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( 21 janvier, 2023 )

Exposer motive !

Autant je n’ai jamais aimé les dédicaces, une impression de devoir vendre à tout prix ! Je me souviens de certains salons où les auteurs me donnaient la sensation de se prostituer en imposant leurs livres à de pauvres visiteurs en balade. Certains ne sachant dire non, se retrouvaient avec des livres qu’ils ne liront certainement jamais ! Faut-il en rire ? Moi, cela m’a toujours affligé, résultat je n’ai jamais joué ce jeu.
Je n’ai nul besoin de briller nul besoin de l’amour des lecteurs, ce que j’aime, c’est exclusivement les mots et rien d’autres. Par contre, exposer mes tableaux, j’adore ! Tout d’abord, c’est hyper motivant d’avoir de nouveaux regards, et puis, on est complètement anonyme derrière une toile, et là, pas de lèches-bottes possibles ! Les critiques viennent du coeur et sont extrêmement utiles.
Dois-je ajouter que dans une exposition, d’autres couleurs, d’autres toiles nous font vibrer, contrairement à un livre qui sans être lu ne procure aucune émotion.
Je suis vraiment reconnaissante à l’association CAL qui nous offre de nombreuses opportunités d’exposer, gratuitement. C’est important la gratuité, car ne cherchant pas à vendre ou à bas prix, je ne pourrais sinon participer.
En tous les cas, hier et aujourd’hui, six de mes toiles sont exposées pour les voeux du maire ! Très heureuse ! C’est vrai qu’il m’en faut peu ! Surtout que sur les six, hier, j’en ai vendu une ! De quoi me racheter quelques toiles vierges. Donc motivant, oh que oui !!!

( 20 janvier, 2023 )

La vraie littérature existe-t-elle ?

Ces jours-ci, j’ai lu beaucoup de choses fort amusantes souvent issues de pseudo intellos dénigrant les romans policiers ou les autobiographies qui ne sont pas de la Littérature. Quand on est comme moi, une littéraire, une vraie, avec un bac littéraire, toutes ces remarques me font rire.
Le mot littérature, par pure définition, signifie : Ensemble des ouvrages publiés et ensemble des écrits. Alors quand on voit l’article du Figaro qui au nom de la vraie littérature a posé la question : qui, entre les écrivains Guillaume Musso et Marc Levy, était « le plus nul » ? Je suis extrêmement choquée ! Au nom d’un intellectualisme dégoulinant, certains érudits, ou plutôt qui le pensent, n’hésitent pas à piétiner des ouvrages pourtant vendus à plus d’un million d’exemplaires chacun.
La débilité de notre société m’effraie de plus en plus ! Lecteurs qui jugent, qui tranchent. Lecteurs qui restent dans leur petite zone de confort. Savez-vous que le grand Hugo qui pourtant est considéré aujourd’hui comme un des plus grands écrivains littéraires s’est vu fermer beaucoup de portes à ses débuts ?
Autobiographies, romances, Fantasy, polars, tous sont des genres littéraires ! Il faut s’y faire !
Seuls certains livres de chroniqueuses énumérant juste des astuces illustrés de dessins échappent au nom «  littéraire ». La société évolue, les goûts des lecteurs également. L’important n’est-il pas encore une fois de lire ?
Certaines éditions l’ont bien compris en ne publiant majoritairement que des livres au goût du jour !
On sait bien que nous sommes en plein dans la rentrée littéraire où soit disant des dizaines de pépites vont voir le jour, « pépites » qui n’en n’ont souvent que le nom ! Rentrée littéraire où les polars n’ont pas leur place d’où de nombreuses parutions qui portent simplement le nom de «  roman » pour leurs sorties.
Une vraie littérature ? Non, de nombreux genres littéraires et c’est le plus important, que les gens lisent !

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( 20 janvier, 2023 )

Pourquoi publier sous pseudo ?

De nombreux auteurs publient de plus en plus sous pseudo. Une manière de se protéger, de préserver son anonymat, d’éviter les critiques directes. Cela permet également très souvent de relancer « une carrière » bloquée par un genre littéraire par exemple. J’ai côtoyé un auteur qui, après avoir cartonné pour ses romans s’est tourné vers un autre genre littéraire, et a publié sous pseudo. Il a relancé ses ventes ainsi. D’autres le font en ressortant un « vieux » manuscrit, un peu sans conviction. D’autres encore évitent ainsi un éventuel litige avec une maison d’édition procédurière. Publier sous pseudo n’est pas une nouveauté, Rowling, par exemple, qui a créée la saga du sorcier, a publié un roman sous pseudo pour ne pas mélanger les genres. Savez-vous que Marguerite Duras a publié sous le pseudonyme de Marguerite Donnadieu ou Michel Houellebecq sous le pseudonyme de Michel Thomas ?
Savez-vous que plus de 75% des écrivains célèbres sont des hommes ? Résultat, 12% des femmes publient sous un pseudo masculin, et cela marche ( en particulier pour les romans de type thriller ou policier)
Cela donnerait presque envie de publier sous pseudo !
Après, certaines personnes publient leurs livres pour récolter de la lumière, pour être sur des salons, pour parader. Il est certain que dans ce cas, l’anonymat va poser problème sauf si la maison d’édition accepte de jouer le jeu de l’écrivain mystère. Parce qu’il n’y a pas de secret, une bonne promotion passe par le visage de l’auteur ( triste réalité) bien plus important que les Mots du livre !
Alors oui, publier sous pseudo est légal, ce peut-être également une bonne opportunité si vous changez de genre littéraire ou pour cloisonner votre vie privée ou votre travail.

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( 19 janvier, 2023 )

Le Suppléant

Pour moi, un vrai lecteur est un lecteur qui lit de tout, sans préjugés. Après lecture, seulement après, on peut se faire un avis. Voilà le mien ! Il n’engage que moi

« Aujourd’hui, je vais vous parler d’un livre qui fait couler beaucoup d’encre, grincer des dents : Le Suppléant du Prince Harry. Ce livre a un tel engouement qu’il incite même celles ( car ce sont majoritairement des lectrices) qui n’aiment pas à lire à ouvrir un bouquin, Rien que pour cette raison, il a le mérite d’être. N’oublions pas que la moyenne de livres lus par les français est de 1,6 par an ( je me suis toujours demandé ce que signifiait ce virgule six)
Personnellement, on me l’a prêté. J’avoue que je n’aurais pas dépensé sinon le peu d’argent que j’ai vu la crise pour l’acheter simplement parce que 27€ en broché et 17€ en epub, c’est un peu cher ! ( encore une édition qui s’en met plein les poches)
Je l’ai donc lu parce que je suis curieuse, parce que l’avalanche de critiques jalouses m’a amusée. Des autobiographies, il y en a des dizaines de chanteurs, stars, mais voilà, parcee que c’est un membre royal, on va le critiquer avant même d’avoir lu le livre. Je méprise cette mentalité !
Au niveau littéraire, le texte est plutôt bien écrit. Le style est alerte et se lit comme un roman. Que l’on aime ou non la royauté ( on est français, et en général, les souverains, on leur coupe la tête), l’émotion se ressent, est bien expliquée, et on ne peut rester indifférent face à ce garçon qui a perdu sa mère, Diana, dans des circonstances affreuses, on comprend « ce manque » évident, cette indifférence de certains. J’avais déjà été très sensible à l’histoire de Lady Die dans « the Crown », je l’ai également été dans ce livre.
Après certains parlent d’invraisemblances, d’erreurs de dates. Cela me fait sourire. Comme si notre mémoire était toujours exacte surtout après des drames comme la perte d’une maman d’une manière aussi terrible que celle vécue par Harry.
Courageux de parler sans tabou d’un tel sujet que la guerre dans ces pays où règnent le terrorisme, presque suicidaire, de nos jours, mais bon … peut-être ce sujet est-il un peu longuement traité dans cet ouvrage. J’avoue que j’ai préféré les passages love stories.
J’aime bien le couple Megan-Harry, je trouve cela courageux d’avoir tout quitter pour fuir ces pourritures de journalistes, même si les mêmes se retrouvent aux States, mais peut-être en moins agressifs. Et puis, pour ceux qui parlent de fric, les droits d’auteurs sont reversés à une association.
Harry n’a pas fait ce livre pour l’argent, mais pour dire sa souffrance avec sincérité. Je ne regrette pas cette lecture et j’ai lu précédemment des biographies d’acteurs ou chanteurs dix fois moins bien écrites et moins intéressantes.

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( 18 janvier, 2023 )

Appels à textes

Régulièrement, les maisons d’édition, les médiathèques, proposent des appels à textes. Souvent, ce sont des nouvelles, sur un thème récurrent comme Noël ou la Saint Valentin, qui vont ensuite se retrouver primées dans un recueil. Le côté positif : très motivant pour de jeunes auteurs, car il faut bien le dire, la motivation dans le domaine de l’écriture est importante. Recevoir un premier contrat d’édition peut faire plaisir, voir assurer une certaine fierté. J’ai personnellement concouru de nombreuses fois à mes débuts il y a plus de dix ans, des petits appels à textes souvent canadiens à l’époque, non pour un contrat, juste pour un avis. Il m’est arrivé d’être bien « placée », ce qui m’a poussée à me dépasser ensuite et à faire mon premier manuscrit.
Le côté négatif : trop souvent ces contrats d’édition sont un peu floutés. Les jeunes plumes s’attendent à la Gloire, leur livre sur les devantures de librairies, il n’en est souvent rien !
Mais ne dénigrons pas cette opportunité ! Certains appels à textes peuvent ouvrir sur une véritable lancée littéraire, alors pourquoi ne pas tenter ?

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( 17 janvier, 2023 )

Enseigner est chronophage

Avec la grève de jeudi qui se profile, les remarques négatives affluent : « Les enseignants, tous des feignants ! » Toujours difficile de changer les idées reçues et les mentalités, et pourtant nécessaire. Tellement simple de juger ce que l’on ne connaît pas, une image simplement véhiculée.
Maintenant que cette profession est loin derrière moi, je m’autorise à en tirer des leçons.
Tout d’abord, si on a choisi ce métier, c’est qu’on l’aime, que l’on aime les enfants, sinon mieux vaut immédiatement choisir une autre orientation, parce qu’être enseignant, ce n’est pas Peace and Love.
Ah, oui, j’oubliais ! Les enseignants ont le mercredi, les vacances et finissent tôt. Que de fois je l’ai entendu cette phrase durant plus de trente ans. « Toi tu as de la chance ! Tu as un métier peinard. » À se demander pourquoi avec un boulot si facile les candidats sont si peu nombreux au concours de prof des écoles ! Faut-il parler aussi des heures de préparation ( car si on a une classe, on n’arrive pas comme une secrétaire les mains dans les poches), tout doit été expliqué, préparé avec soin, minutieusement, minute par minute. Et ensuite, les corrections, on en parle ? Ayant fait des CM2, je me suis farcie plus de 3 heures chaque jour samedi inclus pour corriger la moindre faute d’orthographe. Un respect vis à vis des élèves. Après aujourd’hui, on nous reparle des dictées. J’en ris, en ayant fait quotidiennement durant vingt ans, des dictées réfléchies qui ont majoritairement portées leurs fruits. Doit-on parler des projets qui bouffent 80% des vacances scolaires, des réunions le soir dites pédagogiques ou de cycle, des APC pondus dans les années 2005 en plus, histoire de récupérer les enfants en difficulté, les heures pour préparer les livrets, pour rencontrer les parents ( et croyez-moi, j’ai eu des cas qui ne partaient plus de ma classe, installés comme chez un psy alors que mon fils m’attendait à la maison)
Car oui, enseigner est chronophage, cela bouffe notre vie familiale. Être « maîtresse » n’est pas une bénédiction pour les enfants, pour le Chéri non plus. Avant, j’ai travaillé dans le privé. Je faisais huit heures non stop, mais chez moi, je pouvais être une maman, une femme. Durant plus de vingt-sept ans, j’avais perdu « mon identité » au profit de l’étiquette « maîtresse » que je trimballais partout. Enseigner est un beau métier, mais avec le recul de la retraite, je pense que j’ai sacrifié des moments précieux que j’aurais pu, du, passer avec mes enfants.
Alors enseigner encore à 70 ans ( vu le nombre d’annuités à avoir et la longueur des «études) est-ce jouable ? Oui dirons certains puisque ces fainéants ont les vacances scolaires ! Oui diront d’autres parce que c’est tout « mignon » un enfant !
Moi, je dis NON !
Et pour ceux qui jugent, critiquent les enseignants, prenez leur place un mois, juste un mois, et on en reparle ?
Quant aux parents, qu’ils apprennent déjà à bien élever leurs gamins parce que ce n’est pas vraiment le rôle de l’école !

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( 16 janvier, 2023 )

Un début d’année pour les papillons plein de positivisme

2022 ne fut pas une année facile pour de nombreux malades atteints de dysfonctionnements thyroïdiens.
Le post-virus n’a épargné personne, influençant plus ou moins le dosage de tsh. Nous avons espéré secouer les mentalités, faire connaître au monde cette maladie. C’est pour cette raison que notre association a parrainé le livre sur Basedow et le cancer de la thyroïde. Malheureusement, malgré l’envoi aux ministères, nous avons fait chou blanc, contrairement à Maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie,où le ministre de la santé ainsi que madame Macron nous avait répondu.

Nous avons pourtant continué durant toute cette année à recevoir des témoignages de malades à qui l’on avait collé l’étiquette de « paranoïaques », de « fous » ou de « perturbés psychologiquement ». C’est tellement facile de juger sans savoir. Avec la victoire contre Merck, que nous saluons, ce fut soudain comme si le monde, « les autres » découvraient soudainement qu’il existait dans le corps de chacun une glande nommée thyroïde. Étrange comme cette révélation a fait coulé de l’encre ! Malheureusement, ce fut de courte durée ! Aucune avancée médicale, toujours trop peu d’endocrinologues à l’écoute et pourtant, cette petite glande de rien du tout, que l’on voudrait insignifiante, s’avère une pièce maîtresse pour l’équilibre de notre corps. Sans un bon fonctionnement, tout part en vrille, le coeur, le système digestif, la mémoire, la régulation de la température, et la liste est longue, si longue que certains journalistes en ont bafouillé leur latin.
Là, stupeur, on découvre que des hommes peuvent avoir cette déficience, oui, des hommes alors que l’on jurait haut et fort que ce n’était qu’une maladie de « bonne femme » ! Pire, des enfants ( de plus en plus) se retrouvaient coincés dans les filets.
Une maladie bien réelle touchant plusieurs millions de personnes en France, tenue à l’écart, car méprisée des médecins qui vivent encore à l’époque du Moyen-Âge où les femmes atteintes de problèmes de thyroïde étaient traitées d’instables. Comme quoi l’évolution des mentalités n’a guère beaucoup avancé.
N’oublions pas l’année 2017, où notre merveilleux système pharmaceutique va mettre sur le marché, très discrètement, un nouveau produit, sans faire de tests préalables sur des malades, sans informer la population à risque.
N’avons-nous pas fait pareil avec tous ces vaccins qui continuent de sortir pour le fameux virus ?

Ce post Covid fut une sale année pour les papillons qui ont du se battre sur de multiples fronts, en particulier celui de leur corps. Bien sûr, il y a bien plus grave, comme les maladies neuro dégénératives telles que Charcot, mais ces maladies thyroïdiennes restent une vraie souffrance pour trop de personnes. Ces maladies invisibles peuvent pourrir la vie, tirer vers le bas, détruire tout aussi violemment que n’importe quelle autre maladie.
Notre société se doit donc de développer un peu plus d’empathie envers les malades, les enfants (pas toujours diagnostiqués à temps), les hommes ( souvent trop orgueilleux pour aller voir leur médecin)

En cette nouvelle année 2023, j’ai juste envie de demander à nos chercheurs : tournez-vous un peu vers ces déséquilibres qui pour plus de 50% des malades sont dus à des maladies auto-immunes, vous les médecins, prenez-nous plus au sérieux. Ces dysfonctionnements thyroïdiens sont en augmentation croissante. Interrogeons-nous sur l’avenir des maladies thyroïdiennes pour de nombreuses générations futures.

Et toujours une vraie reconnaissance de la maladie et des malades !

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( 15 janvier, 2023 )

La fatalité est-elle inéluctable ?

Les choses arrivent parce qu’on les laisse arriver. Telle est la devise de beaucoup. Et bien, non ! Je m’oppose à cette affirmation qui met nous met dans une position de victime. Je me refuse à être une victime, je refuse que « les autres » nous bloquent dans un cercueil d’où nous ne pouvons pas sortir. C’est tellement simple de faire croire à une personne qu’elle est victime de la fatalité du style : «  C’est toujours sur toi que cela tombe ! », «  Tu as la poisse ! Encore un taré ! » et j’en passe. Si on n’y prend pas garde, on se retrouve dans un cercle vicieux où on porte malgré soi une étiquette sur le front. Et les étiquettes, c’est bien compliqué à enlever ! Se mettre en position de victime, c’est confortable. J’en connais qui sont même allés très loin pour conserver cette étiquette. Sortir de cette situation et combattre la fatalité, c’est se prendre en main, c’est rester maître de notre vie, quitte à se planter. Déjouer la fatalité comme ils disent, c’est laisser sa peur au grenier et surtout ne pas être lâche. Pour affronter sa vie, il faut du courage, mais cela en vaut la peine, je crois.

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( 14 janvier, 2023 )

Ces livres que l’on n’a pas écrits

Depuis que je suis auteure, même si ma plume reste toute petite, il y a souvent des livres que j’aurais voulu écrire ou auxquels, curieusement, j’avais pensé. C’est amusant de se dire que l’Idée, la même, jaillit soudainement dans l’imagination de bon nombre de personnes, et qu’au final, une seule et unique plume va lui donner vie. Je ne parle pas des grands classiques, car qui n’a pas rêvé d’écrire « Le petit prince », ce magnifique conte philosophique ? Je parle juste de ces jolies phrases que l’on lit un jour et qui nous parle, vraiment, de cette histoire qui nous prend aux tripes, de ces mots qui semblent être faits pour nous. Que l’on soit lecteur ou auteur, qui n’a pas rêvé en fait de n’être qu’un simple personnage de roman ?

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( 13 janvier, 2023 )

Métissage, avenir de l’humanité

Quitte à choquer les « puristes », l’avenir est le métissage, le mélange des peuples. L’avancée technologique des moyens de transports ont permis les rencontres, les mixages culturels et c’est fabuleux ! Beaucoup oublient que la Terre n’appartient à personne. Elle est, a été, bien avant notre naissance. Elle existe et existera bien après nous. Nous, les hommes ne sommes que des virus déposés sur ce sol, et pas des virus très sympathiques. Pour qu’un changement opère, il faut toujours passer par beaucoup de souffrances. Des années de haine envers certaines religions, certaines couleurs de peau. Il faut que cela cesse, que la prise de conscience se manifeste, enfin ! Nous pouvons enfin respirer ! L’avenir, c’est cette génération qui se mélange aussi bien individuellement que socialement, c’est des jeunes qui n’ont pas peur d’affirmer leur préférence sexuelle. Le métissage des cœurs est l’avenir de notre société en perdition, peut-être même la seule option pour la sauver.

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