Rougepolar

J’ai eu le privilège hier de participer à une séance de coaching sur le jugement, passionnante avec une professionnelle géniale dans le cadre d’un atelier dans ma ville. Nous aurions dû être 5. J’étais seule.  Pour 5€, j’ai eu un atelier de 1h30 fantastique avec un coach qui exerce à Orsay en privé ( si cela intéresse certaines, je donne ses coordonnées en privé). Elle est vraiment très très bonne, bien au-delà d’une simple psy ! Un bon moment Je vous livre un petit extrait de ces discussions.
Un thème intéressant, car le jugement, nous devons tous y faire face un jour ou l’autre. Il est donc nécessaire de bien choisir l’impact que les autres ont sur nous et surtout lâcher prise sur ce que l’on ne peut maîtriser. Des piqûres de rappel extrêmement positives même si on les a déjà entendues.
Trop souvent, le jugement est le nôtre et on se juge bien plus durement que les autres ( hormis les cas pathologiques). Maîtriser le jugement des autres permet de limiter les effets produits, le stress, la peur, la honte. On craint pour notre image. Je dois donc m’interroger sur qui je suis, quelles sont mes forces.
Il faut comprendre que les gens qui jugent sont des personnes jalouses. Il ne faut pas donc jamais chercher à se justifier et surtout toujours se dire que la vie est faite pour être heureux.
Il ne faut pas oublier que nous nous heurtons aux croyances limitantes, celles de l’enfance. Ces croyances ne sont pas forcément vraies, On va inéluctablement rencontrer des situations en grandissant qui ne nous appartiennent pas, qui ne sont pas les nôtres, où nos actes seront alors critiqués et pourtant, il est impératif de devoir s’en détacher, car on va soi-même se forger des croyances différentes.
Il faudra toujours se dire que lorsqu’un acte, une pensée, un jugement est bienveillant, cela va aboutir.
Lorsque ce dernier est malveillant, cela ne peut aboutir.
Les relations toxiques quant à elles représentent le mal, donc à fuir. Il n’y a aucune issue. Il faut couper court.
Le regard sur l’autre doit toujours être bienveillant, positif. On ne lance pas une remarque ou une réflexion si elle ne peut-être constructive. L’échec n’existe pas. On essaie toujours simplement des choses. Se poser donc régulièrement la question essentielle : « On a besoin de quoi ? »
À cela, répondre : « Je n’ai pas besoin des autres pour savoir qui je suis, et ce que je veux, en clair ce qui est bon pour moi. »