( 31 août, 2020 )

Thyroïde et examens

Que de choses dites sur une détection ou un suivi thyroïdien en augmentation, il faut bien le reconnaître, depuis le scandale du nouveau levo. Au moins une bonne chose ! Les récentes statistiques montrent que les médecins pensent « thyroïde » plus rapidement qu’avant ( ce qui ne veut pas dire qu’ils sont plus emphatiques ! )

Seulement, la suite est une autre histoire ! Aucun malade n’est soigné pareil, et surtout aucun médecin ne réagit sur les mêmes critères.

Résultat, toujours des malades en grosse souffrance qui prennent l’habitude de n’écouter qu’eux.

 

Vous êtes nombreux à nous demander quels examens demander ou faire ?

En tout premier, la TSH qui est un peu le baromètre de votre thyroïde. Si elle est tout à fait normale, autour de 2-2,5, et que vous ressentez des symptômes d’hypothyroïdie ( fatigue, perte de cheveux, concentration difficile etc), il est important de faire vérifier vos marqueurs auto-immunes.

Demandez la recherche de

et également une échographie.

Si les résultats sont négatifs, tant mieux ! Vous n’avez pas de soucis thyroïdiens.

Dans le cas contraire, vous allez devoir être suivis ( avec ou sans traitement)

C’est également le cas pour les personnes ayant subi une ablation totale de la thyroïde. Un traitement à vie sera indispensable.

 

Ces vérifications, quand les faire ?

Au début, elles devront être régulières, toutes les six semaines afin de « trouver » le plus vite la zone de confort qui est totalement différente selon chacun.

J’en profite pour rappeler que pour une personne lambda, sa TSH sera autour de 2,5.

Pour une personne avec Hashimoto, sa TSH sera le plus basse possible entre 0,5 et 1.

Bien sûr, certains seront mieux avec un taux plus haut ou plus bas. Un malade Hashimoto ne sera pas considéré en hyperthyroïdie avec par exemple 0,19, il sera en surdosage ( ce qui est totalement différent)

Il est également prudent ensuite de vérifier ( peut-être pas à chaque PDS) les T4 et T3, car contrairement à l’idée reçue par de nombreux médecins, on peut avoir une TSH à 2 et avoir une T4 montrant une grosse hypo, tout comme l’inverse, une TSH dans les clous et ne pas être en hyper au vu de la T4.

On voit donc à quel point il faut être prudent avec les vérifications thyroïdiennes.

 

Et alors, les traitements ? On a vu en 2017 les dégâts avec un changement violent de traitement qui laisse encore des années après un vrai traumatisme au corps. Depuis, plusieurs traitements sont mis sur le marché, mais là encore, attention, ce qui est bien pour votre voisine ne l’est peut-être pas pour vous. Je vois souvent des personnes qui débutent leur traitement venir se plaindre car il ne marche pas au bout de huit jours. Ce n’est pas magique ! Un traitement nécessite du temps pour « relancer » une thyroïde, un bon mois voire six semaines. Ensuite, si vous avez changé de traitement, votre corps v a s’adapter, et il est fort possible que votre dose devra être réajusté. D’où l’importance de ne pas crier trop vite au scandale si vous n’avez pas immédiatement l’effet escompté. L’impatience est normale quand on souffre, mais un médicament ne remplacera jamais une thyroïde qui marche toute seule.

Pour exemple avec un traitement avec du L_Thyroxin ( par exemple) à 150 ug, vous devrez souvent avoir une dose plus faible avec du Tcaps, du Soludose ou L_Thyroxine Serb, car ces derniers sont sans excipients et directement assimilés par le sang.

Après, chaque personne est différente ! Là encore, ce sont juste des constatations.

 

Et les autres examens ?

Actuellement on voit beaucoup de médecins qui ont décidé de s’intéresser au corps, ce qui est une excellente chose, et qui vont prescrire des recherches complètes pour cibler les déficits. C’est toujours positif de savoir si on manque de fer, de zinc, de magnésium etc, mais il ne faut pas non plus croire que la solution miracle existe. Ce sont des traitements chers ( les oligo-éléments sont coûteux et les prises de sang non remboursées), en plus beaucoup de personnes sont allergiques à ces compléments alimentaires si cela passe par comprimés. Là encore, c’est une ouverture pour certains, pas pour tout le monde.

 

Vivre avec une maladie invisible est compliquée et le malade a tellement envie d’aller mieux qu’il est prêt à tout. Il ne faut surtout pas oublier qu’un dysfonctionnement thyroïdien génère des crises d’anxiété violentes parfois, et que ce besoin d’avoir un résultat rapide peut vite rendre dingue.

Laissez le temps à votre corps de s’habituer aux traitements, à la fatigue, écoutez le, il vous parle. Peut-être est-il temps de penser à vous, autrement ?

En tous cas, courage ! Et merci de continuez à lire mes articles et à me demander des thèmes nouveaux.

Ensemble, on vaincra !

 

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( 31 août, 2020 )

Doit-on écrire pour être vivant ?

Voilà une question qui me fut posée dernièrement : doit-on écrire pour être vivant ?

Spontanément, j’aurais tendance à dire que l’on peut, heureusement, être vivant, sans écrire. Après tout dépend de pourquoi on écrit.

Selon moi, nul n’écrit par hasard, pourtant nombreux sont ceux qui ne savent pas pourquoi ils écrivent. Les mots sont le sang qui coulent dans nos veines, ce qui nous fait vivre. Il peut se contenter de couler tout simplement, et parfois il semble important de faire jaillir les mots, avec un besoin de poser des mots qui explosent en nous, des émotions, peut-être simplement pour que nos souffrances aient un véritable sens. Très fréquemment, en dehors de cette nécessité, nous prenons la plume pour laisser une trace des histoires qui ont traversées nos esprits ou nos rêves.

On écrit d’abord pour soi, par peur du regard des autres, puis lorsque l’on commence à croire en soi, on tourne sa plume vers des lecteurs, ouvrant l’encre pour dessiner un monde unique, imaginaire, un monde où celui qui va nous lire soudain se sentira bien.

Il y a mille façons d’écrire, tracer des souvenirs édulcorés, des faits divers réinventés, des promesses effacées, des hommages pour ceux qui nous ont quittés, des lettres d’amour ou d’amitié.

On écrit tout simplement pour exister, parce qu’au travers de l’écriture, on gagne ainsi notre liberté. Écrire, c’est un peu avoir l’impression de vivre seul au travers de nombreux personnages tout en communiquant avec des centaines de lecteurs.

Je vis pour écrire, mais pas que,  et au final, peut-être que cela m’a permis d’être encore plus vivante !

 

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( 30 août, 2020 )

Le don du coeur

J’avais fait une promesse ! C’est fait !

Écrire un livre n’est pas chose facile, mais faire des bénéfices dessus est encore plus difficile vu la chaîne éditoriale qui grignote presque tout le prix de vente, sans oublier les frais en amont de couverture ou de correction. Voilà pourquoi beaucoup abandonnent ! Ce ne fut pas mon cas.

« Elle s’appelait Simonne. Elle s’appelle la DCL. » a vu le jour pendant le Covid, en dehors d’une grosse édition, loin des publicités fracassantes de certains, loin des salons ou des colloques.

J’avais promis à ma mère de parler de cette souffrance qui atteint les malades à corps de lewy, maladie qui fut trop souvent apparentée à Alzheimer. Maman était une belle personne, généreuse, et je me devais d’aider, même si c’est une goutte d’eau, cette association qui lutte avec les aidants. J’avais promis un euro par livre. Ce ne fut pas simple, car beaucoup de livres furent offerts, et les envois postaux sont coûteux, mais j’ai tenu ma promesse.

Aujourd’hui, je suis fière de poster ce modeste chèque, après quatre mois de vente, accompagné d’autres chèques envoyés par des lecteurs à l’association A2mcl, en souvenir d’elle …

J’espère que l’association en fera bon usage.

En tous les cas, merci à ceux qui ont lu ce livre pour vos retours parfois poignants. Merci à la vie d’avoir  donné un sens à ce parcours si compliqué …

Courage à tous !

https://www.amazon.fr/Elle-sappelait-Simonne-sappelle-DCL-ebook/dp/B087G1QTBZ/ref=nodl_

 
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( 30 août, 2020 )

Baladé

Le titre d’une bien jolie chanson de Vitaa et Slimane. Pour ceux qui ne connaissent pas :

« C’est pas si facile

De donner sa confiance

J’étais si fragile

Tu t’es bien joué de moi quand j’y pense

J’étais bien docile

Et toi t’as fait le fou

T’as flingué le deal, imposer ta loi

Tu m’as baladée

Tu m’as bazardée

Mis dans un bourbier tu m’as, tu m’as, tu m’as baladée Tu m’as baladée

Tu m’as bazardée

Mis dans un bourbier tu m’as, tu m’as, tu m’as baladée Lalalalala »

Des mots justes de sens. Qui ne s’est pas retrouvé, en particulier les femmes, dans une telle situation amicale ou amoureuse où l’autre nous a complètement baladés ?

Dernièrement une relation fraîchement amoureuse malgré son cinquantenaire s’est vue larguée en texto. L’homme bien sous tous rapports, charmant, avec qui elle commençait à entrevoir une relation durable a mis fin brutalement sans raison avec un simple SMS. Elle s’est faite balader !

Je suis outrée de ces comportements machistes, irrespectueux envers la femme qui la considèrent juste comme un objet utile à combler pour un temps leur solitude ou leur ego vieillissant.

Une relation se forge sur le temps, sur l’effort, sur les silences qui parlent souvent bien plus que les mots. Honte à ceux qui jettent sans explication sans même un remord ! On ne peut que leur souhaiter être un jour, eux-mêmes, baladés !

 

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( 29 août, 2020 )

L’impact technologique du numérique

5G ou Wifi 6, les médias ne cessent de nous parler de ces futures avancées pourtant pas si bonnes pour la planète ou pour notre santé. Le Wifi 6 est une connexion hyper rapide privée (si j’ai bien tout compris), tandis que la 5G, c’est pour le téléphone mobile. Cette dernière serait extrêmement coûteuse pour la planète, alors pourquoi l’utiliser ? Il semblerait même que les téléphones ne soient pas équipés de ce changement, ce qui veut dire nouvel achat. De qui se moque-t-on ? Cela va faire six ans que je ne me sers presque plus de mon téléphone sauf pour des urgences ( comme c’était le cas avec ma mère), et Internet, c’est encore pire ! Depuis mes piratages, je fuis ces technologies, n’utilisant mon wifi qu’en cas d’extrême urgence ( réception d’un manuscrit corrigé etc), plus de PC, juste mon Ipad.

Alors l’avancée de ces technologies encore plus rapides me fait trembler. Déjà, il est très compliqué d’être certain d’avoir une sécurité maximum lorsque l’on navigue sur Internet, mais plus cela va aller vite, plus le novice sera berné.

Dans un article récent, j’ai relevé : « Parmi les menaces de la 5G figurent les attaques sur les stations visant à intercepter le trafic mobile afin d’espionner l’utilisateur et de manipuler, voire voler ses données. »

Un peu flippant, non ? Même si on n’a rien à cacher, et pour l’avoir vécue, une intrusion dans notre système privé peut créer de très gros dégâts souvent impossible à démontrer, et je peux vous assurer que dans ce cas, le pirate est toujours le gagnant !

Ne serait-il pas temps, au lieu de toujours vouloir plus connecter, plus performant, de revenir aux vraies valeurs, celles d’un temps où les moins de vingt ans …

 

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( 28 août, 2020 )

Sortir masqués

Un peu saturée de ne lire que des propos râleurs, j’ai décidé de jouer les troubles-fêtes  humoristes afin de trouver un aspect positif au port du masque !  Le premier, il n’est pas des moindres, plus besoin d’aller chez le dentiste ! Les dents jaunes, écartées ne se voient plus. Pareil pour l’haleine qui empeste l’ail ! Le masque stoppe les odeurs avec bonheur ! Après pas mal non plus pour l’incognito ! Il suffit en prime de mettre un foulard sur votre tête et vous êtes une parfaite inconnue. Idéal donc pour ne pas parler à ceux que vous croisez. C’est ballot mais derrière ce bout de tissu, vous les avez zappés !
Et puis, franchement, cela évite les bises aux collègues faites avec automatisme, les bisous morveux des gamins que vous croisez. En fait, en y réfléchissant bien, c’est un peu comme si vous portiez une armure contre la bêtise humaine. La preuve, les « sans-masques » sont regardés de travers !  Eh ! Même dans les camps de nudistes, on a le popotin à l’air, mais on met un masque ! Et puis si vous mettez votre masque, vous n’avez pas 135€ d’amende.  Alors jouissif cette impression illusoire d’économiser, non ? :) :) :)

Et puis, avant on avait droit à des faux sourires, maintenant on a le sourire des yeux et celui-là il est VRAI ! Et qu’est-ce qu’il est beau !

Moralité : sécurité sanitaire, lubie politique, voyez le bon côté des choses ! Y’a pas que des désavantages à porter un masque ! Et s’il peut protéger nos anciens, quel beau geste !

 

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( 27 août, 2020 )

Le silence, cette arme !

Avez-vous remarqué le pouvoir du silence, cette arme qu’utilise de nombreux individus, imposant ainsi leur pleine domination ?

Le silence peut se fondre avec l’indifférence, réaction violente souvent parfaitement maîtrisée par « l’autre » qui va jouer ainsi de la vulnérabilité de l’ignoré, titillant ainsi les ficelles émotionnelles.

Autant j’ai un profond respect pour le Silence, celui de la nature, des forêts, autant j’ai un profond mépris pour le silence des hommes, ceux qui pour se protéger ou manipuler vont en user voire en abuser. Une forme de lâcheté derrière une illusion de pouvoir. Tout sauf du courage ! Comme quoi, le courage est une qualité que beaucoup pensent avoir et pourtant peu de personnes l’ont ! Utilisons les Mots en silence et hurlons ce qui doit être dit !

 

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( 26 août, 2020 )

Notre destin

Que de choses dites sur le destin, cette puissance qui fixerait nos actes dans un grand livre avant que nous l’ayons vécu. Nul n’échappe à son destin dit-on, et pourtant, n’avons-nous pas une vision erronée de ce destin puisqu’il ne nous apparaît « qu’après » ?

Je fais partie de ceux qui pensent que nous devons vivre pour le meilleur, et de ce fait, tous nos actes devraient n’être que tourner vers ce but ultime, être heureux, seulement nous nous heurtons sans cesse aux autres qui vont nous faire trébucher.

Dire que c’était notre destin de nous planter serait enlever notre responsabilité pour la rejeter sur celle des autres. Alors non, rien ne peut-être vraiment écrit à l’avance, car cela impliquerait une absence de libre-arbitre. Notre destin dépend de toutes les décisions que nous prenons, il n’est pas prédestiné, il peut juste nous ouvrir des options, c’est le cas lorsque nous avons des choix à faire.

Le destin n’est donc pas une fatalité incontournable, juste un chemin où nous allons rencontrer des difficultés, car nous ne sommes que de simples humains.

À nous de vivre notre vie comme un destin sans cesse renouvelé !

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( 25 août, 2020 )

Vieillir au coin du feu

Mon arrière-grand-mère est décédée à l’âge honorable de quatre-vingt-dix-huit ans.  Je la revois ratatinée au coin de la cheminée, entourée de sa famille. Une autre époque où les anciens faisaient partie des meubles et n’étaient pas bons à être placés. Notre société est devenue égoïste, centrée sur l’individu et non les autres, oubliant que l’ancêtre est la racine de leur vie.

Vieillir au coin du feu, on en rêve tous et c’est possible, enfin, ce devrait-être possible si la politique en faveur des aidants était plus souple, plus simple. Comment peut-on décemment s’occuper de ses parents âgés sans aide financière ? On donne sans compter pour les enfants ( allocations diverses, rentrée scolaire), mais pour une personne qui a dépassé « un certain âge », il faut se battre pour obtenir des aides, comme si la génération du vingtième siècle avait une retraite à la hauteur des dépenses. La plupart de ces femmes n’ont jamais travaillé. Les placer dans un institut demande de gratter les économies, voire de vendre un appartement acheté à la sueur de leur front, pire de quémander l’aide des petits-enfants !

Après, certaines pathologies obligent, pour la sécurité des personnes, à les placer. J’ai dû le faire avec ma maman qui était atteinte de la maladie à corps de Lewy.  Aujourd’hui encore, je garde une sensation de culpabilité, comme un goût d’inachevé.

J’aurais tellement voulu pouvoir lui tenir la main lors de son envol, au  lieu de cela, elle est partie seule, tout comme, malgré mes nombreuses visites, elle fut bien seule les dernières années.

J’aurais aimé pouvoir la regarder vieillir au coin du feu, avec juste les flammes éclairant parfois son visage sans expression. Peut-être aurait-elle été moins malheureuse ? Si cela s’était passé au siècle dernier …

 

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( 24 août, 2020 )

Pourquoi n’est-il pas inné d’avoir confiance en soi ?

Je suis toujours autant perplexe en constatant que dans notre bonne vieille France, on n’apprend pas aux enfants à avoir confiance en eux ! Choquant quand on sait que le manque de confiance touche la moitié des humains sur cette terre. La confiance en soi n’étant pas inée, il faut donc l’apprendre et l’école me semble le meilleur endroit.

Je ne l’ai compris que dans mes dernières années d’enseignement où j’accordais un temps non réglementaire à cet « enseignement particulier ». J’avais dû moi-même apprendre plus tôt à me faire confiance pour pouvoir donner des conseils à d’autres. Il m’a fallu du temps, mais j’ai pu m’envoler avec ma plume et j’espère donner l’envie de croire en leurs rêves à quelques enfants ou adultes ( même si un enfant sommeille dans tout adulte)

Pour reprendre confiance ou redonner confiance aux autres, il faut déjà cesser toute dévalorisation consciente ( car ce qui est inconscient est moins simple à maitriser). Pour cela, changer sa manière de dire ou de voir les choses. Plutôt que de grogner en rentrant du travail, pestant sur la fatigue, se dire simplement que l’on est fatigué, mais que l’on a vraiment bien travaillé. Pour des enfants, plutôt que de toujours pointer qu’ils ne sont pas sages, se réjouir qu’ils soient en si bonne santé ! Tout est une question de point de vue. On a été formaté à toujours ne voir que le mauvais côté des choses, les échecs, les erreurs et non à se projeter vers un résultat. Ma mère ne cessait de me dire que peu importe les obstacles, le bilan sera toujours positif quelques années plus tard, car on ne peut réussir sans échouer, ce qui me fait dire maintenant que mes plus grosses gamelles ont forgé mon avenir et fait de moi ce que je suis maintenant. Alors osons les mots qui donnent confiance et cessons de nous cacher derrière ceux qui détruisent.

 

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