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( 6 novembre, 2020 )

Les séries télé

Il n’y a pas à dire, en cette phase de confinement, on ne crache plus sur les séries télé, parce qu’il pleut certains jours, parce qu’il faut meubler le temps. Je suis une accro aux séries tout autant qu’à d’autres loisirs, certainement car j’ai toujours été une cinéphile et qu’actuellement aller au cinéma n’est pas facile. Les séries sont une porte sur l’évasion, la distraction, le rire, la fascination. Devant la télé, je fais toujours autre chose, de la broderie ou bien j’écris. C’est un moyen de sortir du quotidien.

Tout comme dans les livres, on s’attache aux personnages de nos séries, on les déteste, et surtout on attend la suite ! C’est vrai que l’ouverture de plateformes comme Netflix est extrêmement positive. Et puis il y a les séries culte comme Game of Thrones,  Grey’s Anatomy, This is us etc qui vont marquer autant dans leurs diversités que parce que leur contenu nous touche.

Même si dans mon coeur, les séries ne remplacent pas le cinéma, j’avoue que j’y suis de plus en plus accro.

 

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( 5 novembre, 2020 )

Lorsque nous sommes différents

La différence n’est pas toujours de bon goût à notre époque où on doit rentrer dans un moule défini par notre société. On doit penser « comme ça », écrire «  comme ci », aimer « comme ça ». Difficile lorsque l’on est trop emphatique, trop sensible, on n’est alors pas toujours compris, Tel est souvent le destin des artistes, de ceux qui écrivent avec de la poussière d’étoiles comme moi. Nos mots ne sont que des mots qui jouent avec le vent, mais voilà, si on détache chaque lettre, on n’a plus une sensation, juste un fil invisible qui perdure. Seulement, cette perception que nous avons, nous les artistes, nous les auteurs, nous les grands rêveurs, peu de personnes la comprenne. Pour eux, nous avons juste un grain de folie, que ces gens plus fous que nous trouvent dangereux, simplement parce qu’avec nos pinceaux, nos crayons, nos plumes, nous n’avons pas de limite dans la créativité.

Écrire, peindre, dessiner, sculpter, créer, c’est donner de l’amour sans modération, sans rien demander juste parce que nous sommes ainsi, différents, mais bien vivants.

 

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( 4 novembre, 2020 )

Les romans policiers

Auteure de polars, mais pas que, je revendique ce genre que trop de personnages assimilent aujourd’hui au thriller.  Un thriller n’est pas un polar. Quelle différence allez-vous me dire ?

« Le roman policier ou « polar » est un roman qui n’utilise pas le point de vue de la victime et base son intrigue sur des faits concrets au travers d’un regard : équipe policière, journaliste, etc. On peut parler de lecture participative car le lecteur tente de trouver le coupable en même temps que l’enquêteur, voire avant. Tandis que le thriller, l’intrigue n’est pas basée sur l’investigation comme pour le polar. »

Que de polars sont publiés en se disant des thrillers alors que ce ne sont que des polars comme si le mot « polar » était aujourd’hui décrié.

J’aime écrire des polars, interagir avec le lecteur en lui donnant des pistes, des indices, tout en l’embrouillant. Peut-être parce que j’ai moi-même depuis mes douze ans lu essentiellement des romans policiers, d’abord dans les collections jeunesse, puis les classiques du style Sherlock Holmes, Hercule Poirot, miss Marple, Arsène Lupin, et la liste est longue. Aujourd’hui encore, lorsque j’arrive à la fin d’une lecture, je ne peux me coucher qu’après avoir lu le fin mot de cette intrigue policière.

Écrire un roman policier, pour moi, c’est avancer dans la psychologie des personnages, dans la vie des victimes, jusqu’à fidéliser le lecteur afin qu’il ait l’impression de connaître réellement les personnages principaux. Ma série des couleurs a pris fin avec Ambre, le cinquième de la série ( Indigo ayant été enlevé des plateformes et non réédité par choix). Lors de cette pirouette finale, plusieurs lecteurs m’ont contactée, car « la fin » d’Ambre ne leur convenait pas ! La série ne devait, ne pouvait se stopper, mon inspecteur Antoine Bourgnon ne pouvait cesser d’enqêter.

Seulement, pour faire un bon livre, il faut savoir aussi mettre le mot « fin » à une série.

C’est génial pour un auteur ! Cela signifie que les personnages étaient pour eux devenus « vivants ». D’où l’importance, et c’est ce que font les grands écrivains, de sortir « une suite » avec régularité : Inspecteur Harry Bosch, Erlendur Sveinsson, John Rebus, Kurt Wallander, Guido Brunetti, Kay Scarpetta, Harry Hole, Alex Cros, parmi mes préférés, mais il y en a beaucoup d’autres.

 

Ma plume a quelques temps sécher, les contraintes éditoriales nuisent à l’envie, mais libérée de clauses d’obligation, les graines ont poussé et l’encre jaillit de nouveau.

Je m’aperçois que je peux de nouveau inventer des intrigues afin de faire oublier à ce monde sa noirceur, afin d’oublier moi-même la réalité, car nous vivons une période bien difficile et l’évasion par les mots est un peu une montgolfière qui m’empêche de ne pas couler.

J’ai donc débuté une nouvelle série policière avec de nouveaux personnages, et je m’éclate vraiment à faire vivre ce premier opus, classique, car je reste classique dans mon style d’écrits, avec ma griffe. Et peu importe s’il sera lu autant que le fut Rouge en 2013,  l’important est d’écrire et de ne plus voir le temps passer !

Et je suis certaine que si comme moi, vous êtes quelqu’un de curieux, qui aime comprendre, qui applaudit quand la vérité triomphe, quand le méchant est attrapé, le roman policier a encore de beaux jours. Le thriller ne doit pas écraser le polar ! :)

 

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( 3 novembre, 2020 )

Une bougie s’est éteinte, il y a un an …

Un an que tu es partie ma petite frangine. Un an que cette flamme qui te tenait en vie s’est doucement éteinte, non sans douleur. Le temps a passé tellement vite. Le Covid cette année a pris toute la place, comme si les aiguilles de la pendule se sont mises à tourner en mode vitesse lumière. Un an, c’est long et court à la fois, rempli de petits bonheurs et de souvenirs. Mon enfance me berce aujourd’hui, alors je laisse mes pensées s’évader. Des images de ces spectacles de danse où tu tournoyais en tutu rose, des flashs de délires de gosses chez nos grands-parents durant l’été, des histoires que l’on se racontait sous nos lits comme si nous étions dans une cabane. Tous ces moments d’insouciance, tous ces rêves que tu me confiais, combien en as-tu  réalisé et que s’est-il passé pour qu’une tornade te pousse vers cette bouteille que tu aurais dû éviter.  Il y a un an, une bougie s’est éteinte, et une dernière fois, je vais juste te dire, c’était bien d’avoir partagé ma jeunesse avec toi, ma petite soeur.

 

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( 2 novembre, 2020 )

Maladies thyroïdiennes, les saisons, les virus.

Voilà une question régulièrement posée, pourquoi y a-t-il une recrudescence des dysfonctionnements thyroïdiens à l’arrivée de l’automne ?

Ce n’est pas la saison qui est en cause, mais le changement de temps qui va jouer sur le fonctionnement de la thyroïde. Beaucoup de personnes vont passer leurs vacances tranquillement durant l’été à la mer, et le retour à la vie active va complètement déglinguer le fonctionnement de la thyroïde. Si à cela s’ajoute l’arrivée des virus gastros, des grippes et actuellement la peur du Covid, tout part en vrille.

Beaucoup de malades passent en hypothyroïdie à cette époque, fatigués.

Il faut tout de même relativiser. Le commun des mortels est également plus fatigué à l’approche de l ‘hiver. « Les fonctions biologiques saisonnières sont synchronisées avec l’environnement par les variations photopériodiques de la sécrétion nocturne de mélatonine. » Quand on sait que cette mélatonine agit également sur la fonction thyroïdienne, on peut aisément comprendre que le corps va être fragilisé, et qu’il faut s’attendre à laisser le temps à notre corps de s’adapter.

Il est donc impératif de ne pas changer brutalement de dosage de traitement. En général tout rentre dans l’ordre au bout de trois semaines.

 

Thyroïde et grippe

Il existe des thyroïdites qui font penser à la grippe. C’est ce que l’on nomme la thyroïde de Quervain qui débute comme la grippe, avec des frissons, de la fièvre.

Par contre, Hashimoto et le vaccin contre la grippe ne sont pas nécessairement compatibles. Il faut savoir que la recommandation officielle affirme que si un patient veut se faire vacciner, et qu’il souffre d’une pathologie auto-immune, il faut absolument exiger un vaccin sans adjuvant afin de ne pas faire empirer la maladie.

Rappelons qu’un vaccin va stimuler le système immunitaire et dans ce cas, ce dernier risque de stimuler la fabrication d’anticorps contre la grippe mais aussi les anticorps contre la thyroïde.

Il est également important à l’heure du Covid de s’interroger : avec Basedow ou Hashimoto, ne sera-t-il pas dangereux de se faire vacciner ?

« Une maladie thyroïdienne ne représente pas une majoration de risques bsauf si elle est associée à des maladies bronchiques ou pulmonaires chroniques, de diabète, d’hypertension ou des problèmes cardiaques.

Elle peut être un facteur de risques supplémentaire si, dans le cas d’hypothyroïdie majeure, l’organisme présente des carences en co-vitamines et sels minéraux, ce qui est effectivement rencontré en cas d’hypothyroïdie. nous informons régulièrement sur l’intérêt d’être en normes hautes pour bien transformer les T4 inactives en T3 actives pour retrouver un équilibre optimal. Or, le rôle est aussi important pour le diabète, l’hypertension, dans la prévention des maladies coronariennes pour obtenir une meilleure immunité face aux virus dont la covid-19. » (extrait trouvé sur internet)

 

En résumé, ne soyez pas alarmistes au plus petit coup de fatigue. C’est normal.

Et comme pour tout le monde, boostez votre organisme avec un verre de jus d’orange frais tous les matins, sans oublier la vitamine D ( exclusivement sur ordonnance) et ne pas dépasser 30 gouttes par semaine ( la vitamine D n’est pas éliminée par le foie)

Bien armés, vous pourrez vaincre les virus de l’hiver sans souci.

Et pour ceux qui aiment l’homéopathie, je rappelle que le vaccin homéopathique est sorti.

Influenzinum 2020/2021 9 CH ou 15 CH ( selon votre sensibilité) à raison de 8 granules chaque semaine durant 3 semaines, puis reprise en janvier et en mars.

Et attention au confinement qui peut perturber notre système endocrinien en générant stress ou changement de vie.

Courage à tous les papillons !

 

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( 2 novembre, 2020 )

Apprendre à ne pas être dépendant des autres

Dès le jour de notre naissance, nous sommes tous dépendants des autres, pour manger, pour être changés, puis nous grandissons, nous devenons adultes et ainsi, nous devons apprendre à nous libérer de cette dépendance. Cela semble facile, et pourtant, bon nombre de personnes restent inconsciemment dépendantes.

Il est important de ne pas mélanger, dépendance et emprise, que les autres peuvent avoir sur nous. Certains individus, avides de pouvoir, le sont souvent dès le plus jeune âge. Ce sont ces enfants despotes dénués d’empathie, qui tyrannisent leurs proches ou simplement ceux perturbés par des parents violents ou à l’inverse trop possessifs.

Il faut pourtant apprendre à fuir la dépendance affective, qui en fait n’est que le résultat d’un manque de confiance en soi. La dépendance implique que la personne recherche l’approbation de l’autre, étant même prête à tout pour quêter un sourire ou un mot affectueux. Ce sont des personnes qui tombent vite sous l’emprise des autres.

Il est important de vivre pour soi, en sachant ce que l’on vaut vraiment, en cessant de se répéter que ce sont les autres qui font de nous ce que nous sommes, mais nous sommes ce que nous sommes parce que nous le valons bien, parce que nous sommes tous importants et parce que nous savons au fond de nous tous ce que voulons.

 

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( 1 novembre, 2020 )

Pourquoi est-il important d’être attentif aux autres ?

En cette époque difficile, il est important de savoir être bienveillant et d’être attentif aux autres, c’est,à dire, simplement de ne pas se centrer sur son petit moi individuel, de donner de l’amour spontanément sans rien attendre en retour, juste parce que tout acte qui va faire plaisir aux autres va nous faire plaisir à nous également.

Être attentif, c’est prendre des nouvelles lorsque l’on sent que l’autre s’enfonce dans la solitude ou dans l’oubli, c’est sourire à cette octogénaire en face de votre rue.

Être attentif aux autres, c’est surtout écouter les autres, et non juste les entendre, écouter les silences, tout ce qui est dit entre les lignes, c’est mettre un pansement sur une blessure qui saigne sans juger.

Notre société est de moins en moins encline à cette attention, car tout va trop vite, tout est trop programmé, résultat on assiste à simplement des vies qui se croisent sans s’arrêter. Parfois, vous allez vous stoppez net sur une personne, ce que je nomme les « âmes-soeurs » (j’en ferai prochainement un article) qui ne sont là que pour passer dans votre vie à un moment donné, pour vous inviter à avancer.

Être attentif aux autres, c’est ne pas rater ces rencontres, que dis-je, ces rendez-vous. Peu importe s’ils perdurent ou non, l’important est qu’ils existent pour chacun d’entre nous, régulièrement et que nous ne devons pas les louper.

Être attentif aux autres ne doit surtout pas empêcher d’être attentif à ce que nous sommes. Nous ne sommes pas là pour nous oublier totalement !

Et surtout, ne jamais oublier que tout ce que l’on donne de bien nous revient positivement ( sauf si on tombe sur des personnes refusant d’aimer !)

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