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( 15 octobre, 2020 )

Enfants trop gâtés

On parle beaucoup ces jours-ci de la montée de la violence qui est une réalité en oubliant que nous avons notre part de responsabilités. Les enfants d’aujourd’hui sont pourris gâtés quelque soit le milieu social. On a dansé avec allégresse sur le mythe de l’enfant roi, s’imaginant que s’il avait « tout », il serait heureux ! Seulement, on a oublié que ce « tout » incluait s’en occuper, lui donner confiance en lui, l’autoriser surtout à ne pas être parfait.  Nous avons tous fait cette erreur, plus ou moins grande selon les gens, avec nos enfants qui le reproduisent puissance dix avec leurs propres enfants.  On assiste, et je l’ai vu ces dernières années lorsque j’enseignais, des enfants récompensés alors qu’ils avaient mis le bazar dans la classe, des enfants avec tous les jouets possibles venant de sortir mais sans parent le soir qui les écoutaient. Combien de gamins croisons-nous au supermarché hurlant pour avoir un bonbon ou un jeu ? Combien de mamans achètent de façon compulsive pour combler leur propre manque d’amour ? Je ne peux que repenser à ma chambre d’enfants, avec ma soeur où ne trônaient que quelques barbies et des livres. Et nous n’étions pas malheureuses ! De nos jours, la société de consommation a laissé croire que le bonheur est dans l’opulence ! Combien d’enfants riches sont pauvres d’amour ?

Une gamine de dix ans me disait une année : « Je donnerai tout ce que j’ai simplement pour que ma mère m’aime et s’occupe de moi sans crier. »

Protéger la planète passe aussi par un changement de mentalités. Aimer un enfant n’est pas le sur-gâter, c’est simplement lui donner ce qui ne coûte rien et est illimité : de l’amour et du temps.

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( 14 octobre, 2020 )

SOS société en détresse

Il n’y a pas à dire, notre société est malade et comme pour le Covid, pas de vaccin pour la guérir. Elle est malade de violences, de pensées négatives qui l’asphyxient. Elle est malade de la peur des hommes. Elle ne respire plus, bloquée dans ses libertés, étouffée dans une justice qui étrangle les petits, assassinée par les grosses sociétés.

Je ne parle pas de politique, car pour moi, il n’y a personne capable de la guérir, sauf peut-être chacun d’entre nous. Si les hommes cessaient de vouloir toujours plus d’argent, s’ils étaient capables au quotidien d’autant de solidarité que lorsqu’un village est coupé du monde du à une intempérie, si l’orgueil pouvait sécher et laisser pousser des roses à la place, si les gens pouvaient réfléchir avant d’agir …

Là oui, le monde pourrait être soigné. Il suffit simplement de ne pas passer son temps à accuser les autres sur les réseaux sociaux de cette violence qui monte, car rien que ces verves souvent orientées ne font que grossir le poumon de haine de l’humanité.

Comme chante si bien Céline Dion «  S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer, je ferai de ce monde un  rêve, une réalité. »

Faisons de ce monde une réalité !

 

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( 13 octobre, 2020 )

Nouveau polar-nouveaux personnages

Un lecteur s’habitue à un auteur et à ses personnages simplement parce qu’à la longue, il s’identifie à eux, ce qui lui permet de vivre des situations par substitution, des histoires que lui ne pourra jamais vivre dans la réalité. L’attachement est parfois tel que certains lecteurs refusent que leur héros disparaisse. J’ai eu ce cas lors de la sortie d’Ambre qui marque un point final et sans retour à ma série des couleurs.  J’ai donc écrit une fin logique dans lequel le lecteur comprendra qu’il n’y aura plus d’enquêtes avec l’inspecteur Bourgnon et son équipe. Une fin nécessaire pour des raisons liées à une préférence éditoriale. J’ai eu en retour quelques vives réactions comme si j’avais tué un rêve ! J’en suis désolée, mais il faut savoir finir quand c’est le moment ! Comme ma plume ne peut s’empêcher de bouger, je ne pouvais rester sans plonger dans l’écriture d’un nouveau manuscrit policier. Qui dit nouveau manuscrit, dit nouveaux personnages, nouvelle équipe, nouveau genre. C’est un peu avec appréhension que les idées fusent, que les mots s’envolent, que le livre prend forme. Une nouvelle série se dessine, ce ne sera pas une série couleur, mais une autre forme et j’espère que les lecteurs auront un vrai coup de coeur pour mes nouveaux personnages.

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( 12 octobre, 2020 )

La maladie à corps de lewy

Encore trop méconnue, il faut pourtant en parler, parce que c’est important pour la prise en charge des mal en particulier en Ehpad. Dernièrement, j’ai reçu les superbes affiches de l’association A2mcl envoyées par Isabelle R que je remercie. J’ai ainsi pu distribuer dans des centres que je connais une plaquette, en particulier dans les lieux que j’ai fréquenté avec ma maman où cette maladie n’était pas sensibilisée.

Rien n’est pire pour un malade atteint de mcl de se voir assimilé à une simple perte de la mémoire comme Alzeihmer. Ma mère en a extrêmement souffert.

Je me souviens d’une soignante lors d’un rendez-vous avec le neurologue qui lui parlait comme à une débile, se tournant régulièrement vers moi pour me dire «  pauvre femme, elle ne comprend rien » et moi qui lui rétorquais, bien sûr qu’elle comprend ! Certes, elle a des hallucinations, mais elle a également toute sa tête. Et je peux vous assurer qu’elle ne l’a jamais totalement perdu même si elle est tombée dans un état de semi-conscience à la fin.

Bien comprendre les hallucinations est primordial, savoir les repérer, comprendre comment réagir, quels sont les mots que l’on a le droit de dire, ceux qui pourraient faire du mal, ceux qui apaiseront. La maladie à corps de lewy induit très souvent un état paranoïaque où le malade peut réagir avec violence simplement parce qu’il pense que l’on se moque de lui, parce qu’il croit que l’autre est méchant. Résultat, trop souvent, les aidants ne savent plus s’ils doivent ou non croire le malade s’il se plaint, par exemple, de maltraitance. Réalité ou délire paranoïaque ?

Une formation spécifique des soignants me semble indispensable afin de bien séparer les différentes maladies neuro dégénératives. Ces personnes ne sont pas des médecins et souvent n’ont aucune connaissance médicale.

Comme m’avait dit ma mère quelques mois avant de s’éteindre : « Pourquoi la vérité n’est jamais dite ? »

Pourquoi ?

Il serait peut-être temps …

 

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( 12 octobre, 2020 )

Hashimoto et les petits soucis physiques

Les maladies thyroïdiennes entraînent des symptômes de fatigue, de déprime, mais il ne faut pas non plus négliger les problèmes physiques, anodins pour de nombreux médecins et qui pourtant peuvent pourrir la vie.

Les cheveux.

Nombreux celles qui avaient une magnifique chevelure « avant » et se retrouvent avec des cheveux horribles simplement parce que la glande thyroïdienne a un rôle fondamental dans la beauté des cheveux. La glande thyroïde a pour mission de maintenir tous les systèmes de l’organisme en action et de les réguler, c’est le thermostat central de notre corps, donc en ce qui concerne les cheveux, elle est là pour son bien-être. Lors d’un dysfonctionnement, Hashimoto ou simplement un dysfonctionnement, elle sera incapable de stimuler les follicules pileux, ne pourra pas réguler les cycles pilaires, tout comme l’équilibre des glandes produisant le sébum. Résultat, les cheveux n’auront plus aucun tonus, ils se casseront, tomberont, deviendront secs, incoiffables. De nombreux malades signalent « des trous » dans le cuir chevelu ou une inégalité entre les deux côtés rendant la chevelure peu esthétique.

On voit aussi certaines personnes avoir les cheveux emmêlés tout le temps. On notera des cheveux plus « durs », moins souples, également blanchissant plus vite ( même très jeune)

La solution : un bon équilibre de la thyroïde tout en sachant que les dégats sur les cheveux peuvent perdurer plusieurs semaines même après stabilisation, peuvent également avec Hashimoto ressurgir lors des changements de temps ou de mode de vie. Le cuir chevelu en hypo pourra démanger, faisant penser à des poux ! ( ne pas associer les deux en prévention, car les traitements anti-poux assèchent encore plus le cheveu)

L’utilisation d’un soin capillaire est-il efficace ? Ce sera selon les personnes, car nous sommes tous différents, tout comme couper les pointes avec régularité. Cela reste un handicap, peut-être non reconnu, peut-être jugé trop peu important, mais un handicap tout de même !

 

La peau

Là encore, la peau réagit négativement à un dysfonctionnement thyroïdien devenant souvent sèche, fait pouvant résulter d’une baisse de la glande eccrine. On notera aussi les paumes des mains sèches, les pieds également, une transpiration moins importante.

Les pieds pourront voir apparaître ( souvent au talon) beaucoup de cornes.

On pourra aussi souffrir d’une rétention d’eau qui va s’infiltrer sous les yeux par exemple, au niveau des doigts qui seront boudinés.  Sur les muqueuses, le myxœdème induit macroglossie, raucicité de la voix, ronflements, surdité et bourdonnements d’oreilles.

Certains malades avec une TSH élevée pourra voir leur teint coloré en orange, comme s’ils avaient mangé de la carotte, ceci étant lié au foie qui est ralenti et ne joue plus son rôle.

 

Les poils.

Fait souvent oublié par les médecins, la pilosité est réduite, sur les jambes, mais également au niveau des organes sexuels homme ou femme. Les sourcils sont moins fournis, en général le bout du sourcil qui est presque inexistant. Les ongles qui fonctionnent de la même façon se cassent très vite et repoussent lentement.

 

Affections diverses

On note pour de nombreux malades des purits qui arrivent sans crier garde et disparaissent tout aussi vite. En mettant un nouveau pull, en mangeant un aliment, parfois sans raison.

Plus grave, des zonas peuvent apparaître même chez les personnes ayant eu la varicelle petites, et plusieurs fois. De nombreux malades avec des eczéma et des psoriasis auraient un dysfonctionnement thyroïdien ( parfois non diagnostiqué !)

Doit-on également parler du vitiligo, très fréquent avec ses taches blanches sur la peau tout comme le melasma, avec ses taches brunes, les « sortes de grains de beauté » comme si c’était des taches collées qui vont blanchir au fil du temps, les fameux « acrochordon»( excroissance de chair bénigne qui pousse sous les bras, sous les soutiens-gorge)

Les kystes sébacés ou autres, sous l’effet d’un ralentissement de la thyroïde vont pointer leur nez ( kyste sur la peau, kystes aux seins, aux ovaires, aux reins …)

 

Nous voyons donc, une fois encore, l’importance de cette thyroïde qui est vraiment la base de la beauté de notre corps, et même si ces symptômes sont moins pénibles que d’autres, ils peuvent rester handicapants pour de nombreuses personnes ! Ce serait bien que les médecins ne négligent pas la détresse des malades !

Courage les papillons !

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( 12 octobre, 2020 )

Rien n’est pire

Que de tombes d’enfants dans les cimetières, innocence volée, questions sans réponse, pourquoi ? pourquoi si jeunes ? Lisant dernièrement un superbe livre ( dont j’ai fait une chronique : changer l’eau des fleurs, la mort fait un clin d’œil. Ayant perdu un enfant de trois ans, je peux vous assurer qu’il n’existe pas pire douleur. Un parent ne devrait pas survivre à son enfant, c’est un non-sens total. Je me souviens encore de ma grand-mère lors des obsèques de mon père. Elle était anéantie ne cessant de dire qu’elle aurait dû mourir avant, que la logique n’avait pas été respectée.

La mort d’un enfant plonge le parent dans un vide que rien ne comblera. On survit ensuite, mais on ne vit pas vraiment, ou plutôt on fait semblant de vivre. Après, on avance le coeur brisé, le souvenir de l’enfant en bandoulière, et puis le temps fait son travail avec sérieux, effaçant les larmes. Il n’y a rien de juste dans la mort d’un enfant.

Il n’y a pas de jugement pour punir un coupable, car à quoi condamner la vie ?

Avec les années, seul votre coeur garde des traces, votre visage ne porte plus le deuil, votre sourire non plus. La vie va se dessiner de nouveau un peu comme si on avait pris une nouvelle feuille de papier pour y peindre un nouveau soleil.

La mort d’un enfant est cruelle, encore pire lorsque certains s’en servent comme une arme contre nous. Il faut garder la tête haute, car toutes mamanges est une survivante, une résiliente, et honte à ceux qui qui osent critiquer la douleur de la perte, une douleur que ne peuvent comprendre que ceux qui l’ont subie.

 

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( 11 octobre, 2020 )

Les grincheux !

Ah les grincheux, on ne peut y échapper ! Ces frustrés de la vie, toujours à critiquer, à juger sans pour autant se remettre en question ! Avez-vous remarqué comme ils sont nombreux sur les réseaux sociaux, prêts à l’attaque, cachés derrière un anonymat étudié.

Ah les grincheux, vous pouvez aussi les croiser au boulanger où le pain sera toujours trop cuit ou pas assez, aux abords des écoles où l’enseignante sera toujours critiquée simplement parce que le petit ange s’est vu pousser des cornes dans la journée.

Ah les grincheux ! Ils peuvent bien nous bouffer la vie si on ne sait pas les repérer, et plutôt que de vouloir les éliminer, mieux vaut de leurs mots salés se moquer ! Car au fond, les grincheux ne sont pas vraiment dangereux, juste des personnes tellement frustrées que seul le côté sombre va les attirer ! Alors la meilleure solution, s’en tenir éloigné et surtout ne pas leur donner de quoi alimenter leur méchanceté ! :)

 

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( 10 octobre, 2020 )

Vieux papiers, vieux carnets …

Lorsque l’on a déjà parcouru un long chemin de vie, des papiers, on en a, en masse ! Papiers d’impôts, feuilles de paie, papiers de banque et j’en passe. Sans parler des boîtes de photos, des lettres ou cartes conservées, ou simplement carnets et journaux. Cela en fait des vieux papiers que l’on conserve par peur de voir s’envoler les souvenirs.

Pourquoi l’homme conserve-t-il les vieux souvenirs ? J’ai toujours été mitigée. Garder ou non mes journaux d’adolescence. J’écris mon journal depuis l’âge de treize ans, certains furent détruits, souvent faisant suite à un chagrin d’adolescence, mais il m’en reste tout de même des cartons entiers remplis de photos de mes anciennes amies, de mes amours de gosse. Longtemps, j’emmenais mon carnet partout, dans mon sac, comme si ainsi je prolongeais l’instant. Puis le numérique a pris sa place, un temps, moins fiable, décevant, j’ai repris mes carnets.

Sont-ils comme pour mon héroïne Camille une manière de vaincre l’impensable, la peur de perdre un jour ces souvenirs qui s’effacent bien malgré nous ou est-ce simplement narcissique ? Une façon de croire que je ne mourrais pas tout à fait …

Je n’ai jamais fait lire aucun de mes journaux, ce qui serait pour moi un viol de mes pensées. Par contre, une fois que j’aurais tiré ma révérence, j’espère que des passages amuseront mes petits-enfants, ou simplement leur donneront une vision de la vie d’avant, celle qu’ils ne peuvent connaître où l’informatique, le téléphone, n’existaient pas.

 

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( 9 octobre, 2020 )

Ces enfances violées

Ayant dernièrement regardé la série Laetitia, je m’interroge sur ces viols si fréquents, non dits, et surtout je me demande pourquoi si peu de violeurs sont vraiment mis sous les verrous. Est-ce parce que notre société, inconsciemment, accepte qu’une femme soit un objet simplement parce qu’elle n’est pas trop laide, parce que le monsieur a un statut qui lui donne tous les droits. Je dis stop ! Les femmes, les fillettes, toutes doivent être entendues, toutes ont le devoir de crier.

Ce n’est pas parce qu’une femme aime bien une personne qu’elle veut coucher avec.

Ce n’est pas parce qu’elle porte une jupe qu’elle doit se faire tabasser.

Ce n’est pas parce qu’elle hésite à un moment, que son NON doit-être entendu pour un oui.

Non, il faut oser dire non. C’est très difficile en tant que victime, car on n’est jamais cru. On le voit dans ce film. Le père de la famille d’accueil a violé quatre gamines et pourtant il va toujours trouver des excuses. « C’est elle qui le voulait. » «  Ce fut une erreur, mais c’est de sa faute. »

Ce n’est jamais de la faute des violeurs ou des harceleurs, à tel point qu’ils arrivent à culpabiliser leurs victimes. Pire à renverser la justice et à faire des victimes des coupables ! Le nombre de victimes mises en examen augmente de jour en jour !

Ce film tiré d’une histoire vraie m’a révoltée dans le sens que ce type qui a violé durant des années quatre gamines mineures, n’a écopé que de huit ans de prison. Huit ans, simplement, alors que les filles, elles, ont pris souffrance à perpétuité !

Que continue de retentir les #balancetonporc, peut-être un moyen d’éveiller les consciences de demain.

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( 8 octobre, 2020 )

Comment reconnaître le bonheur ?

Comme dirait Christophe Maé : « C’est con le bonheur, ouais, car c’est souvent après qu’on sait qu’il était là. »

Qu’est-ce que le bonheur ? C’est un état qui fait que l’on se sent « bien », un bien-être, une plénitude, l’impression de marcher sur un nuage. Le bonheur, c’est un peu ce bonbon qui nous renvoie à notre enfance, l’odeur de la madeleine de Proust, le ballon que l’on voit flotter dans le ciel qui nous rappelle un anniversaire. Le bonheur, c’est ce sourire croisé dans la rue, spontané, inconnu et qui nous fait du bien, c’est cette main qui nous effleure sans rien dire, ces mots qui chantent à nos oreilles.  Le bonheur, c’est ce moment où on entend notre enfant pousser son premier cri, l’échange de regards.

Le bonheur, c’est la première fois où notre coeur bat très fort pour un autre, c’est s’extasier sur une belle photo, un paysage, une émotion.

Le bonheur est partout souvent là on ne l’attend pas. Il ne se cherche pas, ne s’achète pas, il se trouve par hasard quand lui l’a décidé. Le bonheur est ce qui efface les douleurs avec tendresse.

Le bonheur, c’est NOUS !

 

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