À mon papounet
26 ans. Déjà. L’impression que le temps a filé si vite t’emportant avec lui, toi mon petit papa, mon héros, mon mentor. Vois-tu de là-haut que j’essaie vainement de suivre tes traces en aquarelle, et que je me plante royalement ? Que j’ai aussi pris des chemins détournés pensant t’y croiser ? Je sais aujourd’hui, que tu ne reviendras pas, mais que tu continueras toujours à vivre au travers de mes enfants, de mes petits-enfants, un peu comme un fil rouge qui traversera le temps. Ah mon petit papa, ce 14 décembre 1995, comme je l’ai maudit, tout comme ton choix de ne pas te battre, de t’envoler vers l’infini.
Mon petit papa, je t’aime beaucoup plus que le soleil aimais-je dire petite, et pourtant je l’aime le soleil … toi, poète, artiste, photographe, peintre, toi qui savais faire vibrer l’énergie, garde moi au creux de ton âme jusqu’au jour où nos énergies se retrouveront.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.