( 23 août, 2020 )

Écrire une nouvelle

Pas facile d’écrire une nouvelle. C’est pourtant souvent le premier type d’écrits que l’on ose, car relativement court, il ne nous embarque pas dans un fastidieux manuscrit. J’ai personnellement écrit beaucoup de petites nouvelles drôles, érotiques, personnelles aussi à mes débuts. Et si je les ai proposées à des concours, je n’en ai jamais fait un recueil, car avec le recul, elles n’avaient pas assez de Force.

Dernièrement j’en ai pondu une pour un recueil bénévole et je me suis bien amusée à l’écrire.

Certains vous diront que les nouvelles, ce n’est pas de la littérature ce qui est totalement faux ! Prenons pour exemple « la femme en rouge » de Chedid qui est présentée au baccalauréat !

Le principe de la nouvelle est de surprendre le lecteur en fin de livre, mais n’est-ce pas aussi le cas pour n’importe quel roman ?

J’ai tendance à conseiller à toutes personnes souhaitant produire un manuscrit de d’abord se lancer dans l’écriture de nouvelles, pour perfectionner son style, le rythme, quitte à ensuite insérer des morceaux de ces nouvelles dans un manuscrit plus pointu.

Écrire une nouvelle permet également d’apprendre à réécrire un second jet, à le corriger. On voit beaucoup trop actuellement de jeunes auteurs mettant en ligne sur Amazon des romans bourrés de fautes. Quelle grossière erreur !

Testez ! Lisez ! J’étais récalcitrante, il y a quelques années,  à la lecture de ce genre que je jugeais trop simpliste, ce qui est faux,  et ayant découvert  d’excellents recueils, j’ai changé d’avis !

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( 22 août, 2020 )

Le dos et la thyroïde

Mal de dos, mal du siècle ! ces maux ne sont pas exclusivement liés à un dysfonctionnement thyroïdien, mais prenons le en sens inverse : beaucoup de malades de la thyroïde ont des soucis de dos.  Certains praticiens osent même aujourd’hui, du bout des lèvres, dire que beaucoup de ces personnes seront atteintes de fibromyalgie. Intéressant quand on sait qu’il y a moins de vingt ans cette maladie n’était pas reconnue. C’est une maladie caractérisée par des douleurs dans tout le corps, douleurs qui ne sont pas psychologiques. Il en va de même pour les perturbateurs endocriniennes. Elles existent, ne sont pas « dans la tête »

On assiste régulièrement à des douleurs dans les articulations, les tendons, les muscles, avec des sensations de « casque » au niveau cervical, ou de point douloureux pouvant donner des vertiges, une sensation d’être sur un bateau voire des nausées, même d’irradier jusqu’à la mâchoire ( faisant croire à un souci dentaire)

Certains pensent que c’est à cause du traitement, c’est souvent erroné. Dans le cas d’Hashimoto, le goitre, issu d’une inflammation due aux anticorps, va tirer sur les muscles des cervicales pouvant bloquer la région de « la bosse de bison » jusqu’aux épaules.

Les malades qui ne vont pas faire le lien vont parfois voir ces douleurs perdurer des semaines jusqu’à ce que l’inflammation liée à Hashimoto disparaisse.

Que faire ?

Toujours penser si les douleurs persistent à bien vérifier ses taux thyroïdiens, et faire le lien avec une fibromyalgie si les points de douleurs sont nombreux.

Éviter les anti-inflammatoires qui ne vont faire qu’un effet pansement et abiment l’estomac.

Opter pour des étirements du corps ( ostéopathe qui étire et non fait craquer) ou des médecines douces comme le shiatu. Certains conseillent les huiles essentielles.

Après, ces douleurs thyroïdiennes ne sont pas en lien avec le poids, comme certains veulent se rassurer, et personne n’est véritablement épargné. Tout comme les restrictions strictes ( zéro gluten, sucre ou lactose) n’empêchent pas non plus ces soucis ( sauf si vous avez une véritable allergie déclarée médicalement)

Mes petits conseils qui n’engagent que moi :

Fuir le stress qui va bloquer les trapèzes et donc jouer sur la thyroïde.

Ne pas rester assis devant un ordinateur sans bouger.

Ne pas conduire des heures sans s’étirer régulièrement ( j’en ai fait les frais il y a quinze jours, et mon corps fait résistance depuis)

Pas de solution miracle, malheureusement, juste du courage et de la patience !

Et si vous avez les moyens, prendre du temps pour vous avec un bon massage détente !

Et surtout, surtout ne pas culpabiliser, et ne pas écouter les médecins qui vous diront que c’est « dans la tête » ! S’ils avaient votre pathologie, leur discours serait autre !

 

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( 22 août, 2020 )

La patience

La patience est une vertu, dit-on. La patience est ce qui permet de faire face aux difficultés en acceptant de prendre du recul. La patience est source de sagesse.

Et pourquoi, est-ce si difficile d’être patient ?

Simplement parce que l’homme aime que les choses se fassent immédiatement, car l’humain aime que les événements s’écrivent selon ses propres désirs. De plus, la patience demande des efforts et du temps, ce que les gens ne veulent pas prendre aujourd’hui. L’impatience s’accompagne souvent d’énervement, d’angoisse et détruit de nombreuses vies. Quand la colère prend le devant de la scène, la patience n’a plus sa place.

La patience est quelque chose qui s’apprivoise. Attendre s’apprend, tout comme rester calme. La patience permet d’entretenir l’espoir et d’avoir confiance dans la vie.

Il est donc important de comprendre ce qui nous incite trop souvent à être impatient quitte à plonger dans notre passé pour ne pas refaire les mêmes erreurs.

Cultivons la patience, cela nous rendra libre !

 

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( 21 août, 2020 )

Débutant un jour, débutant toujours :)

Je trouve cela génial d’être débutant dans quelque chose, car cela signifie que l’on ne sait rien, mais rien du tout, et que si on le veut vraiment, on va pouvoir tout apprendre.

Comme disait l’ami Gabin : « maintenant, je sais, je sais que l’on ne sait jamais. »

Quel ego ont ceux qui pensent et disent tout savoir ! Comme si c’était possible ! Même les gens très intelligents auront toujours une faille qui feront d’eux un débutant dans un domaine. Il est important d’apprendre aux enfants dès le plus jeune âge, que la vie est faite de multiples apprentissages, défis où à chaque fois, l’homme va avancer comme un nouveau-né, un peu tremblant. Garder cet esprit, c’est s’autoriser à voir plus grand, à toujours s’améliorer, se perfectionner. Être débutant, savoir l’être, c’est savoir rester humble, loin du jugement, juste là pour apprendre, simplement apprendre.

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( 20 août, 2020 )

La mort sur son 31

La mort sur son 31 de Martine Magnin

Édition Encre Rouge

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

https://encrerouge.fr/produit/la-mort-sur-son-31-ecrit-par-martine-magnin/

C’est toujours un plaisir de retrouver la plume de Martine Magnin et cette fois-ci avec encore plus de curiosité, car la couverture interpelle énormément. J’ai donc plongé sans crainte avec délice dans les mots de l’autrice, sans appréhension malgré un sujet qui pourrait sembler difficile. Que dire de l’héroïne, Juliette, qui ressemble beaucoup à Martine Magnin si ce n’est une femme à la profession on ne peut plus originale.

L’histoire débute sur la vie de Juliette parfaite jusqu’au jour où la mort s’invite. Rien n’est plus pareil simplement parce que lorsque l’on vit « la mort », la résonance est autre. La mort de Paul, son frère alcoolique, remet tout en question.

Un magnifique plaidoyer où chacun peut se reconnaître s’il a vécu de tels deuils.

Juliette se rend en Martinique pour un dernier hommage et se plonge dans une introspection où se mêlent divers sentiments, où la mort est le personnage principal que ce soit au travers de son frère, avec le suicide de son ami Julien ou la perte de la mère, la blessure … une vie décrite dans un style fort avec une écriture parfaite et pertinente.

Un livre plein de douceur malgré le sujet grave. À lire sans modération !

Des phrases qui m’ont touchée :

«  Cette mort était un échec cuisant de sa supposée générosité et du devoir fondamental de fraternité. »

« La raison contre l’addiction, la tendresse contre la détresse, la sagesse contre l’ivresse, le combat était inégal. La bonne volonté et la tendresse ne suffisaient pas. »

« L’alcool, vrai cancer de l’âme, devint aussi un véritable cancer du foie. »

« On dit souvent qu’il faut beaucoup plus de courage aux très déprimés pour vivre que pour se supprimer. »

« Un suicide n’est pas un crime, sauf peut-être envers ceux qui restent. »

« Qui étaient les victimes, qui étaient les coupables ? Tous étaient concernés, et tous avaient leur part de responsabilité. »

« Pouvait-on être bouleversé par la perte d’un vide ? »

« L’amitié sans la présence, l’amitié dans le silence, l’amitié en absence, c’est encore l’amitié. »

 

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( 20 août, 2020 )

Croire que l’on mérite d’être aimé

Parfois au cours d’une vie, on rencontre une personne qui va créer du désordre dans l’ordre établi, souvent par malveillance ou par déception. Ces individus en apparence « parfaits » trimbalent des casseroles terribles et plutôt que d’y faire face vont les lâcher contre les autres, ces autres qui ont eu la malchance de croiser leur route. Cela fait mal des casseroles en pleine tronche ! Cela fait surtout mal ceux qui ne tiennent pas leurs promesses, qui prennent la tangente sans explication rationnelle, qui enfoncent le clou jusqu’à ne laisser qu’un goût de cendre à tel point que l’on en vient à se demande : est-ce que je suis responsable ?  Est-ce que je mérite, que ce soit en amour ou en amitié, d’être aimé ?

Face à une telle violence psychologique, il faut se relever. Ce n’est pas toujours facile car tout rejet non expliqué, pire manipulé, génère de la souffrance. L’oubli reste la clé, seulement, l’oubli reste un acte involontaire et plus on tente d’oublier quelque chose et plus cette chose nous poursuit, comme si dans notre inconscient une vérité s’écrivait : nous devons croire que nous méritons d’être aimé, ainsi la nécessité d’oublier n’aura pas le même poids !

 

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( 19 août, 2020 )

Les yeux et les dysfonctionnements thyroïdiens

On a trop facilement tendance à penser que seuls les malades atteints de Basedow peuvent avoir des soucis avec leurs yeux. Il n’en est rien. L’ophtalmopathie thyroïdienne est une maladie auto-immune où le système immunologique du patient attaque la glande thyroïde, souvent associée à l’hyperthyroïdie, mais pas que.

Avec Basedow, on observera souvent une exophtalmie, cette dernière étant rare en hypothyroïdie. Par contre, l’inflammation des yeux peut survenir à n’importe quel moment de la maladie, en hyper, en hypo ou stabilisé.

En hypothyroïdie, on pourra également avoir les yeux gonflés ( dessous en particulier)

Avec Hashimoto, il arrive qu’on ait également une sécheresse oculaire.

Il faut demander à faire un test de Schirmer chez un opthalmo afin de confirmer ou infirmer cette sécheresse qu’on appelle xérophtalmie. Si c’est le cas il faudra prendre des larmes artificelles pour aider l’oeil à être réhydrater. C’est ce que l’on nomme communément le syndrome des yeux secs.

Au retour de vacances, beaucoup de personnes nous signalent souffrir de ce syndrome qui s’est accentué avec la canicule.

Que faire ? Bien sûr, en cas de doute, l’idéal est de consultation un ophtalmologiste même si ce n’est pas toujours facile d’avoir un rendez-vous.

Sinon, si le syndrome des yeux secs se dessinent, des gouttes hydratantes sont en vente en pharmacie ( un peu coûteuses) mais efficaces.

De même avec Hashimoto, on peut constater une baisse visuelle, toujours en lien avec un ralentissement, baisse qui peut parfois se résorber lors d’une stabilisation, ou pas.

Je terminerai par un extrait d’un spécialiste sur un site :

« L’action de la peur sur la glande thyroïde a une incidence sur la vue. L’organe de la vision est sous la dépendance complète de la thyroïde. L’extrait thyroïdien semble produire une meilleure vision, il augmente la luminosité des objets. Fait observé, les hyperthyroïdiens sont incommodés par la clarté, alors que les hypothyroïdiens manquent de lumière. Plus la sécrétion thyroïdienne est activée sur l’organe de la vue, mieux les images s’enregistrent dans le cerveau. Ainsi, l’équilibre de la vue nécessite une sécrétion thyroïdienne correcte. »

Une fois encore, souffrir des yeux n’est pas dans la tête !

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( 19 août, 2020 )

Le découragement des auteurs

Les écrivains, ceux qui sont sur le devant de la scène sont rarement découragés, tandis que les auteurs baissent de plus en plus les bras.  Une fois encore, je vais me faire l’avocat du Diable. Pourquoi un tel découragement alors qu’il n’y a rien de plus magique que d’écrire ?  Pourquoi ce lien si fort entre l’acte d’inventer et l’argent ?

C’est un vrai paradoxe qui se retrouve tel un métronome dans la bouche de nombreux auteurs. J’ai envie de dire, écrivez les pieds sur Terre et la tête dans les nuages, car vivre de sa plume est un vrai métier qui n’est malheureusement pas toujours lié au simple talent. Nous vivons dans une société où le profit est roi, et l’auteur n’est que le dernier maillon d’une longue chaîne. Pour ne prendre que les auteurs qui gagnent vraiment leur vie avec leurs parutions, ils sont une vingtaine en France, sélectionnés par des critères bien précis : leur âge, leur look, leur style littéraire.  80% sont des hommes car le lectorat français est majoritairement féminin. Alors, une fois que votre profil ( je dis bien profil et non livre) se retrouve choisi, tout un processus de vente va se mettre en place. Votre livre va se retrouver dans les mains d’un grand correcteur qui va parfois refaire intégralement le livre, au goût du moment, puis la promotion va miser sur l’image. C’est pour cela, même si c’est scandaleux, vous ne verrez très peu en France de têtes d’affiche débutantes avec une malformation physique, une personne de plus de cinquante ans ou de couleur. Cela ne vous a jamais choqués ?

Face à cela, vous voilà avec votre manuscrit, pas plus mauvais qu’un autre, sous le bras, et là, les portes se claquent ! Vous n’avez pas « la tête de l’emploi »

Alors, vous vous tournez vers d’autres possibilités, des petites éditions voire l’autoédition. Mais le découragement vous gagne bien vite ! Peu de livres vendus. Votre rêve de vivre de votre plume s’achève et avec votre envie d’écrire.

Voilà ce qui arrive à tous ceux qui ont cru, un jour, être écrivain célèbre !

Les petites plumes comme moi, qui ont de l’encre dans les veines, qui n’attendaient rien de ce milieu sauf le bonheur d’avoir quelques retours, surfent sur une vague de bonheur. Sept ans que j’ai publié mon premier roman et j’ai toujours autant de bonheur  en lisant les retours élogieux. Cela suffit à me combler. C’est pour moi une richesse bien plus grande qu’un chèque à plusieurs zéros. Savoir que mes mots ont touché, ont aidé, quoi de plus beau ? Je ne suis donc pas prête de stopper !  Alternant en ce moment entre défi littéraire ( Don Quichotte avec les éditions du Roi Barbu, totalement bénévole), une nouvelle ( pour un recueil collectif, bénévole également), un manuscrit en cours et un en gestation.  Le découragement ne m’atteint pas, simplement parce que je n’attends rien ! C’est ça le secret de la vie, ne rien attendre des lecteurs, des autres, juste danser sur des partitions de bonheur !

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( 19 août, 2020 )

La vie à six point zéro.

Beaucoup de personnes s’imaginent que la retraite signe la fin de la vie, ce qui est totalement faux. La vie commence à soixante ans !

Jeune retraitée, l’envie de continuer à me cultiver s’est avérée la plus forte. Il n’y a pas d’âge pour apprendre afin de stimuler son intelligence, sa mémoire.

Je ne me suis jamais vu devenir une retraitée en charentaise vautrée sur un canapé à regarder en boucle des émissions de télé. Je me suis toujours jurée de vivre jusqu’à ce que mon corps ne puisse plus avancer, jusqu’à mon dernier souffle, vivre, et non végéter.

Ayant le corps souvent ralenti par une maladie auto-immune, je ne peux pas en faire autant que je le voudrais, mais cela ne m’arrête pas. Je me force à bouger quotidiennement, à avaler le bitume pour rester en forme, à faire travailler ma mémoire, à découvrir de nouvelles expériences, de nouveaux défis.

Passer au « 6.0 » ne fut pas facile à accepter ! Mais la vie est ce que l’on en fait, et même si le compte à rebours a commencé, les mois à venir seront lumineux ! Personne ne pourra m’arrêter !

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( 18 août, 2020 )

Pour ou contre le prêt des numériques

Régulièrement, je vois des débats houleux sur ce sujet : peut-on prétendre prêter un livre numérique ? Je sais que les puristes papier vont contre argumenter donc cet article ne s’adresse qu’à ceux qui lisent en epub ou ceux qui publient sur ce support.

Personnellement, pour moi, en tant qu’auteure, l’important est d’être lue, peu importe comment. Il y a longtemps que j’ai perdu mes illusions face aux maisons d’édition qui font toutes des numériques hors de prix ! Preuve en est, j’en vends cent fois plus en autoédition où le prix d’achat ne dépasse pas trois euros. Moi-même, je déroge à cette règle que deux fois par an, pas plus, car payer un livre dématérialisé au même tarif qu’un livre papier poche, je trouve cela scandaleux. Je suis donc une fervente partisane du prêt en bibliothèque qui se rapproche du prêt papier. Beaucoup de mes livres sont en prêt numérique dans plusieurs médiathèques qui me font confiance et cela me réjouit. Certes, cela ne fait pas de zéros en plus sur le chèque de droits d’auteurs, mais comme n’importe comment ce dernier en édition classique, quelque soit l’éditeur, reste bien au dessous de la norme, je préfère voir mes mots voyager dans une ville. Certains argumenteront qu’un livre que l’on ne paie pas ne sera pas lu ! Totalement faux ! L’inverse existe et c’est pire. J’ai déjà pris pour exemple une daube achetée durant mes vacances bien chère sur Kobo et dont le côté indigeste m’a fait stoppée à la page cinquante !

Pour donc le prêt numérique, car les mots doivent vivre, circuler tout comme le sang dans nos veines. Et pour un auteur, plus on est lu et plus on sera lu, dans un autre genre, autrement ! Cela reste mon avis bien sûr :)

 

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