( 30 juin, 2022 )

Ces libertés volées

Scandalisée de voir comment on a pu bafouer en un claquement de doigts les libertés des femmes aux états unis. Suppression de l’avortement ! On y est ! Cela bouillonnait dans la marmite intégriste, mais de là à passer le cap, je reste sans voix. Ce qui me révolte c’est que ce sont des hommes qui votent ces changements. Une impression d’être revenu un siècle en arrière ! Au nom de quoi ? De la préservation d’un embryon qui n’est même pas encore un fœtus ! À côté de cela, on va assister au retour en force des avortements clandestins avec les risques pour la santé que cela implique, sans parler que seront principalement touchés les classes les plus pauvres de la société, car mesdames les bourgeoises trouveront toujours un médecin qui leur fera passer cette « erreur ». J’ai toujours été pour l’avortement et pourtant, j’ai eu cinq enfants. Dire que c’est un meurtre me fait hurler de l’intérieur même si je laisse la liberté à ces personnes de le penser. Je ne leur enlève pas cette liberté.  Quand je lis que l’avortement est une fausse liberté pour la femme, je m’étrangle ! Encore un raisonnement purement masculin ! J’ai plusieurs amies qui ont subi un avortement en connaissance de cause. Tout leur fut expliqué, aussi bien le procédé employé que « les suites » de cet acte. Si elles font ce choix, c’est que la vie ne leur permet pas d’offrir à cet enfant une belle vie.
La menace de la suppression de l’avortement, pire de l’annulation de la contraception pendent aussi au nez des françaises. Les mêmes oppositions.  Ne laissons pas passer de telles lois. Jamais ! Laissons la génération future faire ses choix ! Et à tous d’être acteur de leur propre corps.

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( 29 juin, 2022 )

Violence psychologique

Pas facile de vivre après avoir subi une violence psychologique, car les coups ne se voient pas, personne ne peut donc compatir, personne ne peut soutenir. La victime ne peut que subir. Les mots sont des armes redoutables, ils frappent, s’infiltrent, tel un poison répandant son venin, détruisant ce qui était beau.
Les personnes victimes de violences psychologiques le savent. Face « aux mots », elles ne peuvent rien, sauf subir. Personne ne les croît. Souvent, « l’autre » va en jouer, manipuler, frapper, jouissant de voir sa marionnette à terre. Vivre après une violence psychologique nécessite une véritable force intérieure. Mais savoir sortir de cette victimisation, c’est au final faire un grand pied de nez au bourreau. Sombrer lui ferait trop plaisir. Vivre, continuer de vivre l’anéantirait ! Il n’y a pas de petites violences psychologiques et pourtant combien d’hommes ( car ce sont principalement ces messieurs) frappent avec des mots parce que leur ego est atteint. Combien de femmes se retrouvent brisées après avoir cru en un futur possible, combien de vies gâchées ?

Et malgré tout, survivre, encore et toujours …

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( 28 juin, 2022 )

L’intimité au sein d’un couple

Trop souvent, les gens mélangent le sexe et l’intimité. De nombreux couples vivent très harmonieusement sans sexe ou avec un dosage limité, tout simplement parce que l’amour est ailleurs, dans les profondeurs de la vraie intimité, celle du partage des sentiments, des émotions, de petits moments insignifiants. L’intimité, c’est simplement s’intéresser à l’autre, le connaître ou apprendre à la connaître, c’est anticiper ses rêves, ses envies. L’intimité, ce peut être simplement s’assoir au coin du feu ou prendre du temps autour d’un bon repas au resto, c’est partager le bonheur à l’état pur. Il ne faut jamais lâcher cette « intimité », car les fossés se creusent très vite, et les personnes n’arrivent plus à se retrouver ! Et là, c’est compliqué à reconstruire.  Après soyons francs, un zeste de sexe associé à l’intimité et on touche le Paradis ! Osez l’intimité dans son Ensemble, endormez-vous la main dans celle de votre compagnon, écoutez -le, faites en sorte que lui aussi vous écoute.  Formez un tout ! Il ne faut pas oublier que la meilleure façon de bien vivre, c’est de vivre tranquillement, en se respectant.

( 27 juin, 2022 )

Pas graves les dysfonctionnements thyroïdiens ?

Il n’y a pas un seul dysfonctionnement thyroïdien, il y en a de nombreux, parfois c’est même tellement compliqué à diagnostiquer que les médecins baissent les bras. Souvent, la fatigue intense est le premier signe, commun à tous les dysfonctionnements, mais pas que … On va trouver de nombreux dysfonctionnements suite à un accouchement ou durant une grossesse. Les médecins se doivent d’être particulièrement vigilants. L’hypothyroïdie si elle n’est pas traitée peut avoir de graves conséquences pour la mère en augmentant le risque de fausse-couche, d’hypertension et de pré-éclampsie et pour l’enfant à naître de retard du développement psychomoteur du nouveau-né. De même, un bon pourcentage de femmes en début de ménopause présentent des anomalies de la TSH. Un petit dérèglement ne va pas nécessiter de traitement à vie.

On trouve également des dysfonctionnements thyroïdiens lorsque la personne développe une maladie auto-immune. La thyroïde d’Hashimoto, la plus fréquente, est une inflammation auto-immune de la thyroïde, inflammation au cours de laquelle l’organisme attaque les cellules de la thyroïde. Cette maladie est irréversible et le traitement sera à vie.

Nous aurons également la maladie de Basedow, autre maladie auto-immune qui souvent se manifeste par une hyperthyroïdie et souvent une ophtalmopathie. Beaucoup de Basedow « guérissent » même si le facteur auto-immune reste présent.

On trouve également les hypothyroïdies frustes qui n’ont aucun gros impact sur l’analyse sanguine et donc qui sont très complexes à diagnostiquer et soigner. Selon les médecins, un traitement sera prescrit ou non.

Et puis on aura aussi des problèmes de nodules sans aucune atteinte du fonctionnement, des cancers qui vont nécessiter une ablation partielle ou totale. On aura également la thyroïdite de De Quervain, un virus à l’origine d’une hyperthyroïdie.

Alors pas grave un dysfonctionnement de la thyroïde qu’ils disent ? Il faut cesser de jouer la politique de l’autruche. Ce n’est peut-être pas majoritairement mortel, mais c’est une véritable plaie. Prenons l’hyperthyroïdie, par exemple, l’organisme s’accélère, va trop vite et peut mettre en danger la personne. Il faut tout de même savoir qu’une hyperthyroïdie débutante peut passer inaperçue, sans gros symptômes, juste avec un état de surexcitation. Souvent dans ce cas, l’hyperthyroïdie va devancer l’hyperthyroïdie. La personne sera alors juste dans « les normes »n mais basses. Des signes vont apparaître. Mais vu que la prise de sang sera « correcte », il n’y aura aucune inquiétude, sauf que ces hormones qui se déversent trop, vont accélérer entre autre le rythme cardiaque, pouvant poser des difficultés à s’endormir, de l’irritabilité. Avec le temps, l’hyperthyroïdie se verra sur les analyses, mais en attendant, bien des dégâts seront faits. Dans ce cas, il faut vraiment agir, car une hyperthyroïdie peut être liée à la présence de nodules qui dérèglent tout, et certains peuvent être toxiques. À l’inverse, dans le cas d’une hypothyroïdie de longue date non traitée, l’évolution vers une forme sévère et grave de la maladie, appelée myxœdème, dans un stade ultime, pourra entraîner une perte de connaissance ou un coma (coma myxœdémateux) menaçant la vie. De nos jours, la prise en charge des maladies thyroïdiennes est insuffisante. Reprenons les symptômes de l’hypothyroïdie tels que l’on arrête les instances de l’HAS.« Les symptômes de l’hypothyroïdie sont variables et peu spécifiques pris isolément. La fatigue est présente chez la majorité des personnes atteintes, souvent intense et persistante ; elle peut s’accompagner de somnolence, de troubles de la concentration et de la mémoire ainsi que de manifestations dépressives. D’autres symptômes sont évocateurs comme une atteinte des phanères (peau sèche et froide, ongles fragiles, cheveux secs et cassants, dépilation), une frilosité ou une constipation d’apparition récente, une voix devenue plus rauque, une baisse de l’acuité auditive, des crampes ou des fourmillements, une sensation de gonflement ainsi que des douleurs notamment musculaires. Une prise de poids est possible, souvent modérée et contraste avec une perte d’appétit. »D’où la difficulté … « L’hypothyroïdie est une pathologie où rien n’est blanc ou noir, ni la clinique ni la biologie, c’est une gamme de gris. Le dialogue avec le patient est capital, car si le traitement est modifié, il pourra en ressentir les effets avant même que son taux de TSH ne varie. »  N’oublions pas non plus les problèmes liés à une exposition à la radioactivité. La thyroïde fixe de l’iode pour fonctionner, mais lorsque cet iode est radioactif, il détruit les cellules de la thyroïde qui fabriquent les hormones, entraînant une hypothyroïdie. L’iode radioactif peut être libéré lors d’un accident nucléaire, comme Tchernobyl ou plus récemment Fukushima.

Compliquée cette thyroïde ! Compliqué de la soigner ! D’où l’importance d’une extrême vigilance des soignants et des malades. Ne rien lâcher ! Une reconnaissance de la maladie est nécessaire !
Ensemble et unis, les papillons !

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( 27 juin, 2022 )

Être une personne entière

Trop entier, pas assez, difficile d’être dans un juste milieu. Souvent, nous admirons ces personnes entières qui sont à fond dans leur vie, sans barrière, sans honte, sans limites. Ces femmes ou ces hommes qui osent parler fort, qui vont s’interposer lors d’une altercation, qui iront jusqu’à dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

Pour moi, ce sont « des grandes gueules » et non des personnes entières.  Ces dernières, je les mets plutôt dans la case « personnes vraies », qui ne mettent pas de masques, souvent sensibles. Une personne entière est pour moi une personne qui aime sans réserve, d’un amour inconditionnel. En amitié ce sera la même chose. Elle « est ».  Malheureusement, trop de personnes entières se retrouvent blessées, car c’est difficile dans notre société hypocrite d’être ce que l’on est vraiment. Et c’est dommage …

 

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( 26 juin, 2022 )

Le regard des autres

Ah le regard des autres, terrible ! Ce regard qui fait honte, ce regard qui nous plonge au fond du trou. Que l’on ait quinze ou cinquante ans, la peur du regard des autres est bien présente. Ce regard est blessant, douloureux, car on le ressent comme une attaque, comme une dévalorisation. Ce regard nous met dans une situation inconfortable, voire angoissante. Ce peut-être lors d’une réunion où nous ne connaissons personne. La panique s’installe. La peur s’invite. Il faut combattre cette anxiété.

C’est un chemin difficile, mais il faut rester bienveillant envers soi. Nous devons être ceux qui nous aimons le plus et surtout ne rien attendre des autres. Nous avons tous besoin de considération, d’attention, mais si on réfléchit bien, on n’a nul besoin de celles des autres.  Nous devons savoir ce que nous valons. Nous ne devons jamais oublier que nous ne devons pas nous laisser atteindre par ce que les autres pensent de nous.

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( 25 juin, 2022 )

Il faut oser, oser oser !

Trop souvent, nous n’osons pas. Nous hésitons face à une situation ou une décision, nous traînons les pieds, nous faisons marche-arrière. Nous avons cette peur qui est là, qui nous bloque. Nous avons peur de l’échec, de nous tromper, d’échouer. Encore une fois, ce sentiment est bien ancré depuis notre enfance, lié à notre éducation. Et pourtant, si on y réfléchit bien, qu’a-t-on vraiment à perdre ? Que peut-il nous arriver si « on ose » ?

Oser, c’est important, c’est aller jusqu’au bout, toujours plus loin. Oser, nous donne l’envie d’avoir envie, la persévérance, et surtout au final, confiance en nous. Oser, c’est reprendre notre vie en main et c’est vraiment important !

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( 24 juin, 2022 )

Réussite et bonheur

Pour moi, il faut être heureux pour réussir et cette finalité sera alors une immense satisfaction. Autant la réussite ne fait pas nécessairement le bonheur, autant quelqu’un de négatif ne pourra pas jouir pleinement de sa réussite. Que faire alors pour réussir quand tout semble s’écrouler ? S’abreuver de pensées positives même si parfois cela peut faire plus de mal que de bien. Faire du sport, peu importe lequel pour se vider la tête, pour éviter de penser à un possible échec. Et surtout ne pas regarder les côtés sombres où notre cerveau nous emporte.

Pour réussir, il faut impérativement se dire que rien n’est impossible, et cette seule pensée rend heureux ! Bien plus parfois que la simple réussite …

( 23 juin, 2022 )

Ces problèmes qui nous prennent la tête

On a beau se faire violence, lorsque le plus petit problème survient, nos pensées tournent en boucle, focalisées sur le problème. Quoique l’on fasse, nos pensées nous prennent la tête ! Il semblerait que l’on appelle cela « les ruminations mentales. » car ce sont de vraies ruminations que l’on rabâche sans cesse, qui ne veulent pas nous laisser. C’est épuisant, usant, et cela rend bien malheureux. Ce serait, scientifiquement parlant, une sensibilité exacerbée qui empêcherait l’individu de vraiment penser. Car la rumination empêche de penser. La peur de ce que nous pensons, la peur de ce qui pourraient arriver si … Alors que le problème est rarement un problème, c’est la façon dont nous l’interprétons qui est le véritable problème.

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( 22 juin, 2022 )

Ces bourreaux de travail

Ah ! Ces bourreaux du travail ! Comme ils sont fiers de rester tard le soir, d’être dérangés le week-end. Pour eux, c’est comme un trophée magnifique. Et pourtant, savent-ils qu’ils passent à côté de l’essentiel ? Ces bourreaux de travail n’ont plus de vie privée, plus de rêves non plus. Ils n’ont simplement plus de temps. Vous savez, c’est l’employé modèle qui va tout faire pour plaire au patron, travaillant jusqu’à l’épuisement, sans pour autant attendre le plus petit merci. On pourrait les plaindre, c’est même ce qu’ils attendent en disant régulièrement qu’ils n’en peuvent plus, qu’ils sont fatigués, qu’ils ont trop de travail, tout en commentant avec ambivalence leur heure supplémentaire, avec une pointe d’orgueil. Des études ont montré que ces bourreaux du travail étaient simplement devenus addict. Tout comme l’alcool, les calmants, le travail à outrance est une addiction, là pour combler un manque, un besoin. Ne jamais oublier que vivre le présent, ce n’est pas vivre que pour le travail !
Il y a tant à vivre …

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