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( 31 octobre, 2020 )

L’isolement

Pas facile ce nouveau confinement même si on ouvre les Ehpad. Certaines familles sont séparées, des couples aussi. Un exemple donné dans les médias, celui d’un couple d’octogénaires marié depuis soixante ans, séparé à cause des mesures sanitaires. Il y a aussi cette fille décédée sans revoir sa mère qui était placée en maison de retraite. On peut imaginer cette pauvre femme perdre sa fille sans comprendre.

Notre société en isolant nos anciens à l’extrême les protège d’un virus, mais non de l’isolement, et on peut également se laisser mourir de solitude. Je ne peux pas m’empêcher de penser à ma petite maman qui ne vivait que pour me voir, comme si ces minutes précieuses grappillées la retenaient à la vie. Les rares fois où je n’ai pu venir ayant de mon côté une maladie auto-immune, je la retrouvais diminuée, anéantie, pensant que je l’avais oubliée. Elle redevenait une enfant voulant être sûre qu’on l’aimait toujours, qu’on pensait à elle, elle qui était persuadée ne plus servir à rien.

Alors je pense à elle en cette période de re-confinement, à toutes ces personnes contraintes de rester éloignées de leurs proches à cause des fameux 100 km, à toutes les personnes qui vivent seules, privées du contact de ceux qu’ils aiment, même s’ils n’ont pas quatre-vingts ans.

La distanciation sociale impose l’abstinence de câlins, des bisous, de la tendresse et pourtant quelle meilleure thérapie que d’être pris dans les bras, de sentir cet amour qui passe et se transmet. Je pleure sur cette immense souffrance qu’est l’isolement qui va, certes, sauver des vies, mais à l’inverse briser des coeurs.

 

J’en profite pour promouvoir la lecture même si l’état n’a pas juger les libraires indispensables et pourtant …

 

Le livre mémoire sur la maladie à corps de lewy

 

https://www.amazon.fr/Elle-sappelait-Simonne-sappelle-DCL-ebook/dp/B087G1QTBZ/

 

Un livre pour distraire durant le confinement

https://www.souffles-litteraires.com/produit/appelez-moi-camille/

 

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/appelez-moi-camille?fbclid=IwAR3LFYqbFdaLPNIBssQVATDsfWZJ9jA75dQLW_8Vcqcuq0pstzmpQ8E9QeA

Pour les deux, une partie des bénéfices seront reversés à l’association A2mcl.

Alors merci à tous et portez-vous bien !

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( 30 octobre, 2020 )

Ne pas regarder en arrière …

« J’ai bien compris l’poids des mots, à chacun son fardeau

Je ne regarderai plus derrière moi, si il le faut, je roulerais sans rétro

Mais le temps a tout effacé, avec le temps tout s’en va

J’aimerais te parler de ces choses qui s’en vont et ne reviennent »

Le dernier métro de Kendji Girac et M.Gims

 

Très belle chanson au passage, autant le rythme que les paroles qui me fera juste dire aujourd’hui, que c’est vrai, le temps, ou peut-être notre mémoire vieillissante, efface tout ou presque tout, comme si un jour nous avons été stupides de regarder dans une loupe des faits maintenant qui nous semblent tellement insignifiants. Par orgueil ? Par peur ? Pourquoi les gens s’attachent-ils ainsi à faire sans cesse revivre ce qui a fait mal, un peu comme s’ils enfonçaient un clou dans une plaie sanguinolente. Je ne pense pas qu’il existe une seule personne ayant dépassé le demi-siècle qui n’ait pas ressenti la brûlure d’un deuil ou d’un chagrin d’amour, qui ne se soit pas égratigné les genoux à force de tomber. On le voit quotidiennement ces haines qui perdurent à cause d’un lointain passé, ces larmes qui continuent de pleurer. Il y a un moment où il faut cesser d’y penser et avancer sans regarder dans ce fichu retro. Cela vaut vraiment le coup d’essayer.

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( 29 octobre, 2020 )

La mémoire du corps

Avez-vous déjà remarqué comme votre corps a une mémoire bien à lui liée à votre passé ? Une fragilité possible lors de certaines périodes en lien avec un évènement difficile de votre vie ou simplement une baisse de moral inexpliquée ?

Souvent nous choisissons inconsciemment d’oublier, parce que cela nous permet de survivre, mais dans un petit coin de notre mémoire restent des résidus, des miettes qui ne s’effacent pas. Un corps, notre corps, ne nous ment pas, il nous parle à travers nos symptômes, il nous dit ce que l’on ne peut pas, ce que l’on ne veut pas dire.  Il réagit.

Ainsi, certains seront systématiquement souffrants à une date précise, date où un deuil, une perte, s’est produit. D’autres pourront ressentir des maux de tête inexpliqués durant quelques jours, et qui ne reviendront pas. Et il est inutile de citer les douleurs dorsales ou lombaires. Le dos parle aussi beaucoup.

Certains employeurs ont même fait remonter que les arrêts maladie étaient aux mêmes dates, un hasard ?

Irrévocable ? Absolument pas ! Nous avons le pouvoir de dire stop et des thérapies comme l’EMDR ou le Reiki sont fabuleuses pour retrouver son présent ! Et puis il faut savoir laisser le passé où il est ! Aujourd’hui est bien plus important

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( 28 octobre, 2020 )

Surmédication et profit

Quitte à faire hurler, notre société est « surmédicamentée. » Et hop, un petit cachet oour la tension, et hop une gélule pour dormir, une autre pour le mal de ventre lié aux effets des deux premiers et j’en passe. Être malade rapporte à BigPharma qui se frotte les mains, à se demander si parfois on cherche vraiment à guérir. Un exemple, au début de sa maladie ( corps de lewy), le généraliste prescrivait à ma pauvre maman plus de quinze médicaments ( qu’elle n’a jamais pris étant habituée à l’homéopathie). J’ai retrouvé lorsqu’elle fut placée plus de quarante boîtes de Doliprane planquées dans un placard ! Vu qu’elle ne souffrait pas, pourquoi de telles prescriptions ?

De même ces jours-ci, je suis outrée lorsque j’entends parler de vaccinations massives  obligatoires pour 7 milliards de personnes d’ci fin 2021, entendant que BigPharma se lèche les babines voyant le cours de la Bourse monter en flèche. Autant je ne suis pas opposée à certaines vaccinations comme le tétanos, le BCG, ou des maladies redoutables comme la diphtérie, autant je verdis un peu si une vaccination Covid devient obligatoire pour voyager ou pire pour simplement être autorisés à sortir ! Nul besoin d’être scientifique pour savoir qu’un vaccin ne se fait pas en un an, qu’il faut des années pour constater des effets secondaires ( voir par exemple le fameux vaccin contre l’hépatite et les cas de scléroses qui ont suivi avant que ce dernier soit réajusté). Là pour notre Covid, on touche un virus et comme tout virus, il va muter. On voit avec la grippe, le nombre de malades vaccinés qui ont tout de même la forme bénigne chaque année, il en sera de même pour notre cher virus.

Est-ce judicieux d’affaiblir ainsi le système immunitaire de toute une planète ? Sachant que quand on n’attrape rien, c’est que nos anticorps fonctionnent bien, alors pourquoi tout dérégler ?

En tous le cas, une vaccination obligatoire contre le Covid me semble précoce et surtout contraire à la liberté, mais surtout un bon moyen d’engraisser financièrement toujours les mêmes ! Les industries pharmaceutiques !

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( 27 octobre, 2020 )

Quand un roman sort de l’ombre … « Appelez-moi Camille »

Sortie nationale !

Le manuscrit était un peu poussiéreux, comme oublié, écrit il y a bien longtemps, par brides, à une époque où je n’aurais jamais pensé devenir auteure. Juste pour m’amuser. Des idées. Des mots. Et puis en rangeant, on retrouve ces cahiers abimés bons à être jetés sauf que …. Alors on met tout sur PC. On envoie. Une directrice de collection le trouve complètement ringard, je le range. Des années passent. Et puis, un jour, on tente de nouveau. Et Bingo ! Le hasard le fait tomber dans des mains bienveillantes d’une édition qui prend le temps de le lire, de le décortiquer jusqu’à en faire son coup de coeur.

Voilà comment un manuscrit qui dormait comme la belle au bois dormant a reçu le baiser qui lui a redonné vie !

Cela me remplit de joie.

En souvenir de maman pour qui le prénom Camille était si important, prénom que l’on retrouve en hommage dérivé ou non de toutes mes publications.

 

« Quand la mémoire fait défaut, parfois il reste ses propres écrits. C’est le cas de Camille qui a conservé tous ceux rédigés durant sa vie et grâce auxquels elle se souvient… Elle reconstitue sa propre histoire, dans le désordre, rassemblant les pièces du puzzle pour mieux se comprendre, se retrouver, en ressentant à nouveau les joies et les regrets.

Découvrez les riches expériences d’une femme, un destin. Vous allez devenir intimes, alors appelez-la simplement Camille »

 

J’espère que vous lui ferez un bon accueil, que ce roman vous fera rire, sourire, pleurer, en tous les cas, qui vous fera simplement avoir envie de dire aux autres :

« Appelez-moi une dernière fois  … »

 

Le livre est également sur toutes les plateformes et commandes possibles en librairie.

 

https://www.souffles-litteraires.com/produit/appelez-moi-camille/

 

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( 26 octobre, 2020 )

Fluctuations du poids et thyroïde d’Hashimoto

l faut déjà enlever une idée fausse, ce n’est pas le plus souvent le traitement qui fait prendre ( ou perdre) du poids, mais c’est la maladie. Les dysfonctionnements thyroïdiens peuvent provoquer des œdèmes. La prise pondérale liée à l’hypothyroïdie pourra s’avérer secondaire à une accumulation d’eau et à une diminution du métabolisme. On assistera souvent en cas d’hypothyroïdie à une prise de poids de quelques kilos, et souvent à l’inverse, en cas d’hyperthyroïdie, une perte de poids. Mais il faut savoir que l’inverse est possible. Une personne en hypo peut perdre du poids et une personne en hyper peut grossir.

Beaucoup pensent qu’une fois « stabilisés », le poids initial va revenir par magie, seulement ce n’est pas si simple. La maladie existe, surtout dans le cas des maladies auto-immunes, elle existe et ne va pas disparaître, ce qui veut dire que remettre la machine en marche ne va pas être simple.

En attendant, rien n’est impossible ! Il sera donc plus facile de maigrir avec un dysfonctionnement classique qu’avec une hypothyroïdie d’Hashimoto.

Dans tous les cas, il faut savoir que les régimes hypocaloriques ne fonctionneront absolument pas, et ne feront que renforcer le ralentissement du métabolisme.

De nombreuses astuces existent, des régimes à base d’iode qui font pouvoir accélérer le métabolisme et faire perdre quelques kilos, mais à l’inverse, cet apport d’iode peut augmenter l’auto-immunité.

Que faire ?

Éviter de trop manger, car le métabolisme ralenti va stocker, mais surtout il est important de ne pas passer par des régimes divers qui vont terminer par des yoyos sans effet. Bouger également. Les problèmes de thyroïde fatiguent, et de nombreux sports sont difficiles à pratiquer, mais la marche reste une possibilité à ne pas négliger. Marcher une heure par jour permet de ne pas grossir. Pour beaucoup c’est compliqué parce qu’il faut en avoir envie. Il faut se donner l’envie d’avoir envie. Je conseille fortement l’achat d’une montre qui compte les pas. Marcher dix mille pas va permettre de réguler le corps.

Je n’ai nul besoin de préconiser les fruits, les légumes, sans excès car certains malades de la thyroïde peuvent souffrir de problèmes intestinaux.

Certains malades vous diront qu’ils ont supprimé le gluten et le lactose, malheureusement, cela ne marche pas pour tout le monde.

C’est donc extrêmement compliqué cette prise de poids ( une perte importante est tout aussi complexe). Souvent, une maladie thyroïdienne intervient au momon de la ménopause, période où on prend généralement trois kilos en moyenne.

Un vrai parcours du combattant !

Ne surtout jamais oublier que plus on prend de l’âge et plus c’est compliqué de perdre du poids donc éviter de se focaliser sur les régimes miracles des plus jeunes !

Et surtout éviter le stress qui fait souvent grossir en déréglant la thyroïde. ( plus facile à dire qu’à faire !)

Courage les papillons !

 

Certains m’envoient des mp pour me demander si mon livre Maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie est toujours en vente.

La réponse est oui ! Sur tous les sites partenaires, commande également possible dans les librairies ou sur le site de l’éditeur … Offrez le à votre médecin,  vos proches !

 

https://www.evidence-boutique.com/samsara/maladies-thyroidiennes-devoreuses-de-vie

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( 26 octobre, 2020 )

Ne pas baisser les yeux

Violences, agressivité, harcèlements, rumeurs, notre monde explose, que dis-je implose. Le moindre mot enclenche une riposte encore plus cinglante. Ce n’est guère nouveau pour ceux qui, comme moi, ont connu le #pas de vague. Parce qu’il est bon ton de se taire, de courber l’échine, de sourire même si on a le coeur qui saigne.  Parce que ce monde ne veut pas comprendre, se contentant juste d’entendre et non d’écouter. Et chacun sait ce que peuvent être des mots rapportés, mal compris, déformés. Un dessin, une photo, un discours, tout semble sujet à la haine !

Notre société, sous son label ultra modernisée, serait-elle devenue stupide, incapable de réfléchir sans des gourous soufflant leurs vérités !

Pacifiste, contre les armes, contre les batailles inutiles, je me suis toujours refusée à rendre les coups. Peut-être est-ce ce qui fait de moi une résiliente, survivre malgré tout, continuer d’avancer malgré les croches pieds. Cela a fait aussi de moi une cible facile à atteindre. Tant pis !

Une chose est sûre, à soixante berges, je me refuse à me fondre dans ce moule, et

je continuerai à tendre la main afin que règne la paix, car rien ne me semble plus important. Et, je le ferai dignement, sans baisser les yeux.

Parce que le plus fort n’est ni celui qui attaque, ni celui crie le plus, ni celui qui possède le pouvoir grâce à l’argent, le plus fort est celui qui ne se laisse pas atteindre par les  discours haineux ou ces actes lâches, et je le redis, le plus fort est celui qui jamais ne baissera les yeux face à la méchanceté !

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( 25 octobre, 2020 )

L’impression à la demande : pour ou contre ?

De plus en plus de maisons d’édition optent pour l’impression à la demande, choquante pour certains auteurs, et pourtant ! On se doit d’être raisonnable à notre époque et le temps où des bennes de livres étaient régulièrement pilonnées est révolu ! Bien sûr, c’est rageant lorsque l’on est un auteur de ne pas voir « son bébé » dans les Fnacs ou les Culturas, mais il faut savoir vivre avec son siècle, la planète va mal, et détruire des livres simplement pour une histoire de marketing, cela me hérisse ! N’oublions pas qu’un livre ne « marche » en rayon que trois mois, ensuite il sera remplacé par un autre et mis au pilon. L’impression à la demande implique effectivement que le lecteur passe par Internet ou par un libraire qui lui commandera le livre, mais ne soyons pas égoïstes, faisons des efforts pour les générations à venir, et un stock de livres n’est pas une nécessité ou que l’on cesse de se dire écolo.

 

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( 24 octobre, 2020 )

Peur, vous avez dit peur ?

Ce serait bien si ces moralisateurs à deux sous cessaient pour une fois de ne pas regarder leur nombril. Partout le même mot : PEUR. Peur de l’avenir, peur du terrorisme, peur du virus, peur de vivre. Malheureusement, la peur fait partie de nos gènes, nécessaire à l’époque de la Préhistoire pour être capable de se protéger, cette peur s’était un peu faite oublier au fil des années surtout en entrant dans l’ère des jeux vidéos où la mort est narguée, où la victime repart sur ses deux pieds pour une autre partie. Dans la réalité, on redécouvre la vraie violence, des morts liés à un virus, comme si on avait pensé un jour avoir éradiqué la faucheuse, des innocents tués pour avoir juste fait leur travail, des vols à l’arraché. On n’arrive même plus à compter les gestes d’incivilité, les mots trop vite clamés, les plaintes trop hâtivement portées.

PEUR. Le monde a peur ! Et  il a des raisons d’avoir peur, il faut cesser de dire le contraire, mais cette peur risque de tuer bien plus que la violence réelle, simplement parce que cette peur stoppe la créativité, l’imagination, l’envie de vivre tout simplement.

Vous avez dit peur ? Oui, bien sûr, car il ne faut pas le nier, elle existe, mais elle ne doit pas diriger nos vies. Nous devons juste savoir percevoir son apparition pour ensuite la bloquer et hurler à la face du monde : NON, LA PEUR NE GOUVERNE PAS MA VIE !

En attendant, soyons solidaires et protégez les autres même si vous, vous vous en moquez !

#solidaire

 

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( 23 octobre, 2020 )

Savoir rester authentique.

Difficile d’être « vrai » dans une société où on nous impose d’être « parfait », car il ne faut pas se mentir, être vrai, c’est être soi, brut, sans fleuriture, sans mensonge. Être vrai, c’est oser montrer ses émotions, dire ses coups de coeur, savoir se mettre à nue en laissant entrevoir ses faiblesses.

J’ai toujours su depuis mon enfance qui j’étais, connaissant mes faiblesses, mes forces, ce qui ne m’a pas empêchée de me laisser prendre par de belles paroles, de me retrouver sous l’emprise de personnes plus fortes que moi, plus nocives, mais malgré tout,  je gardais cette petite « lumière »qui me permettait de rester authentique.

Je n’ai jamais eu à mentir dans ma vie, parce que pour moi la vérité reste primordiale et que peu importe mes erreurs, je les assume. Cela m’a valu bien des ennuis, car souvent les gens préfèrent une version édulcorée de la vie et non ce qui est vraiment.

On le voit ces jours-ci avec le #libertéd’expression, beaucoup préfèrent lever le poing sous le couvert de l’anonymat. Ce ne fut et ce ne sera jamais le cas.

J’ai appris à m’éloigner de tous ceux qui prononcent des phrases pleines de miel, pour ne garder que ceux qui comme moi ne portent pas de masque.

Savoir rester vrai, c’est être à l’écoute de son « moi intérieur », c’est avoir le courage de se regarder sans rougir dans une glace.

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