L’enfer est pavé de bonnes intentions
Chose promis, chose due. Je m’étais engagée envers mon ami Claude, bien meilleur philosophe que moi, à analyser cette morale. Pour la petite anecdote, cette phrase est employée depuis le dix-neuvième siècle car elle se rapporte à une phrase célèbre prononcée par Saint-Bernard.
L’enfer est pavé de bonnes intentions. En soi, c’est bien compliqué de s’imaginer que nos intentions, souvent en lien avec nos intuitions puissent être une ouverture sur l’enfer, que les meilleures intentions puissent mener aux pires catastrophes.
Si ce que nous avons voulu faire, c’est une bonne chose, nous ne sommes pas responsables de ce qui va résulter de ces actes, même si le résultat sera catastrophique. Trop souvent, les gens sont convaincus que « l’erreur » fut faite volontairement, alors qu’il n’en est rien. Lorsque l’on agit avec bienveillance, c’est cette intention qui compte.
Doit-on donner un exemple de cet enfer pavé de bonnes intentions ?
Je pense à ces personnes « parfaites », qui se disent bienveillantes, qui vont agir avec un masque, et dont toutes les actions sont sournoises et vils.
Un excellent sujet de scénario, ne trouvez-vous pas ?
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