Doit-on tout accepter au nom de la science ?
On trouve de plus en plus de vidéos, livres ou de thèses scientifiques qui poussent les limites de la science, sachant que cette dernière ne peut tout expliquer. Le mystère de la mort, de l’univers, de notre passage sur la terre. Vouloir aller au-delà des limites dans un but de sauver les gens d’une maladie, s’avère un combat correct, mais jusqu’à quelle limite ?
On parle beaucoup actuellement de notre rôle de cobaye dans ce combat contre le covid, même si le terme de « cobaye » choque de nombreuses personnes, et pourtant, prenons un exemple qui parlera à tous, face à un virus inconnu, face à un vaccin récent, on reste des cobayes. Mais n’en sommes-nous depuis plus d’un siècle ? Des cobayes involontaires qui vont réagir aux fluctuations de la société, adaptation face aux ondes de la 4G, bientôt de la 5G, et je ne parlerai pas de tous les traitements dont certains laissent un goût amer dans la bouche comme le Médiator des laboratoires Serbier, le Distilbène, les vaccins H1N1 ( énorme « bide »), le Vioxx, la pilule Diane 35, le nouveau Levothyrox de Merck, et j’en passe ! Il fallait des cobayes vivant a expliqué le président des laboratoires Serbier, parce qu’effectivement, pour qu’un médicament, un vaccin soit efficace, il faut des années de recul, car certains effets secondaires, peuvent apparaître jusqu’à cinq ans après.
Alors, on revient à la question, pour avancer dans la science, faut-il tout accepter ? Je vous laisse y répondre !
NON ! Se souvenir de l’affaire du levo NF !