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( 21 octobre, 2022 )

La fatigue des aidants

On n’en parlera jamais assez de ces aidants de l’ombre, ceux qui vont accompagner aussi bien un enfant malade ou handicapé qu’une personne malade ou âgée. Durant fort longtemps, on ne s’est nullement occupé de ces aidants de l’ombre, ne se souciant pas des problèmes financiers que cela pourrait occasionner tout comme les soucis d’ordre psychologique. J’ai été au côté de mon fils atteint d’un cancer durant un an, me retrouvant obligée de travailler à mi-temps, sans aucune compensation financière, sans personne pour me tenir la main. J’ai survécu. Pas lui. Lorsque ma petite maman est tombée malade, j’ai serré les dents, car rien n’est pire que de devenir la mère de sa propre mère. J’ai palié au plus pressé, à ce qui pouvait être fait, sans aucune aide extérieure avec juste l’intention d’être là. Seulement être aidant reste un acte dénué d’obligation, un peu un don gratuit de soi, un monde où on se perd, où on finit par perdre son identité. Je suis devenue « la fille de la mère atteinte de la maladie à corps de lewy. » Une maladie contre laquelle je ne pouvais rien. Une maladie frustrante, angoissante, phagocytante. Nul ne peut comprendre le vécu d’un aidant sans l’avoir lui-même vécu cette situation. La fatigue d’un aidant est terrible, même si ce dernier finit par placer le malade. Dans une maladie comme le corps de Lewy, l’aidant peut se perdre, s’oublier au profit du malade, mais en aucun cas, il ne doit disparaître. Rendons leur  hommage, eux qui sont le pilier de notre médecine moderne. Car que serait notre système de santé en déclin sans cette aide précieuse, ces regards bienveillants sur la maladie, ces hommes et ces femmes qui qui prolongeront la mémoire du malade le jour où ce dernier sera parti pour l’éternité ?

 

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( 20 octobre, 2022 )

L’âge est rarement gentil avec nous

On a beau dire, un jour on se réveille, et on ne peut que constater que la vie ne nous a pas fait de cadeaux. Cette peau belle, lisse, ferme, est devenue flasque, et ceci malgré les crèmes miraculeuses et hors de prix que l’on s’est évertué à acheter. Les petites rides si charmantes au demeurant sont devenues plus marquées, des poches sous les yeux se sont formées. Dois-je également parler des kilos en trop ou en manque que le temps a forgé. J’ai toujours trouvé cela amusant cette caractéristique qui classe les femmes d’âge mûr en deux catégories : les rondes ou les maigres, et cela malgré un bon entretien de la silhouette.  Ah non ! Homme ou femme, pauvres humains que nous sommes, l’âge n’est vraiment pas sympa ! Demandez à ces messieurs qui à partir de la soixantaine vont avoir bien du mal à utiliser Popol toute une nuit, à cette femme qui pleure sur sa jeunesse, sur ces enfants qu’elle n’a jamais pu avoir. À cette autre qui voudrait encore pouvoir courir comme lorsqu’elle avait vingt ans.  Oh que oui, l’âge n’est vraiment pas gentil ! Il nous rappelle sans cesse que nous ne sommes pas immortels.

Alors oui, l’âge n’épargnera personne, et même si certains vous diront que ce n’est qu’un concept, il est bien réel, bien ancré en chacun de nous, comme une fatalité. Alors plutôt que laisser les miroirs nous pourrir la vie, vivons simplement un jour après l’autre, cela ne changera rien à l’âge, mais cela évitera à chacun d’en souffrir.

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( 19 octobre, 2022 )

Il faut prendre le temps d’être heureux

Nous vivons dans une société difficile, compliquée, une société où on a parfois l’impression que l’on s’interdit d’être heureux. À l’inverse, la quête du bonheur est telle que de nombreuses personnes sont prêts à brûler les étapes pour atteindre le Saint Graal. Être heureux est bien plus qu’un simple état d’âme, c’est un air de vivre. Être heureux, cela s’apprend. Il faut accepter le droit d’être heureux.  Il ne faut pas fuir en pensant que l’on ne le mérite pas, que l’on n’en a pas le droit. Chaque humain sur cette terre mérite le bonheur, chaque individu. Il faut donc prendre le temps d’être heureux et surtout accepter ce bonheur les bras grands ouverts ! Alors un pas après l’autre …

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( 18 octobre, 2022 )

Il était une fois la guerre par Estelle Tharreau

Coup de coeur

Quelle magnifique couverture !  L’histoire est celle de Sébastien Braqui, soldat dans l’âme, engagé dans une guerre dans le Shonga. Il va vivre pendant des années les horreurs de la guerre, parce que la guerre, ce n’est vraiment pas une partie de plaisir. Sa mission va prendre fin après dix-sept ans de bons et loyaux services. Retour violent dans une société qui n’applaudit plus ses militaires. La guerre n’est plus comprise, même celle contre les terroristes. Seul verdict, ils ont échoué. Difficile à accepter pour des hommes qui ont vu le pire. Le retour est difficile. Sa femme l’a quitté, sa fille ne veut plus le voir. Personne ne le comprend. Personne ne veut le comprendre. Un reporter que Sébastien a rencontré au Shonga va changer la donne.  Trop tard ? Pour le savoir, il faut impérativement lire ce superbe livre à l’écriture ferme et bien posée. J’ai particulièrement aimé les contrastes bien étudiés entre la vie au Shonga et ses atrocités et le réel. Beaucoup d’émotions ! Un roman incontournable.

Je remercie les éditions Taurnada et Joël pour leur confiance renouvelée pour cet ouvrage qui va rester marqué dans ma mémoire. Bravo à l’auteure pour ce roman de qualité !

Vous l’avez compris, foncez les yeux fermés !

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( 18 octobre, 2022 )

Devenir chroniqueuse, un métier ?

Nul besoin d’études pour devenir chroniqueuse de nos jours, mais pour en faire vraiment son métier, il faut un petit plus, devenir influenceur en clair, être connu, ou reconnu. Il est vrai que certaines Instagrameuses ou Youtubeuses font rêver et que passer ses journées à lire s’avère plutôt agréable.  Pour ces dernières, les célèbres, cela ne se compte pas en quelques euros, mais en millions d’euros. Mais une poignée seulement réussissent. Pour les autres, devenir chroniqueuse, c’est se faire un nom en publiant des chroniques sur Instagram, sur Babelio, ou sur Amazon. Le tout est d’obtenir le maximum de services presse, de livres, en passant directement par l’auteur, ou en contactant les maisons d’édition. L’inverse est également vrai lorsque l’on commence à se faire un nom en particulier sur Babelio où on peut être repéré par la Masse Critique.
Mais de là à en faire un métier, il faut, je pense, garder les pieds sur Terre. Les élus se comptent sur les doigts d’une main.
Personnellement, j’apprécie de plus en plus de faire des petites chroniques via des services presse, pour plusieurs raisons : parce que j’aime lire, parce que je découvre des romans que je n’aurais jamais choisi sinon, parce que cela m’ouvre à d’autres univers, parce que cela donne de la visibilité à de jeunes auteurs, parce que cela m’aide très égoïstement à me souvenir de tout ce que je lis, car on a beau dire, au bout d’un moment, on oublie ce que l’on a lu, sauf les coups de coeur. En tous les cas, je me suis engagée à rester honnête, à ne pas faire de chroniques de complaisance, à ne pas mettre les fameuses 5 étoiles si le livre ne m’a pas emportée.

 

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( 17 octobre, 2022 )

Thyroïde et norme

Ah cette thyroïde, elle fait beaucoup parler, elle fait aussi pleurer, s’énerver, et elle va tourner dans cesse autour de la norme. Mais la norme n’est pas la même pour tout le monde, elle est juste une indication.

Il est bon de rappeler qu’un malade atteint d’une maladie auto-immune d’Hashimoto, qui a subi une ablation totale de la thyroïde pour nodules ou autres, ces malades vont devoir avoir une thyroïde « au repos » afin d’éviter les crises. Ce même malade, des suites d’un rhume ou d’un stress, va faire une thyroïdite et sa TSH va s’enflammer, autour de 3,50 par exemple. Il sera dans la norme laboratoire, et pourtant se dira fatigué, anxieux, frigorifié. S’il a un bon médecin, ce dernier rééquilibrera son traitement et fera si nécessaire vérifier ses T3 et T4, mais s’il a un soignant borné qui ne regarde que la norme, le pauvre malade n’aura plus que ses yeux pour pleurer. C’est un peu compliqué, c’est vrai, cet équilibrage entre les T3 et les T4. Lorsque les taux d’hormones thyroïdiennes diminuent, ceux de la TSH augmentent et inversement. La T4 représente environ 80 % des hormones produites par la thyroïde. C’est une hormone inactive, mais elle peut se convertir en T3, qui, elle, est active. Le foie est l’organe qui convertit le plus de T4 en T3. Les intestins, les reins, mais aussi tous les tissus peuvent convertir la T4 en T3 en fonction de leurs besoins. Dans le cas d’un dysfonctionnement, on rencontrera des troubles de la mémoire etc Mais comme c’est loin d’être évident, on peut également trouver une personne avec une tsh à 0,3 par exemple et une T4 à 10, et là, on ne sait plus si on a une hyper ou une hypo. Il faudra donc impérativement se fier aux symptômes qui donneront le ton, et surtout dans ce cas refaire une prise de sang quelques temps après. Vous trouvez sur les réseaux sociaux des personnes emplies de certitudes, affirmant, tranchant, lorsque la malade demande conseille pour son dosage, et induisant à tort. Nul ne peut s’improviser médecin ! Par contre, faire connaître la difficulté de comprendre un dosage thyroïdien est important et ne rentre dans aucune véritable règle établie, car on rencontrera toujours des exceptions.
Une personne peut-être atteinte d’un simple dysfonctionnement thyroïdien suite à une grossesse, un changement hormonal, un dysfonctionnement ponctuel, qui ne va pas nécessiter un long traitement. D’autres vont avoir des nodules, bénins ou cancéreux qui vont agir sur le corps ou pas. Si l’ablation est totale, nous aurons nécessairement un traitement à vie, indispensable car le corps ne peut vivre sans hormones thyroïdiennes. Nous pouvons avoir une maladie auto-immune Basedow ou Hashimoto. Là encore, des cas différents. Dans la grande majorité des cas, le traitement sera à vie, car la thyroïde se détruisant ne peut suffire. Seulement, le problème reste les anticorps. Certains médecins annoncent à leur malade qu’ils ont une thyroïde Hashimoto par exemple alors qu’ils n’ont que de faibles anticorps inférieurs à 100 et souvent aucun symptômes. Les statistiques montrent que ces anticorps vont disparaître comme ils sont venus. Par contre, une malade avec des anticorps supérieurs à 3000, ne verront que rarement leur taux descendre malgré tous les régimes « miracles » indiqués par certains.

La norme est donc subjective comme beaucoup d’affirmations qui se baladent. Il faut donc impérativement éviter de conseiller en ne se basant que sur son expérience. Dernièrement, je lisais sur un groupe un dysfonctionnement lié à la T3 alors que les personnes ne cessaient de dire à la personne qu’elle était en hypo. Cela lui faisait de belles jambes alors que noter que la T3 était ultra basse presque inexistante, ça c’était important ! Pareil pour la norme médicamenteuse où certains conseillent des produits miracles en incitant à stopper les hormones de synthèse. Non ! Sauf avis médical, on n’arrête pas un traitement sur un coup de tête ! Les répercussions peuvent se faire sentir dans les semaines ou les mois à venir. Tout dépend une fois encore si on a une simple hypo ou si on a subi une ablation totale. Quand on n’a plus du tout de thyroïde, il faut de l’aider au corps pour vivre un peu comme l’huile du moteur. En résumé, la norme est utile pour se repérer, pour savoir où on va. Elle ne doit pas être l’unique repère parce nous sommes tous différents ! À chacun de ne pas l’oublier, d’où l’importance d’une vraie reconnaissance de des maladies.

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La vie change Basedow

Merci les papillons et courage
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( 16 octobre, 2022 )

ADDICT

Une série française sans prétention glaçante, non par la réalisation qui est fort ordinaire voire médiocre mais par le thème. Comment un voisin, un ami, au demeurant fort sympathique, peut grâce à nos technologies modernes prendre la main sur votre vie. Il suffit simplement que l’homme ait fait une « fixette » et l’enfer s’ouvre sous nos pieds. Se méfier de ses côtés hyper sympas, hyper gentils n’est pas toujours facile. Un goût de « déjà vu » à un stade plus simple. Il suffit d’un rien pour plonger dans la vie d’autrui, un petit logiciel installé sur une clé mis sur un pc en un claquement de doigts et votre vie vire au cauchemar. Et ces personnes, ces pervers, car ce sont des pervers, en jouissent complètement. Ils prennent plaisir de ce pouvoir qu’ils ont entre les mains. On se retrouve face à des personnes  avec une super maîtrise de l’informatique, beaucoup de temps de libre ou peu de temps de sommeil, souvent des personnes aisées ou exerçant en profession libérale ou sans travail.

Addict, est une série qui met en garde contre ces amis, ces voisins prêts à aider avant même de bien les connaître, qui s’engagent soit disant pour une cause juste ( comme aider la benjamine à chanter) alors que tout est réfléchi, préparé à l’avance, orchestré de main de maître. Méfions-nous de ces ordures, ils peuvent détruire des vies et rien, même la justice, dans la réalité ne les arrêtera ! Faites comme moi, qui fus échaudée, supprimez au maximum les possibilités de prises à distance, les « trucs » connectés les prêts de portable, même à ceux que vous pensez vos amis. ceux qui titillent ces technologies peuvent vite en profiter pour vous anéantir.

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( 15 octobre, 2022 )

Ces enseignants qui laissent leurs âmes …

Je ne pouvais occulter cet hommage fait à cet enseignant décapité il y a deux ans sachant qu’aujourd’hui encore, partout en France le pays des libertés, de nombreux enseignants sont pointés du doigt, menacés, que ce soit pour avoir prononcé simplement « un mot de trop » ou pour une affaire d’ethnie ou de religion.

Résultat, les gens n’osent plus parler, ils n’osent plus revendiquer, ils sont devenus des ombres. Nous devons sauver nos convictions ! Le ministère de l’éducation nationale a commis l’erreur d’ouvrir la porte aux parents, les laissant petit à petit grignoter l’autorité du maître. Je me souviens d’une époque où après une gifle rebondissante donnée par mon enseignante car je papotais trop avec ma voisine, j’ai eu le malheur de me plaindre le soir à mes parents. Résultat des courses, au lieu de me soutenir, ils m’ont chacun redonné une autre gifle !  Ne jamais contredire la maîtresse !  De nos jours, les parents ont pris un pouvoir qui bride la créativité des enseignants. Certains vont même jusqu’à intervenir sur des faits du domaine privé afin de sanctionner un enseignant. Où va le monde ? Battons-nous pour la liberté d’enseigner, pour permettre à ces têtes pensantes, bien vides de nos jours, de pouvoir apprendre à réfléchir ! Et surtout sanctionnons la violence, toutes les violences, envers les enseignants.

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( 14 octobre, 2022 )

Assistantes maternelles et puéricultrices

Le saviez-vous ? J’ai été durant des années auxiliaire de puériculture. Un métier  peu valorisé, tout aussi dédaigné que les assistantes maternelles. Des professions que l’on rabaisse, à tort. On parle de ces femmes qui gardent vos loulous pendant que vous bossez comme des dingues. Je suis outrée de voir régulièrement des jugements négatifs, des remarques sur des personnes indispensables de nos jours. En me promenant, je croise souvent une assistante maternelle bienveillante, avec ses quatre loupiots, toujours avec un gentil mot pour chacun. Un matin, j’ai entendu une passante grogner dans sa barbe sur le nombre d’enfants dont la dame s’occupait. On se permet de critiquer une nounou avec quatre gamins tandis que l’on va trouver normal une enseignante avec 32 élèves. On a tendance à oublier qu’une « nounou » pendant des années ne percevait pas de retraite, que depuis son statut d’assistante maternelle, ces dernières cotisent enfin pour leur retraite et sont reconnues comme exerçant un vrai métier. Il est temps de remettre les pendules à l’heure et de cesser les préjugés ! Femme ministre ou médecin qui n’a pas le temps de s’occuper de ses gosses pour réussir, femme solo obligée d’assurer les deux casquettes, femme libre tout simplement qui s’assume, la plupart d’entre vous avez laissé vos rejetons à une tierce personne. Bien sûr il y a comme partout des brebis galeuses, mais ne crachons pas sur toutes les pommes pour une seule pourrie.

Je me souviens des années « crèche », de ces visages d’enfants, de ces petites mains potelées dans la mienne. Je me souviens de noms, comme une petite fille que j’adorais. Émilie Chanson, je me demande souvent ce qu’elle est devenue, elle qui doit avoir aujourd’hui plus de quarante ans.

Ne jamais oublier que ces femmes de l’ombre se sont souvent plus occupées de vos enfants dans une journée que vous, tout comme plus tard, les enseignants.

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( 13 octobre, 2022 )

Ces changements imprévus

Qu’il est difficile de faire face à des changements imprévus, et même les personnes les mieux équilibrées manifestent parfois une résistance au changement. La peur du changement fait partie de chacun d’entre nous. Nul ne prévoit jamais de modifier de nouveau sa vie, mais voilà, les événements sont les plus forts. C’est souvent une torture de tout recommencer. Un nouveau saut vers l’inconnu.

Qui ne l’a pas vécu ? Je le vis, je pourrais ruminer, râler voire déprimer, me ronger les sangs, et ne pas avancer. Mais la vie est changement. Alors j’ai choisi d’accepter les bras ouverts ces changements imprévus, en visualisant les côtés positifs. Le changement, c’est se renouveler, casser la routine, alors le compte à rebours a commencé aujourd’hui …  J moins …

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