nos émotions ou nos souffrances, qui s’invitent sur la partition de nos sens, qui s’écrivent en noir ou en couleur selon nos humeurs. Ces mots cognent parfois jusqu’à nous donner la migraine si nous prenons trop de temps à les faire surgir. Ils se sentent prisonniers, enfermés, prêts à exploser.

Alors soudain, au moment où on s’y attend le moins, ils glissent sur le papier avec frénésie, sans pudeur sans censure, ils s’étalent de tout leur long, inondant la feuille de gribouillis sans fin. Parfois ces mots trouvent une autre sortie et prennent vie à travers des notes de musique. D’autres fois, encore, des giclées de peinture multicolores vont remplir une toile, sans but, sans sens, juste parce qu’il est important que ces mots que nous avons dans la tête prennent forme afin qu’ils cessent simplement de hurler en silence. En tous les cas, les miens ont repris le chemin du papier et 2020 s’annonce prometteur ! À bon entendeur ! Soyons et restons ce que nous sommes !

 

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( 20 décembre, 2019 )

L’approche des fêtes

 

On ne peut pas ignorer l’approche des fêtes de Noël, ses guirlandes, ses boules qui brillent, cette sensation de festivités. Si on sait garder une âme d’enfant, on sera particulièrement sensible à ces petites figurines adorables, les petits papas Noël avec leurs traîneaux, les bonhommes de neige miniatures. J’adore regarder ces vitrines lumineuses, voir briller les yeux des bambins. À côté de cela, il y a ces montagnes de jouets dans les magasins, ce choix tellement grand que les parents s’y perdent, que les enfants se roulent sur le sol tellement l’envie est forte de tout avoir.

D’où vient cette idée de cadeaux de Noël ?

Au fur et à mesure des siècles, cette idée sous-jacente a pris vie. Au début, il fut d’usage d’offrir des fruits, des sucreries, des petits gâteaux, puis petit à petit on introduisit les présents.

Les cadeaux étaient surtout offerts au XIX siècle aux familles de la bourgeoisie. Les familles modestes n’avaient souvent qu’une simple orange dans les chaussettes.

Aujourd’hui, ce n’est pas une orange que reçoivent les enfants, mais des montagnes de cadeaux pour lesquels souvent ils ne font pas porter plus de trente minutes d’attention.

Alors, en cette période de crise où beaucoup de familles n’ont pas de quoi offrir de tels rêves à leurs enfants, ne serait-il pas temps de repenser un peu plus à cette simple orange symbolique que l’on offrait ? De cesser de croire que la profusion de cadeaux remplace l’essentiel ? Que souvent, passer un moment à jouer avec son enfant ou lui lire un album est bien plus important que la montagne de jeux électroniques offerte pour avoir la paix ?

Peut-être qu’à l’approche des fêtes, une petite remise à jour s’impose ! Enfin, ce que j’en dis …

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( 19 décembre, 2019 )

J’ai tout fait à l’instinct

 

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours tout fait à l’instinct. Impulsive, entière, je me suis rarement posé de questions. Sentant mes choix comme des évidences, je me suis donc laissée entraîner par mon instinct. Bien sûr, n’étant pas une sainte, je me suis parfois fourvoyée, trop attirée par des personnes masquées. Pas facile quand on a décidé de rester soi de voir ce qui se cache derrière les sourires. Si c’était à refaire ? Je recommencerai ! L’instinct reste la plus forte de mes intuitions, me portant à toujours me relever malgré les échecs. C’est cette petite voix qui me dit : « fais demi-tour ! » lorsqu’un évènement se dessine contraire à mes attentes. C’est cette petite voix qui me souffle : « Ne te retourne pas ! Avance ! Tu es sur le bon chemin. »

Certaines de mes relations ne choisissent qu’après une longue réflexion en pesant le pour, le contre, s’enlisant dans des listes sans fin. Lorsque j’agis, je ne me prends pas la tête. Si je me sens bien, en accord avec moi, c’est que mon instinct est juste. Si une collaboration me met mal à l’aise, c’est qu’il est l’heure pour moi de faire demi-tour.

Je le fais alors sans regret, sans tristesse et sans rancoeur.

L’instinct guide ma vie et j’espère qu’il continuera à orienter mes choix le plus longtemps possible.

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( 18 décembre, 2019 )

Pourquoi peut-on tout faire si on croit en soi ?

Croire en soi, c’est le premier pas vers la réussite. Pourquoi ? Simplement parce que nous sommes les seuls à pouvoir croire vraiment en nous. Vous l’avez certainement constatés, si vous ne croyez pas en vous, même si d’autres vous affirment que vous valez quelque chose, le résultat sera du sur place. Pour faire ce que vous rêvez de faire, vous devez chasser toutes les énergies négatives qui vous freinent, re-conditionner votre cerveau. Vous devez casser l’image négative que vous avez de vous,trop souvent véhiculé par des tiers. Il faut surtout apprendre à ne pas écouter l’avis des autres qui souvent est galvaudé, empreint de jalousie inavouée ou de frustrations.

Une fois que vous serez serein par rapport à votre identité, le pas vers la réussite se fera tout naturellement. Bien sûr, cela ne va pas vous préserver de l’échec, mais cela va vous aider à oser … pour certains ce sera le saut à l’élastique, pour d’autres l’art ou l’écriture, pour d’autres encore tout envoyer valser et changer de voie professionnelle. Il n’y a pas de honte à tenter. Nous sommes tous capables de sortir de notre zone de confort si nous le voulons et ce n’est certainement pas en lien avec une question de lieu, d’argent ou de capacité. Si on croit en soi, le proverbe « si on veut, on peut » va devenir réalité !

 

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( 17 décembre, 2019 )

Youtube est-il en train de tuer le livre ?

 

Avez-vous constaté que les jeunes d’aujourd’hui sont continuellement branchés sur leur téléphone à visionner des vidéos Youtube ? C’est devenu bien plus qu’une mode, c’est un véritable art de vivre. Ils sont immergés dans ces vidéos, écoutant les youtubeurs comme des Dieux. Certes, certaines chaînes Youtube, animées par des chroniqueuses super sympas valorisent le livre, mais ces chaînes ne touchent que les adultes. Résultat les jeunes ne lisent plus.

Dernièrement j’assistais à une recherche faite par plusieurs jeunes qui au lieu de surfer sur Google, trouvaient leurs informations sur Youtube. Le danger, bien sûr, est que les youtubeurs n’ont pas nécessairement la science exacte, mais on peut imaginer une utilisation plus pédagogique de ces réseaux avec la lecture d’ouvrages par exemple spécifiquement destinée aux moins de vingt ans.

Au lieu de se focaliser, comme beaucoup le font, sur l’effet néfaste de Youtube, pourquoi ne pas s’en servir pour justement promouvoir l’importance de la lecture et de la culture ? S’en servir positivement dans les écoles, ouvrir le livre autrement ….

 

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( 17 décembre, 2019 )

La fatigue et les maladies thyroïdiennes

 

Difficile de vivre avec une fatigue engendrée par un dysfonctionnement thyroïdien, bien plus difficile que la fatigue d’une grippe qui met complètement ko, mais dont on sait que « l’après » sera positif. La fatigue de ces maladies de la thyroïde a cet effet pervers, celui d’exister et contre lequel, lorsque cela arrive de ne pouvoir que subir sans savoir quand sera la fin.

Une grippe, chacun connaît les symptômes, une fièvre importante, des courbatures, mais pour une thyroïdite, ce sera différent pour chaque personne et le traitement de substitution ne guérit pas, il aide juste à faire mieux fonctionner la thyroïde défaillante.

Pourquoi cette fatigue ? Simplement parce que la thyroïde débloque soit en travaillant trop ( hyper) soit en travaillant moins ( hypo). Dans tous les cas, on ne se sent vraiment pas bien !

Et dans une société comme la nôtre où l’empathie n’est pas systématique, on assiste à des remarques acides, violentes face à un malade impuissant face à sa fatigue.

Des témoignages nous reviennent : incompréhension de l’employeur, paroles violentes des membres de la famille, la liste est longue. Pourquoi faudrait-il toujours dire que tout va bien ? Pourquoi serait-ce un délit d’oser avouer sa faiblesse ?

Ce que les autres ont beaucoup de mal à comprendre, c’est que les malades de la thyroïde sont des coriaces, des personnes qui justement ont tellement gardé leurs douleurs en eux, qui n’ont jamais pris de jours d’arrêt, qui ont tenu tant que la corde n’avait pas cassé.

Les maladies thyroïdiennes peuvent guérir, mais certains dysfonctionnements comme ceux qui sont liés à l’ablation de la thyroïde suite à un cancer ou la maladie auto-immune d’Hashimoto sont irréversibles. À ce jour, il n’existe aucun cas scientifique relatant des guérisons définitives. Certains médecins se permettent de l’affirmer, car le malade avait été déclaré Hashimoto avec un très faible taux d’anticorps.

Pour revenir à la fatigue, même bien dosé, le malade peut voir ses hormones extrêmement fluctuantes, certainement parce que les anticorps font leur travail de destruction avec la régularité d’un métronome.

Se lever épuisé, c’est se lever vidé moralement et psychologiquement. Comment peut-on passer une bonne journée si déjà dès la première minute on n’a aucune énergie.

Comment le faire comprendre à des enfants qui réclament toujours plus en sentant leur maman malade ? Comment le faire accepter à un conjoint pas toujours tolérant ? Comment l’expliquer à des collègues qui vous trouvent changé ?

Les mots ne servent à rien. Les mots n’expliquent rien. Simplement parce que cette maladie n’est pas prise au sérieux autant par les médecins que par la société.

Il faudrait une vraie reconnaissance des symptômes, de cette maladie.

Je continue à y croire et vous ?

Il y a une vie « avant » mais « après » la vie continue si on s’accroche ! Alors papillons, accrochez-vous !

 

Continuez à parler du recueil, à le lire et à y croire !

 

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( 16 décembre, 2019 )

Ce besoin de tout contrôler !

 

Planifier, décider, organiser, certaines personnes ont ce besoin de tout contrôler. C’est horrible ! Hormis si on est une petite souris soumise, paresseuse et sans personnalité, il n’y a rien de pire que ceux qui prennent ainsi le pouvoir sur les autres.

Personnellement, je déteste cela. Je suis un électron libre et je ne supporte pas que l’on m’impose un rythme ou une manière de vivre. Je n’ai jamais supporté ceux qui s’octroyaient le droit d’organiser ma propre vie ! Rien n’est plus ennuyeux que de se trouver face à une personne qui a tout prévu dans les moindres détails, oubliant que c’est effectivement dans ce confort artificiel que naît le plus d’imprévu !

Cela ne veut pas dire non plus qu’il faut tomber dans l’extrême et ne rien planifier.

Pourquoi alors ce besoin de tout contrôler ? Cela m’intrigue et je me suis laissée aller à m’interroger.

Peut-être une façon de lutter contre un manque de confiance en eux ? Car au moins, en contrôlant tout, ils évitent ( enfin, ils l’espèrent) l’échec.

Une manière également de ne pas se laisser déborder par un trop plein émotionnel, car en anticipant, et bien, on peut tout prévoir ou presque, et la déception sera alors moins grande.

Cette faculté à tout contrôler ne serait-elle pas un vrai danger pour la personne et pour les autres ? Prenons l’exemple d’un week-end planifié, où tout a été prévu, fantasmé et qui au final va se retrouver très éloigné de ce qui était prévu, la résultante sera dramatique.

Une étude sociologique va même jusqu’à énoncer que de nombreuses séparations seraient en lien avec cette nécessité pour un des deux partenaires à vouloir tout régenter, au détriment au final de la liberté de l’autre.

Alors, une tendre pensée à ces maniaques du contrôle qui au final font bien pitié, car à trop vouloir bien faire, ils en perdent l’essentiel : la spontanéité !

 

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( 15 décembre, 2019 )

Le hasard et le monde des livres ?

Comment un petit auteur peut-il ne pas se noyer dans l’avalanche de livres qui se retrouve sur le marché mensuellement ? Comment un lecteur peut-il de son côté ne pas passer à proximité de la perle rare ?

Je lis régulièrement des personnes étalant leurs statistiques, donnant des conseils parfois payants pour énoncer les meilleures stratégies autant pour un auteur que pour un lecteur pour bien choisir, mais y a-t-il vraiment une ligne de conduite à adopter ou est-ce simplement « la chance » du moment ?

En tant que lectrice, il m’arrive de sortir un roman de ma PAL datant parfois de plusieurs années, relançant inconsciemment ce livre par une de mes chroniques. Ces dernières semaines par le biais d’un groupe d’échange d’achats, j’ai découvert plusieurs pépites dont je ne me serai même pas approchées en temps normal.

Simplement parce qu’il y a trop de livres, trop de choix.

J’ai tendance à fuir de plus en plus ceux qui sont partagés à outrance sur les réseaux sociaux. Au lieu d’être accrocheur, cela fait fuir ! Pareillement pour les chroniques trop superlatives que j’évite préférais une chronique sincère  qui va pointer un défaut. Car il faut bien l’avouer, la perfection n’étant pas de ce monde le «  trop super », cela me fait grimacer ! Alors lire un livre, peut-être un peu le hasard ?

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