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( 14 novembre, 2020 )

Le nouveau roman de CLR

Le mille-pattes aux grandes oreilles de CLR

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

Malgré une pile de livres à lire, je n’ai pu m’empêcher de me plonger dans l’epub de cet auteur dont j’aime beaucoup la verve littéraire. Un peu curieuse cette fois du titre, original, j’avoue ne même pas avoir pris connaissance du résumé avant de débuter ma lecture. Dès les premières lignes, j’apprécie l’originalité. L’auteur nous emporte dans une histoire où le fil rouge semble flirter entre rêve et réalité, sorcière et légende.

L’histoire tourne autour d’Evariste, un personnage attachant, trouble.

Une histoire à la fois addictive et étrange, celle d’un homme en prise avec sa conscience. Vous vous demandez certainement le lien du titre « Le mille-pattes aux grandes oreilles » avec le roman ?  Je ne vous dirais juste une chose, lisez vite ce roman bien sympathique !

« Aucun ne lui aurait plu, il lui aurait fallu un pont sans histoire, sans raison d’être. Or tous les ponts ont une vie, une valeur, un sens et le suicide est un non-sens. »

 

« Un rêve n’est jamais le reflet exact de la réalité vécue, il traduit une ambiance, un sentiment, de la peur ou un désir fantasmé. »

« Non. (…) hasard n’a pas de sens, il a des causes. »

« Les personnes fragiles sont plus influençables et supportent les contraintes donc sont moins libres, peut-être, que les autres. Ceci-dit, un individu dit « solide » peut avoir le crâne bourré d’idées toutes faites et céder stupidement à leur influence, donc sa liberté est relative. »

 

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( 14 novembre, 2020 )

Pourquoi tant de familles choisissent une école privée ?

Je vais encore jouer l’avocat du Diable !

Les listes d’attente dans les écoles privées sont de plus en plus longues, alors qu’il y a vingt ans, seuls les très riches mettaient leurs enfants dans ces structures. Pourquoi un tel choix ? Étant une ancienne enseignante, cette option pour l’école élémentaire ne devrait pas être mise en avant, car c’est l’âge où l’enfant devrait rester au sein d’une mixité sociake , après pour le collège ou le lycée, c’est un peu différent. Après, ce n’est pas si simple !

En élémentaire, l’enfant doit acquérir une ouverture d’esprit afin de découvrir le monde, les cultures différentes. Par contre, au niveau du collège, on assiste à un problème de niveau scolaire. Indéniablement, le niveau des élèves français a beaucoup baissé. Le niveau du privé est plus élevé. Pourquoi ?  Serait-ce parce que les parents paient ou tout simplement parce que les enseignants visent un niveau plus haut ? Ou parce que les écoles privées étant souvent liées à un contexte religieux, les élèves y sont mieux tenus, plus polis. Ils apprennent à devenir autonomes, citoyens, solidaires, et les statistiques montrent qu’ils ont de bien meilleurs résultats que dans le public.

Cela me désole même si c’est une triste réalité. J’ai été si longtemps une fervente convaincue de l’importance de l’école publique, mais aujourd’hui, je pleure face à la violence, aux incivilités parents/ enfants que l’on trouve dans le public.

Peut-être serait-il temps au ministère de l’éducation nationale de redorer le blason du public, car soyons franc, ce n’est tout de même pas normal de devoir payer pour avoir une bonne éducation.

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( 13 novembre, 2020 )

Être une plume

Être une plume, c’est jouer avec les mots un peu comme si le stylo sur les feuilles de papier blanches remplaçait les doigts sur les cordes de l’harpe. Les mots qui en sortent sont comme des notes de musique, tintant une belle mélodie à nos oreilles. Ce ne sont que des mots, rien de plus, juste pour le plaisir de les poser,  pour les offrir, pour les faire durer encore quelques secondes. On n’est rien sans les mots, même les muets vous diront que l’on peut parler autrement, que sans « mots », il n’y a pas de communication. Je pense souvent à ma petite maman à la fin de sa maladie qui n’arrivait plus à dire ces mots qui coinçaient dans sa gorge, à cette souffrance de ne pouvoir s’exprimer. Il est important de laisser les mots jaillir même si ce ne sont pas des mots destinés à durer, même si ce ne sont que des mots qui s’évaporent ensuite.

Un mot par contre à trop tendance à être interprété, disséqué, alors qu’il ne devrait être juste accepter que comme l’essence d’un tout, et rien d’autres.

 

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( 12 novembre, 2020 )

Parler de la mort

Il ne faut pas en parler, me disait dernièrement un contact.  C’est tabou ! Et pourtant, tous les jours, on nous parle du nombre de morts du covid. Ce n’est pas contradictoire ? La mort est une réalité à laquelle nul ne peut échapper. On est programmé pour mourir un jour et même ces imbéciles de milliardaires qui se font cryogéniser, ne sont pas là pour nous dire si ça a fonctionné ! Il faut oser parler de la mort car elle n’épargne personne et peut-être brutale parfois, inconcevable, douloureuse pour ceux qui restent.

Les croyances de chacun diffèrent selon les religions ou les courants spirituels. De plus en plus de personnes penchent vers l’agnosticisme, s’éloignant d’une religion sans pour autant comme les athées pur et dur que rien n’existe. Les premiers en arrivent de nos jours ne pouvant affirmer l’existence d’un après, disent que l’inverse aussi est scientifiquement non prouvé. D’où l’ouverture à des courants de pensées où l’énergie sous forme vibratoire, sans lien avec une religion subsisterait. ( ceci étant de plus en plus constaté chez les hindous, les soins reikis ou autres)

Parler de la mort comme d’une énergie qui rejoint l’énergie de la nature ou de l’univers est très réconfortante.

Un médecin me disait un jour que ceux qui avaient le plus peur de la mort étaient les « purs » athées, qui pouvaient aller jusqu’à des angoisses terribles en fin de vie, contrairement aux autres qui partaient sereinement.

Alors peut-être plutôt que de flipper face à la force, peut-être qu’au lieu de refuser de parler voire de l’envisager, peut-être simplement la laisser s’approcher sans pour autant lui ouvrir les bras ! Et surtout apprendre aux enfants à ne pas en avoir peur, elle fait partie de notre présent à jamais, surtout en ce moment.

Parler de cette fin parfois difficile, lever le poing pour demander à partir dans la dignité.

Avoir le droit de rire de la mort aussi, car il s’en passe des choses cocasses parfois aux enterrements !

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Pouvoir préparer ses choix sans se faire insulter ( je l’ai déjà vu faire)

Et surtout rester philosophe ! La mort n’est rien à côté de la douleur que vont éprouver ceux qui restent !

( 11 novembre, 2020 )

Hommage aux amis

L’amitié est souvent tout aussi importante que l’amour, car elle dure également à jamais si elle est entretenue. Qu’attend-on d’un ami ? Voilà une question qui revient souvent.

Pour moi, en premier l’honnêteté. Un ami ne trahit pas, ne ment pas, ne porte oas de masque. Il sera alors accepté les bras ouverts que son coeur soit triste ou gai.

Un ami ne juge pas. Il peut, il a le droit de ne pas comprendre, non celui de détruire.

On attend d’un ami une confiance totale. Un secret devra le rester, une histoire racontée ne devra pas être divulguée.

On attend d’un ami qu’il comprenne le besoin de recul, nécessaire parfois, celui de revenir sans donner de raisons, ses sautes d’humeur, même ses caprices dont on va sourire avec complaisance.

Je me suis fait huée par certaines instances parce que j’avais osé dire que j’aimais mes amis, hommes ou femmes. C’est une forme d’amour asexuée, faite de tendresse et de compréhension. Mais je persiste à penser que l’on ne peut-être ami avec des personnes que l’on n’aime pas. Il faut que le feeling passe.

Il y a des amitiés qui durent toute notre vie, d’autres qui vont s’évaporer comme un doux parfum. Ces dernières laissent juste une trace, mais il n’est pas bon d’essayer de ranimer les braises. Il y a tellement de belles rencontres à faire sur cette terre que s’attarder sur ceux qui n’en valent pas la peine reste une perte de temps.

Une chose est sûre, un ami est important, alors à tous mes amis de France et d’ailleurs, ceux qui sont toujours là à me tenir la main, je leur renouvelle mes mots d’amitié : merci à vous d’exister ! Je vous aime. !

Car comme me disait toujours ma maman, on ne dit jamais assez aux autres à quel point on les aime. Il faut le faire avant que ce soit trop tard.

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( 10 novembre, 2020 )

Fantasme, tu as dit fantasme !

Nous vivons vraiment dans un monde bien triste où tout est analysé, scrupuleusement regardé à la loupe. Un mot de trop et on se retrouve avec une étiquette. Une expression mal choisie et toute notre vie est grossie.  La faute à œdipe, peut-être un viol enfant, peut-être sa couleur de peau ou sa religion. L’auteur devient son histoire qui va lui coller à la peau. Longtemps, j’en ai ri. Maintenant cela m’agace ! Je n’écris pas mes fantasmes, tout simplement parce que mes personnages ne sont pas moi.

Je suis juste une plume, rien de plus, avec une petite vie calme ( sauf quand certains cherchent à me la pourrir), au sein d’une famille aimante. Mes personnages sont tortueux, ce qui n’est pas mon cas.  Je suis, à l’inverse, trop naïve, ayant cru trop de belles paroles. En tous les cas, je plains une amie auteure qui écrit des romans érotiques et qui est malmenée dans sa vie personnelle, cataloguée comme « femme facile », alors qu’elle est tout l’inverse. Moi-même, je remets souvent les points sur les « i » n’étant pas adepte de certaines pratiques sexuelles dont je parle parfois dans mes livres : sadomasochismes, fellations à gogo etc. Il est important de bien comprendre qu’un auteur, en particulier une femme auteure , car il semblerait que ce soit un peu différent pour les hommes, n’écrit pas SES fantasmes, mais des scènes érotiques qui font vendre, qui attirent le lecteur ! Qu’on se le dise une bonne fois pour toutes !

 

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( 9 novembre, 2020 )

Sommeil et thyroïde

Voilà un sujet souvent posé: pourquoi alors que l’on est fatigués dans la journée, avons-nous parfois un sommeil déréglé lors d’un dysfonctionnement thyroïdien ?

Trop souvent, on assimile les insomnies à l’hyperthyroïdie ce qui est une idée fausse. Beaucoup de malades en hypothyroïdie présentent des difficultés à s’endormir ou simplement se réveillent la nuit sans pouvoir fermer l’oeil.

L’environnement peut agir sur le sommeil selon l’endroit où l’on vit, la mer pouvait activer les insomnies, mais parfois ce peut-être l’inverse.

Un dysfonctionnement de la glande thyroïde associé aux surrénales peut conduire à un état dépressif, et à une perte du sommeil. Certaines personnes verront également ce sommeil si bénéfique perturbé au moindre changement émotionnel.

En clair émotion trop forte ( stress etc )= dysfonctionnement de la thyroïde possible = sommeil perturbé.

 

Est-ce que les choses vont s’arranger avec un bon traitement thyroïdien ?

On aimerait que ce soit le cas, malheureusement, les effets perturbateurs du sommeil peuvent perdurer. Le malade ne s’en sort pas, en particulier lors des changements de temps ou d’horaires. Là encore, certaines personnes verront leur sommeil redevenir à la normale stabilisées, mais pour beaucoup d’autres, le chemin est encore long.

 

Prendre des médicaments ?

Les médecins ont la main facile avec les somnifères.

« On pense toujours que les som­nifères agissent sur le système ner­veux. En réalité le somnifère agit d’abord sur la glande thyroïde pour l’obliger à tomber en hy­pofonction relative : d’où le som­meil. Cette action est intoxicante. Mais surtout elle ne contribue pas à une rééquilibration naturelle du sommeil. » (extrait pris sur Internet)

 

On comprend vite que ces somnifères ne sont pas sans danger. Ils vont plonger le malades dans un sommeil totalement artificiel et non le régulier. Utile, oui, mais ponctuellement et surtout pas avec un dysfonctionnement thyroïdien.

Que penser alors des anxiolytiques ? Ce sont des anxiogènes destinés à effacer l’anxiété. De nombreuses personnes atteintes de soucis thyroïdiens sont sujettes aux crises d’angoisse et se voient prescrire un anxiolytique. L’avantage des anxiolytiques, c’est que l’addiction n’est pas courante, et surtout en prenant des doses très faibles, 1/4 de comprimés par exemple, on peut retrouver une vie normale.

Après, il est évident qu’il faut à un moment supprimer ces drogues en les diminuant petit à petit.

 

S’aider des médecines douces est également une bonne idée.

Certains se tourneront vers la sophrologie, une aide excellente pour réguler le sommeil, l’homéopathie, le Reiki, l’acuponcture, peu importe finalement, l’important c’est de découvrir ce qui est le mieux pour chacun. Le sommeil est très important et il ne faut pas le négliger. En hyperthyroïdie, la thyroïde étant hyper activée, le malade aura un sommeil agité avec des insomnies possibles. Curieusement en hypothyroïdie, l’envie de dormir est fréquente, tout comme la fatigue, mais une hypothyroïdie peut aussi générer des insomnies.

Pas de solution miracle … différentes ouvertures à tester.

N’hésitez pas à partager vos solutions !

 

Et prenez soin de vous !

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( 9 novembre, 2020 )

Réseaux sociaux, mal nécessaire.

Les réseaux sociaux créent du lien social surtout dans cette lourde période de confinement.  Seulement, ils restent chronophages.  On s’est tous fait prendre au piège, se juger de ne rester que cinq minutes et réalisant soudain que nous y sommes depuis une heure. Le nombre impressionnant de réseaux n’arrange rien , Facebook, Twitter, Linkedlin, Instagram, peut-être Youtube s’inscrit dedans etc.

Il y a quelques semaines, j’ai choisi de ne conserver que Facebook et Instagram.

Facebook pour le côté convival, et certains groupes que je survole quotidiennement et Instagram principalement pour les photos et tableaux magnifiques qui sont présentés.

Tweeter je n’ai rien compris, tandis que je  m’ennuyais profondément sur Linkedlin, trop professionnel et au final n’apportant que peu d’impacts côté lecteurs. J’ai également réglé mon Ipad sur un temps restreint pour ne pas être tentée de plonger dans des discussions, souvent passionnantes, mais sans fin.

Par contre, face à la fermeture des librairies, je pense qu’en tant que grande lectrice, je me dois d’intensifier mes retours et de m’ouvrir à Babelio par exemple afin qu’il puisse y avoir plus de visibilité.

Il n’empêche, je m’interroge : pourquoi tombe-t-on tellement en addiction ? Est-ce aussi votre cas, une fois la page du réseau ouverte ? Et avez-vous testé d’autres réseaux et vos avis ?

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( 8 novembre, 2020 )

Ne pas être affecté par du négatif !

Pas toujours facile lorsque l’on prend une claque en pleine face, là où on va nous dire que l’on se sur-victiminise.  Pourtant, une réalité, le négatif affecte notre corps, les informations pessimistes, les gens qui font la tête. Sortir de cette spirale, c’est s’autoriser à faire vibrer notre corps plus haut. Pour cela, il faut simplement changer notre mode de pensées dans lesquelles nous sommes englués depuis notre enfance. Déjà, débuter la journée en se glorifiant soi-même !  « Je vais bien ! Je suis lumineuse ! »

C’est important de ne pas se lever en grognant, en pestant après la météo ou les heures à venir. Rien ne se passera bien dans ce cas. Alors oui, même en agissant positivement, on peut être amené à croiser des personnes nocives, sous couvert parfois de « bienveillance masquée ». Personnellement, j’ai choisi depuis quelques années de fuir, non par lâcheté, mais pour assurer ma propre survie. La fuite serait pathologique, je persiste à dire et à signer que c’est une délivrance !

Mon énergie, je la recharge en marchant, beaucoup, dans un coin de verdure, en chantant comme une débile lorsque je suis seule, en bougeant comme si j’avais vingt ans, en illuminant mes toiles de couleurs, ou mes pages blanches de mots.

Le négatif tue, alors gonflez-vous de positif !

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( 7 novembre, 2020 )

Qu’apporte la peinture ?

Peu importe si on sait dessiner ou non, la peinture, c’est l’art de faire danser les couleurs, et cela nul besoin d’être doué, il suffit juste de sentir. Pourquoi peindre ?

Peindre, c’est réinventer la réalité, c’est sortir de soi jusqu’à toucher ce que nous avons de plus intime. Peindre est également une excellente thérapie permettant à chacun d’évacuer des tensions ou des douleurs cachées.

Personnellement, la peinture, tout comme l’écriture, m’apporte un réel bien-être, une forme de bonheur.

Bien sûr, plus on travaille la peinture et plus on progresse, plus on se met à aimer les couleurs, les mélanges, la lumière. J’ai toujours aimé l’Art, mais depuis que je peins, je redécouvre le plaisir du regard, celui de regarder autrement, différemment.

En cette période de confinement, il ne faut pas hésiter à se procurer des pinceaux et des couleurs, même si ce ne sont malheureusement pas des produits de première nécessité, et barbouiller des feuilles afin de laisser éclater la créativité qui sommeille, ainsi que les émotions qui bouillonnent. C’est une activité anti stress, libératrice, et qui met du soleil dans la vie.

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