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( 31 juillet, 2022 )

Plaisir de bien manger

Comme je plains ceux qui n’aiment pas « bien manger ».  C’était le cas de ma petite maman qui détestait en dehors des desserts les repas et bien manger. Moi, j’adore cela. Vous allez me dire que cela se voit, car ma silhouette n’est pas filiforme. Mais ce plaisir de la table, je n’ai aucune envie de le laisser. Curieusement, je n’ai pas toujours aimé manger, ayant découvert ce plaisir avec mon Chéri qui lui aussi aime « la bonne bouffe ».  (. Son tour de taille en est également la preuve). J’ai appris à savourer chaque repas comme si c’était une fête. Bien manger me réconforte, me fait du bien. Bien manger ne veut pas dire se goinfrer. Je me contente d’un plat et d’un dessert, mais je choisis ce que j’aime, ce qui me plaît. J’adore aller au resto, mais comme tout un chacun, je suis limitée par mes finances, mais cela reste un vrai plaisir que je partage souvent avec mon homme ou des amies. Y’a pas à dire ! Qu’est-ce que c’est bon de bien manger !

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( 30 juillet, 2022 )

Pourquoi j’ai craqué pour l’aquaBike ?

Faire du sport passé la cinquantaine semble toujours incongru pour la jeunesse qui pense que cette tranche d’âge ne pratique que le yoga. Moi, je n’aime pas trop le yoga ou plutôt c’est le yoga qui ne m’aime pas. J’ai essayé et je reste lamentablement « coincée » après une séance. Comme vous le savez je marche beaucoup, mais j’avais besoin de cours collectif. La gymnastique de mémère n’étant pas pour moi, une copine m’a orientée vers des cours Aqua, Bike et Aquagym, et là ce fut la révélation ! Pas de douleurs lors de la pratique ( vive l’eau !) et un bien-être en sortant ( j’ai dormi comme un bébé !)

Pour les indécis, les bienfaits sont nombreux. D’abord ce sport fait travailler le cardio au niveau de l’endurance. C’est également excellent pour la circulation du sang avec un effet similaire à des drainages lymphatiques. L’aquabike est également très bon pour les articulations, car contrairement à la gym, l’eau ne crée ni douleur ni lésion. Et puis pour les adeptes du poids, c’est un sport qui permet de perdre des kilos. Sur ce dernier point, on se donne rendez-vous dans six mois ! Associé à l’aquagym, on assiste à un sport complet sans brutalité.

Je n’ai pas d’actions dans les salles d’AquaBike, mais j’ai eu un tel coup de coeur que je voulais vous faire partager mon expérience. En clair, foncez !

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( 29 juillet, 2022 )

Mon investissement face à la MCL

Pas si facile d’être passeur de vérité, de vouloir dire ce qui est, de faire connaître ce que fut « sa » souffrance. Lorsque j’ai écrit le livre « Elle s’appelait Simonne », j’avais fait cette promesse à ma petite maman. J’espèrerais vraiment que son chemin dans cette maladie bien pourrie ait un sens, parce que pour moi, il n’y en avait pas ! Rien n’en a eu tout au long de cette maladie. Je voulais, elle voulait qu’il en existe un. Les mots furent difficiles à sortir, mais ils ont jailli, comme si la douleur pouvait éclabousser le monde afin d’éveiller les consciences. Durant ces trois ans, j’ai reçu des dizaines de messages de lecteurs me remerciant d’avoir posé les mots sur une souffrance qui était la même pour eux ou leurs malades.

Je me suis par ailleurs heurtée à l’inertie des associations qui n’ont pas joué le jeu. Un peu de communication n’aurait pas fait de mal à ce recueil, mais bon, les gens sont ainsi. Je me suis beaucoup investie « dans l’ombre » laissant la lumière à ceux qui en ont besoin.  L’important n’est-il pas au final que cette aide, si modeste soit-elle ait pu en soulager certains ?

Tristement, je dois bien le dire, je continue à naviguer sur les groupes et témoignages sur les réseaux sociaux dans l’espoir secret un jour de voir une lumière d’espoir, d‘apprendre que cette maladie ne serait plus incurable, qu’une porte existe et que ce n’est pas celle de la fin.

Alors je reste, dans l’ombre. Je réponds à ceux qui m’écrivent, je pense à ceux qui ont participé au recueil dont le conjoint ou la compagne sont maintenant partis. Je pense à ma maman qui n’est plus et même si parfois c’est pesant, car la maladie reste un fardeau, j’espère que du haut du firmament, elle se réjouit. J’ai écrit pour elle, sa maladie, pour vous, ceux qui avaient besoin d’entendre, alors continuez à écouter ce qu’elle avait à vous dire …

Merci à tous !

 

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( 28 juillet, 2022 )

Cet attachement nocif au passé

Certaines personnes ont la fâcheuse tendance à ne vivre que dans le passé, ruminant une haine souvent injustifiée ou à l’inverse fantasmant sur des ex qui pourtant ne subissaient pas leurs éloges lorsqu’ils étaient ensemble. Je les appelle les «  jamais contents ! » Ils sont épuisants pour les autres. Ils réalisent complètement le dicton :  « L’herbe est plus verte ailleurs ! » Ils ont dans leur lit une femme ou un homme qu’ils disent aimer et pourtant ils vont s’empresser dès que cette dernière a le dos tourné d’aller téléphoner à leurs anciens coups de cœur ou simplement remplir leur téléphone de photos de leur ancienne compagne qu’ils disaient détester. ( je mets au masculin car cela semble plus courant chez les hommes même si certaines femmes y sont sujettes) Autant pour un roman cela fait des personnages haut en couleur, autant dans la réalité je m’interroge sur de telles attitudes. Quel besoin de s’attarder ainsi sur le passé ? Peut-être est-ce un moyen de rester celui ou celle que nous étions plus jeunes ?  Une chose est sûre, chaque expérience que nous avons pu vivre, que nous avons subi même en serrant les dents a fait de nous ce que nous sommes. Ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il faut s’arrêter sur le passé, car comme vous le savez, pour moi seul l’Instant est important. Ne nous encombrons pas la route ! Elle est bien assez cahoteuse !

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( 27 juillet, 2022 )

Basedow et compagnie

L’été, c’est le bon moment pour se mobiliser, pour se regrouper, pour continuer le combat pour la reconnaissance de TOUTES les pathologies thyroïdiennes. L’association l’envol du papillon se bat depuis des années et continue en proposant cette fois les témoignages de deux personnes atteintes de Basedow et de cancer de la thyroïde. Nous rappelons que pour Hashimoto, le livre « Maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie » est toujours en vente.

Plus de personnes connaîtront les handicaps, car ce sont des handicaps, le mot n’est pas trop fort, liés à cette maladie, plus nous aurons du pouvoir pour convaincre !

Alors, comme disait le grand Coluche : on compte sur vous !

 

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( 27 juillet, 2022 )

Écrire toujours et encore …

Écrire est souvent thérapeutique, même si c’est loin d’être facile de poser ses émotions sur le papier. Tout le monde peut le faire, mais tout le monde n’en a pas le courage. Il y a même ceux qui ne comprennent pas ou qui ne veulent pas comprendre. Les bons médecins vont inviter leurs patients à se libérer de leurs angoisses en écrivant, peu importe si l’écriture est incertaine. D’autres toubibs suffisants, eux, vont critiquer cette démarche la jugeant « folle ». Je crois au pouvoir de l’écrit, j’y ai toujours cru. Je pense qu’écrire, c’est vraiment sortir de soi, c’est poser ses souffrances pour ensuite se libérer de l’oubli, de sa propre douleur. Écrire permet la résilience, permet d’avancer pour un jour pouvoir écrire pour les autres, des histoires qui ne seront que des histoires …  J’ai surfé par toutes ces routes avec ce besoin de dire ce que nul ne voulait crier, ces causes perdues qui devaient remonter à la surface, ces injustices oubliées.  Des mots sortis des marécages ont jailli. Des livres sont nés, imaginaires, parfois avec des intrigues bien tortueuses, peu importe, les mots ont un tel pouvoir, celui de permettre une renaissance à chaque fois, une façon en sortant de son corps de se reconnecter à son « moi ». Qu’elles s’appellent Nadia, Camille, Carla, Adelyse ou Victoire, ce sont toutes des femmes d’aujourd’hui, des survivantes, mes héroïnes.

Actuellement je danse chaque jour sur le fil des émotions avec ma Victoire dont le second opus se dessine au travers d’une intrigue encore haletante et j’aime vraiment ces moments de pure création.  Écrire fut thérapeutique, maintenant écrire est juste une passion, un moment où je me retrouve avec « elles et eux », mes personnages, mon univers imaginaire créé pour vous, mes fidèles lecteurs.

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( 26 juillet, 2022 )

Danser sur le fil de la vie

Il n’existe aucune méthode pour apprendre à vivre, même s’il y a de nombreux livres sur le sujet. Pourtant dès notre naissance, nous avançons sur le livre de la vie, en équilibre, trébuchant parfois, mais toujours en nous relevant. Notre vie est souvent un parcours du combattant, mais nous sommes tous des Warriors, des survivants. Nous rêvons tous d’une vie merveilleuse, sans obstacles, sans embûches, mais ce n’est qu’un simple rêve, car la réalité, ce sont ces marches que nous allons gravir jour après jour, parfois en serrant les dents, parfois la peur au ventre. Danser sur le fil de la vie, c’est vibrer au son des musiques que notre coeur crie, c’est chanter à pleine voix, même si on chante faux. Jusqu’à notre dernier souffle, nous devons danser sur ce fil même si l’avenir est sombre, même si la peur nous cloue au sol. Danser, toujours danser, et surtout ne jamais s’arrêter.

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( 25 juillet, 2022 )

Les souvenirs

Chaque année, après avoir pris un an, c’est un peu la claque des souvenirs qui remontent …

images d’hier se rappellent à ma mémoire. Des bougies soufflées lorsque nous en avions moins sur le gâteau que sur les doigts d’une main, celles soufflées en présence de nos disparus, celles que des larmes noyaient … tant de bougies déjà, bien plus qu’il ne nous reste d’années à vivre. Les souvenirs peuvent être aussi bien un soulagement qu’une douleur. Les souvenirs restent gravés dans notre mémoire comme des images, comme si notre cerveau les avait stockées. Même si cela fait mal, il ne faut pas endiguer le flot de souvenirs qui s’invitent lorsque nous tournons les pages de notre vie, et surtout plutôt que déprimer sur le temps qui passe, il faut s’attacher au temps qui nous reste afin de nous permettre de créer de nouveaux souvenirs. N’empêche que le retour des vacances s’avère toujours un peu difficile, alors je vais plonger dans ces souvenirs puis faire un saut hors de l’eau vers le soleil et la vie !

( 24 juillet, 2022 )

La sérénité

La sérénité se trouve dans la paix et est primordiale. Il faut la cultiver. Nous vivons tous avec notre « petit enfant intérieur » comme disent les psychologues, et cette paix doit être  en chacun de nous. Définir ses priorités, ses choix, ceux qui nous feront du bien, qui nous permettront d’avancer le sourire aux lèvres. Cela signifie également prendre de la distance avec les personnes agressives, aigries ou négatives.  Personnellement, même avec des ami-e-s que j’apprécie, si je ressens une tension de négativisme, je m’éloigne pour un temps. Longtemps, je fus une éponge émotionnelle, absorbant, jusqu’à ne plus y arriver.  Lorsque l’on a touché ses limites, on sait. Cette sérénité nécessite parfois que l’on se batte pour elle, parce qu’elle est souvent incomprise par les autres, particulièrement par « les vampires émotionnels » et passe surtout par une seule route, celle de vivre correctement son présent, sans regarder derrière soi. Parfois, nous passons par des épreuves difficiles, complexes, qui nous laissent des  blessures ouvertes, sans regarder en arrière ce qui n’apporte jamais rien de bon.

Ressentir dans son conscient serait peut-être une des clés de cette sérénité.

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( 23 juillet, 2022 )

Littérature jeunesse

Lorsque je passe dans une librairie ou des grandes enseignes comme la Fnac ou Cultura, je fais toujours un détour par le rayon jeunesse. Déformation professionnelle disent certains. Peut-être, mais pas que … Feuilleter un album pour enfants est un vrai plaisir, tout comme lire des romans-jeunesse. Ma passion s’est renforcée lorsqu’il y a quelques années, j’ai reçu la grande écrivaine Odile Weurlesse dans ma classe. Cette femme bienveillante, pleine de bonté, avait fasciné les élèves, et c’est ce jour-là où je me suis dit : « Un jour, j’écrirai « pour de vrai » … ». Quelques temps plus tard, certains se sont attribués mon envol vers l’édition, alors que c’est à cette adorable dame que je dois d’avoir osé.

Vous avez des enfants entre 7 et 11 ans et vous n’avez jamais lu un de ses livres. Foncez, pour n’en choisir qu’un : « la momie bavarde ».

Trop de parents achètent des mangas ou des BD. Je ne critique nullement. Ce sont des lecteurs, mais donner envie à un enfant de découvrir de belles phrases, ce n’est pas mal non plus !

En ce qui me concerne, je me suis promis cette année-là d’écrire un jour pour de jeunes ados. Je m’y engage ! Il me faut juste laisser ma paresse de côté !

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