Le droit de choisir sa fin
J’en avais les larmes aux yeux en entendant aux informations cette centenaire vivant seule dans son appartement, avec toute sa tête, qui souffre tant qu’elle demande à être euthanasiée
Refusé ! Elle n’a pas les critères. Comment une société comme la nôtre qui panique pour un virus comme le Covid ne peut-elle pas comprendre que les refus liés à la religion ou la bonne morale, c’est fini !
J’en ai encore le coeur serré de voir que cette femme arrivée à faire une grève de la faim à 100 ans pour ameuter les médias !
Et ce droit de choisir comment mourir dépassé un certain âge, quand va-t-on nous l’accorder ?
Elle a prononcé cette phrase: « Je n’attends qu’une chose, que la mort vienne me chercher. » Je ne peux m’empêcher de penser à ma maman qui ne cessait de me dire : « Que c’est long de mourir »
Alors oui, vivre jusqu’au bout, à fond, comme un épicurien tant qu’on est en bonne santé, mais surtout lorsque l’on a encore sa raison, sa mémoire et que le corps, lui, ne veut plus, laissons les gens choisir leur fin, autorisons les médecins à les endormir paisiblement après qu’ils aient mis le mot fin, soyons ce que nous ne cessons de dire : des êtres intelligents, dotés d’empathie et permettons à tous les centenaires qui le désirent, et les autres, de tirer leur révérence dans la dignité.
Ah! Mais on décide MEDICALEMENT de qui a le DROIT DE CREVER
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Voilà, on ne respecte pas la volonté des gens