( 14 mars, 2022 )

Ventre et thyroïde

Ah ce ventre, ce ventre ! Quand la thyroïde débloque, qu’est-ce qu’il trinque ! Tout comme le dos, on a coutume de dire que c’est la maladie du siècle ! Tout le monde a mal au dos, tout le monde a mal au ventre, seulement, au lieu de banaliser ce mal de ventre, il faudrait plutôt l’analyser, car il peut cacher un souci de thyroïde.

Prenons le cas d’une coloration de la peau qui donne bonne mine, style bronzage en plein hiver, d’une lenteur digestive, et d’autres symptômes associés. D’emblée un souci au foie se profile. Et pourtant, et si c’était la thyroïde qui ne faisait tout simplement plus son travail ?

On peut retrouver ces symptômes en cas de maladie auto-immune ( Hashimoto ou Basedow), d’ablation thyroïdienne ou d’un simple dérèglement suite à une grossesse, la ménopause ou autres facteurs déclencheurs. Bien sûr, on ne voit pas un médecin traitant pour juste un petit bobo au ventre, résultat peu de dysfonctionnements sont diagnostiqués à partir de ce seul symptôme.

Le système digestif pouvant être très perturbé, il est important de reconnaître le début de l’apparition des symptômes laissant pointer du doigt un retour d’une thyroïdite par exemple.

Une thyroïde qui ne fonctionne plus, qui fonctionne trop ou qui n’existe plus, peut amener de nombreux problèmes. Il semble important de souligner que chaque malade va réagir différemment, qu’il n’y a pas de règles comme l’énonce les livres médicaux, que l’on peut être par exemple constipé en hyperthyroïdie et à l’inverse avoir des diarrhées en hypo. Il faut donc rester extrêmement prudent.

La galère de nos boyaux qui marchent mal peut donner une possible constipation particulièrement en hypothyroïdie, des périodes de diarrhées, des douleurs abdominales, des désagréments comme des pets intempestifs, fort ennuyeux en société ! Quant au système digestif en entier, on pourra avoir une digestion ralentie, ainsi que le foie qui peut-être touché lors d’une forte hypothyroïdie.

Handicapant ? Très certainement, car comment se concentrer quand on a un ventre qui fait mal, qui gargouille ou une envie pressante d’aller aux toilettes. Comme notre société est encore bien coincée au niveau « pipi-caca », nombreux sont les malades qui nous disent vivre certains jours un enfer, sans oser en parler, de peur du regard des autres. Cela génère bien sûr du stress qui ne va qu’augmenter les soucis de thyroïde. Le chat qui se mord la queue.

Il est donc important de ne pas minimiser ces douleurs, d’oser en parler, de faire connaître cette maladie, peut-être pour simplement à un moment obtenir cette reconnaissance officielle tant attendue.

Que faire pour moins souffrir ?

Certains médecins préconisent de supprimer le gluten et le lactose. Malheureusement ce n’est pas une solution miracle. Cela fonctionne pour certains, mais pas pour tous les malades. Voir ces « régimes » échouer est terriblement anxiogène pour une personne en attente d’un mieux, il faut donc rester très prudent avec les «  sans » à cent pour cent. Nous avons tous des besoins différents selon notre vécu, nos origines, et il est stupide de toujours généraliser ! Ce qui va à une personne ne va pas nécessairement à une autre !

Ne pas non plus être obsédé par la thyroïde qui n’est pas la cause de tout. En cas d’épidémie de gastro-entérite, la thyroïde n’y est pour rien.

Alors comment faire la différence ? La durée, simplement la durée. Un ralentissement digestif qui s’étire sur plusieurs semaines associé à d’autres symptômes doit faire penser à un dérèglement thyroïdien. Alors peut-être effectivement avec un rééquilibrage des hormones thyroïdiennes, la personne pourra retrouver un semblant de normalité.

Il n’empêche que beaucoup de personnes entre autre Hashimoto ne pourront que rarement reprendre une alimentation riche en crèmes glacées souvent mal supportées, lait, crèmes fraîches, milkshake … L’intestin restera fragilisé et facilement irrité.

Le système digestif est un des symptômes récurrents des maladies thyroïdiennes et il faut s’y intéresser en cherchant ce qui est bon pour soi, quitte à tester des médecines douces qui parfois peuvent soulager  …

Bon courage amis papillons

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( 14 mars, 2022 )

N’avoir rien à prouver

Triste cette société où chacun se donne l’illusion d’avoir quelque chose à prouver aux autres, comme si c’était incontournable. Pourquoi ce besoin ? Peut-être tout simplement pour recevoir de l’attention, de l’admiration, voire pour se sentir aimé. Pathétique diriez-vous. Pas que, car de nombreuses personnes agissent ainsi, inconsciemment. Les gens se comparent aux autres pour un oui ou un non, le physique, le niveau d’études, les résultats, et pourquoi ? Pourquoi est-ce si important d’être mieux que le voisin, d’avoir une plus belle maison, plus d’argent, une vie plus belle, en apparence, pourquoi ? Un besoin d’avoir confiance en soi, ou simplement un besoin que l’on croit que l’on n’est pas si nul ou si pourri.

Rester soi est la clé, ne jamais vouloir prouver quelque chose. On est ce que l’on est. Parfois on se plante, c’est la vie, parfois on fait des erreurs, c’est aussi la vie, dans tous les cas, cela ne veut pas dire que l’on doit être meilleur, juste que ce fut une mauvaise passe, que l’on a fait de mauvais choix et qu’il reste plein d’autres choses à vivre.

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( 13 mars, 2022 )

Atelier naturopathie

Je ne peux que vous en parler, de ce super atelier que j’ai fait hier. Adepte des médecines douces, j’avoue que la naturopathie, je ne connaissais que de nom. Peut-être suis-je tombée sur une excellente intervenante, en tous les cas merci à elle.

Le thème était comment se maintenir  en bonne santé et même si comme tout un chacun j’en connaissais les principes, il est toujours bon d’avoir une piqûre de rappel.

La naturopathie cherche à comprendre pourquoi un corps fonctionne mal.

J’ai découvert l’existence des zones bleues, ces endroits dans le monde où les gens vivent longtemps sans aucune maladie, au Japon, à l’Ile de Icarie ( où un habitant sur trois a 90 ans)

Cela fait rêver ! Je n’ai pu m’empêcher de penser à ma petite maman et à cette maladie qui a détruit sa mémoire et son corps. Elle remplissait beaucoup de critères pourtant pour vivre longtemps : alimentation saine, bonne santé mentale et spirituelle, activité physique modérée et régulière, vie sociale et familiale. Pourquoi cela a-t-il beugué pour elle ? Certainement le stress notre plus grand ennemi !

Pour revenir à la naturopathie, elle s’axe sur des principes qui sont liés. Quand un seul se dérègle, tout le corps de dérègle.

  • Savoir se nourrir

On le sait, la pub nous le dit souvent à la télé et pourtant, on l’oublie vite !

Eau : élément indispensable ! Permet de transformer les nutriments. Il faut boire minimum un 1,5 litres par jour ( et dedans ne sont pas comptabilisés thé, café etc)

Graines: le cerveau contient 65% de gras tout comme les hormones ont besoin de gras.

Enlever complètement les graisses pour maigrir est une grave erreur. Là j’ai appris quelque chose, car lorsque ma thyroïde s’enflamme, je reprends automatiquement quelques kilos, et pour les perdre, je supprime en premier toutes les graisses. Je ne dois plus m’étonner si mes hormones thyroïdiennes fonctionnent ensuite encore plus mal. Il faut donc des graisses, mais pas des graisses cuites.( en clair pas de frites, pas de chips etc)

Omega 3/6/9 : indispensable à l’organisme.

L’omega 3 est un anti-inflammatoire. On voit souvent la publicité sans savoir son utilité.  Si on prend correctement des omegas 3 on limite les douleurs articulaires etc ( une grande nouvelle pour moi !)

Il faut donc quotidiennement alterner entre sardines ( même en boîte), maquereaux, huile de lin, de noix, de colza. Diversité sans abus bien sûr !

Les huiles Omega 3 se gardent au frigidaire où elles ne durcissent pas ( une cuillère à soupe par jour)

Omega 6/9 : importante également et on la trouve dans l’huile d’Olive. Améliore l’élasticité des muscles.

  • Les protéines :

Animales ou végétales.

Chaque jour, il faut impérativement des protéines.

  • Vitamines : indispensables vitamines C ( jus orange frais le matin), vitamine D ( en complément) et Zinc
  • Glucides : ne pas les supprimer totalement mais limiter l’overdose de sucre.

Rappel élémentaire : bien mâcher, manger au calme sans regarder la télévision par exemple, sans « discutions animées », choisir des aliments frais, veiller à son profil alimentaire.

  • Savoir bien dormir

Le sommeil est indispensable et permet au corps de se régénérer. Une nuit de 7 heures est préconisée et une sieste de 20 minutes.

En cas de souci à s’endormir, prendre des plantes de préférence comme la Valériane ou le CBD sans canabis bio.  En cas de stress, se masser le plexus ou les pieds avec quelques gouttes de HE de Lavande.

Toujours laisser ses problèmes à la porte de la chambre afin d’éviter les insomnies. Un moment de méditation est possible. HE de Basilique Sacrée peut aider.

Comme je l’ai souvent expliqué, l’intervenante nous a rappelé l’importance de la Cohérence Cardiaque.

  • La gestion du stress et des émotions

Un des piliers qui dérègle l’organisme en un claquement de doigt : le stress. Il faut donc apprendre à bien gérer ce stress. Tout comme je l’explique souvent, ce fut redit, se défaire des gens et des informations toxiques. Laisser derrière soi les souvenirs anxiogènes, avoir une vision du monde positive. Savoir parler en « je » et ne pas accuser en « tu », être dans l’amour et non dans la peur. Se reconnecter à la nature. Prendre du temps pour soi. Lâcher prise. Rire. S’intéresser aux autres et ne pas être centré sur soi. Profiter de la vie. Avoir des projets de vie.

 

Dans tous les cas, il est important de bien se recharger en énergie vitale afin que tous nos organes fonctionnent bien. C’est pour cela qu’il faut s’exposer à la lumière solaire même en hiver, bien respirer tous les jours en respirant.

Toujours maintenir un équilibre entre mental et physique. Et surtout AVOIR UNE JOIE DE VIVRE.

 

En conclusion, pour aller le mieux possible, il faut réussir à équilibrer le tout !

Même si on le sait tous au fond de nous, c’est toujours bon de le réentendre ! Car n’est-ce pas le souhait de tous de vivre le plus longtemps possible en pleine forme et heureux ?

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( 13 mars, 2022 )

Demain il sera trop tard …

Demain, il sera trop tard alors n’attends pas pour dire tout haut …

Ce que tu as sur le coeur, ce qui te fait du mal. Pourquoi avoir honte de ce que tu vis ? Parce que les méchants t’ont montrée du doigt ? Parce que tu as peur de ce que pensent les autres ? Mais que savent-ils, eux, de la réalité, bien enfoncés dans leur cocon ?

Demain, il sera trop tard. Ne te soucie pas de ce qu’ils peuvent dire, ils ne savent pas. Ils ne veulent pas savoir. Cela entacherait leurs certitudes.

Demain, il sera trop tard. Alors, vis, tout simplement ta vie, sans regarder en arrière, sans te soucier des autres, sans même penser aux autres. Vis sans se soucier du temps qui passe.

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( 12 mars, 2022 )

Une vie à attendre

Tant de personnes passent leur vie à attendre, attendre un amour qui ne vient pas, un travail, un espoir. Bien sûr, on ne peut vivre sans rêver, ce qui ne veut pas dire que l’on doit passer sa vie à attendre. Attendre, c’est cesser de vivre pleinement. Nous connaissons tous des personnes qui attendent que leur amant quitte sa femme, qui attendent de gagner au loto, qui attendent le travail de leurs rêves comme s’il allait tomber du ciel. Le pire est l’attente de l’autre, attendre un geste, un moment d’attention.

Passer une vie à attendre, c’est passer à côté de sa vie en vivant sans saveurs, sans épices. Personne ne contrôle le destin, ni son présent ni son futur ni les réactions des autres ni ce qui va arriver. Personne ne peut prédire l’avenir ( désolée, je ne crois pas à la voyance en tant que prédilection), mais surtout personne ne devrait cesser de vivre même pour un idéal.

Il ne faut pas vivre d’attente ! Simplement laisser la vie se poser tel un papillon sur nos rêves.

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( 11 mars, 2022 )

La peur, notre pire ennemi

La peur, on en a déjà longuement parlé lors de la pandémie, et voilà que le spectre de la guerre se dessine, celui des élections, une peur possible d’un avenir impossible. Vivre dans la peur, nous l’avons déjà dit, est nocif pour la santé. C’est comme si on avait sans cesse la gorge serrée. On frôle les murs sans savoir où on va. Parfois si cette peur prend le dessus, il ne faut pas hésiter à se faire aider. Nul ne doit vivre la peur au ventre. La peur est notre pire ennemie. Une fois que nous lui avons ouvert la porte, elle s’installe, se met à l’aise et refuse de nous quitter. Il faut surtout éviter de la laisser entrer. Ce n’est pas simple, mais il faut essayer. La peur peut détruire une vie bien plus que l’acte lui-même.

( 10 mars, 2022 )

Les vies antérieures

Une tendance spirituelle et psychologique tente de démontrer que nos blessures du présent seraient liées à nos vies antérieures. Comme tout, c’est une simple question de croyance même si l’idée n’est pas inintéressante. J’avoue ne pas être vraiment convaincue même si une thérapeute m’avait raconté des choses très étranges sur mes vies antérieures qui m’ont poussée à réfléchir. Par exemple, le fait d’avoir la sensation lorsque l’on rencontre une personne de l’avoir déjà rencontrée, je l’ai vécue. Pareil pour l’inverse, une antipathie immédiate pour certains individus, un dégoût au premier regard, comme si on s’était déjà trouvé dans cette situation. Ces deux émotions seraient une reconnaissance entre deux âmes ou deux énergies. Ces liens karmiques peuvent être une vraie bénédiction tout comme un vrai poison. Pour ceux que ce cheminement intéressent l’hypnose peut être bénéfique et libère de nombreux blocages. Le tout est d’y croire, bien sûr !

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( 9 mars, 2022 )

Le stress, cet ennemi

Notre vie moderne génère du stress. On est loin de vivre une vie bien tranquille. Tout le monde le sait. Tout le monde l’a compris, et pourtant ce stress continue à jouer sur l’organisme. Le stress n’est pas bon, mais pas bon du tout. D’abord, il fatigue. Beaucoup. Il épuise, jouant au passage sur le coeur, la tension cardiaque. Il joue également un rôle dans les maladies auto-immunes déclenchant des poussées. Il influe sur le poids faisant maigrir ou grossir, sur l’humeur pouvant conduire jusqu’à des crises d’anxiété voire une dépression. Le stress est pire qu’un virus, car il se faufile dans les moindres coins. Les enfants stressés peuvent développer des soucis de peau, de l’eczéma, des furoncles, de l’herpès, pareillement pour les adultes.

Il est donc impératif d’apprendre à bien gérer son stress même si c’est loin d’être facile. D’abord apprendre à reconnaître les débuts sans paniquer. Souvent ce sera l’estomac qui se noue, la gorge qui se coince, la respiration qui se bloque. La facilité serait de passer directement à des anxiolytiques dont la substance détend, mais il faut vraiment faire attention à l’addiction. Il faut apprendre à gérer son rythme cardiaque, sa respiration, faire baisser la tension du corps. Si c’est trop compliqué de réussir seul, ne pas hésiter à suivre une thérapie. Avec l’aide de médecines douces, le shiatu, l’homéopathie, le reiki, la sophrologie, peu importe, chaque personne peut trouver sa propre réponse. Dans tous les cas, le stress devra « sortir » du corps, un peu comme un poison qu’il faut extraire pour éviter qu’il s’infiltre partout. Apprendre à se reconnecter à la nature, marcher en se vidant la tête, trouver une occupation qui fait du bien. Tout faire pour terrasser ce stress, l’ennemi de notre santé et de notre bien-être.

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( 8 mars, 2022 )

Avis sur la quatrième feuille

La quatrième feuille de Christophe Royer

Taurnada édition

4/5

Merci à Joël et à Taurnada édition pour ce SP. Ce n’est pas le premier livre de cet auteur et j’étais impatiente de découvrir en avant-première ce roman.  Je dois avouer que le début m’a semblé traîner en longueur, lenteur extrême, on ne sait pas où on va.  Heureusement, je n’ai pas lâché le livre, ne le faites pas ! Le rythme va monter en crescendo jusqu’à un énorme rebondissement qui m’a laissée sur le flanc.

L’écriture est agréable, fluide, facile à lire, et l’histoire plutôt sympa, celle de trois amis de jeunesse au cours de plusieurs années.  La chute est savoureuse, alors n’hésitez pas, même si je le redis, je déplore un début qui aurait dû être plus soutenu.  Cela reste un très bon livre.

 

L’histoire :

Aujourd’hui, Sophie a tout pour être heureuse : un mari aimant, une famille attentionnée, une amie fidèle, un travail qu’elle adore et une belle maison sur les rives du lac d’Annecy.

Pourtant, à la veille de sa première exposition photo, plusieurs faits troublants vont faire ressurgir des événements tragiques de son passé…
Un flic détruit par sa première affaire, une bande de copines inséparables, un amour toxique…
Et si le cauchemar recommençait ?

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( 8 mars, 2022 )

Quels conseils donner aux auteurs d’un premier manuscrit ?

Régulièrement je reçois des manuscrits de jeunes auteurs qui osent se lancer dans l’aventure de l’écriture, et j’ai toujours les mêmes conseils. Tout d’abord apprendre la patience. Souvent ces nouvelles plumes pensent qu’un texte peut s’écrire en quelques semaines. Il n’en est rien. Un texte se travaille, se retravaille jusqu’à plus soif. Il est important de s’entourer de « mentors » comme j’aime à le dire, de personnes qui vont nous insuffler l’envie, le besoin de continuer. Tout au long d’une « carrière » d’auteur,  une plume va croiser beaucoup de mentors, car pour évoluer, il est important de varier.

Il est primordial de bien cerner le genre du manuscrit. Pour un premier roman, il est compliqué de mélanger les genres. Bien construire son synopsis, son contenu.

Ensuite, il faut vraiment se poser la question : pourquoi on veut publier un livre. Est-ce un désir profond ou un défi ?

Personnellement, j’ai toujours adoré écrire et je n’avais jamais songé à publier si des personnes ne m’avaient pas encouragée à me dépasser. Non que je ne croyais pas en moi, mais simplement cela ne me semblait pas réaliste. La vie m’a prouvé le contraire. J’ai toujours écrit pour le plaisir d’écrire, pour partager mes mots, mes idées. Je n’ai jamais pensé à l’argent, peut-être parce que j’avais déjà un travail, mais de nombreux jeunes écrivains espèrent vivre de leur plume. Je n’irai pas les décourager, car tout peut arriver.

Pareillement pour les avances de maisons d’édition qui font beaucoup rêver,  restez réaliste ! C’est rare de trouver un éditeur ( lorsque l’on écrit un premier roman) qui va faire un chèque d’à valoir ! Même les écrivains de renom ont actuellement des difficultés. Alors évitez de trop rêver ! Rares sont les auteurs qui sont riches !

Quel autre conseil donner ? Prendre le temps de se documenter et surtout ne pas bâcler un manuscrit.

Et surtout, avant de se lancer dans des recherches d’éditeurs, finaliser le livre, le faire corriger soit par un correcteur professionnel si on a les moyens, soit en investissant dans un logiciel comme Antidote. Trouver également des bétas lecteurs qui renifleront le terrain.

Une fois le texte enfin terminé, tout peut arriver, il suffit d’y croire. !

Mais surtout, surtout, ne jamais cesser de prendre du plaisir, sinon c’est inutile et ne pas prendre non plus le melon ! :) :) :)

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