L’éloignement des réseaux sociaux
Depuis le début de l’année, j’ai restreint mon temps sur les réseaux sociaux et Internet. J’avais promis à certains un retour. Tout d’abord des économies, puisque j’ai pu changer mon forfait téléphonique et réduire à un abonnement avec peu d’Internet. Ensuite, une sérénité totale. Certains groupes sont anxiogènes, les membres s’affrontant dans des joutes verbales pas toujours sympathiques. Sans intérêt au final.
Du temps pour écrire plus, pour peindre plus, pour sortir …
Et l’impact sur mes ventes ? Et bien aucun impact négatif ! Je me limite à 30 minutes par jour ( Facebook et Instagram), suffisant pour échanger, et promouvoir mes livres. Mon dernier polar continue à bien se vendre, preuve en est, je viens d’envoyer un chèque à l’association des aidants A2mcl.
Que du positif donc ! Dans ces trente minutes, j’ai le temps de regarder les posts de mes amis, n’hésitant pas à aller directement sur leur profil deux fois par semaine à tour de rôle ( car les nouveaux algorithmes fb sont exclusivement publicitaires). Certes, parfois je suis un peu en retard pour lire un scoop, mais priorité à la vraie vie, aux projets qui se réalisent, au bonheur ! Même pour mes recherches littéraires, j’ai opté l’ancienne méthode, les bibliothèques où on rencontre des sourires ( même si c’est derrière des masques), un peu de chaleur humaine. Si une information s’avère trop pointue pour mon manuscrit, rassurez-vous, j’utilise Internet, mais pas que.
L’éloignement du virtuel n’a que des impacts positifs. S’éloigner ne veut pas dire non plus renier ou abandonner, juste réécrire le présent autrement.
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