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( 12 janvier, 2023 )

Connecté ou pas

Comment tournait le monde il y a quinze ans sans Facebook, Instagram, Whatssap et j’en passe?
Comme les gens devaient s’ennuyer, me disait dernièrement ma petite-fille. Et bien, pas du tout ! Au contraire ! Ces nouveaux moyens de dite communication sont devenus chronophages. Longtemps, j’ai résisté, ayant plongé dans les discussions FB qu’au milieu de l’année 2013, anticipant la sortie de mon premier roman. Puis, la frénésie de la publicité nécessaire à la vente d’un livre, la nécessité de créer un réseau de lecteurs, j’ai vu mon temps s’effilocher de plus en plus au profit du virtuel.
Et puis un jour, j’ai dit stop ! Ce n’était pas cela la vraie vie ! Je me suis éloignée doucement, sur la pointe des pieds, parfois critiquée. « Je n’allais plus être lue », « j’allais perdre mes lecteurs » et j’en passe !
Curieusement, c’est l’inverse qui s’est produit ! Le temps que je passais sur les réseaux sociaux, je l’ai de nouveau retrouvé pour lire, écrire, peindre, sortir, faire des rencontres. Je ne suis pas devenue une sauvageonne, au contraire, j’ai resserré de vrais liens.
Ma « promotion », je m’y consacre trente minutes par jour, pas une seconde de plus. Et au final, ce fut bénéfique, car beaucoup de nouveaux lecteurs, des échanges sincères, des découvertes aussi.
Quant au pur plaisir, c’est via Instagram que je le vis, réservant également quelques minutes à simplement découvrir de belles photos ou peintures.
Trop connecté ? Plus jamais ! Juste ce qu’il faut !

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( 11 janvier, 2023 )

Lycée Toulouse Lautrec la série

Je dois parler de cette série vu en streaming. Tout d’abord parce que j’ai failli ne pas la regarder jusqu’au bout tellement le début est insipide. Et puis, un virage s’est fait dans le scénario. L’émotion m’a emportée. Cet institut, tellement semblable à Saint-Jean-de-Dieu avec qui j’ai bossé en partenariat des années, ma fait remonter tellement de souvenirs. Ces gamins, tous ces handicaps, je les ai croisés là-bas, tous ces sourires, toutes ces larmes. La jeune fille aux os de verre, le jeune tétraplégique qui communique par ordinateur, et puis cette jeune fille avec une tumeur au cerveau.
Je n’en dis pas plus sauf que j’ai pleuré comme une madeleine à la fin. Une série dont le thème bouleverse, et nous pousse à sacrément relativiser. Une piqûre de rappel. Car au fond, on oublie tellement vite ! Et puis cette éducation nationale avec ses inspecteurs, ces bureaucrates qui ne peuvent comprendre le terrain.
Un casting de jeunes vraiment top !
« Il y a ces rencontres qui vous bousculent, qui vous élèvent.
Ces anges partis trop tôt.
Ces gens à qui on aimerait tant pouvoir dire merci. » ( derniers mots de la série)

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( 10 janvier, 2023 )

Motivation, tu as dit motivation

Il y a les puristes, ceux qui sont l’âme d’une toile ou d’un livre et puis il y a les autres, dont je fais partie, qui n’aiment que se faire plaisir. Écrire, dessiner, sculpter, peindre, juste pour se sentir bien, juste pour laisser son esprit s’envoler. Cela amuse certains, mais très souvent, une fois que j’ai posé mon pinceau ou mon stylo, j’ai la même sensation que lorsque j’ai pris un bon bain moussant, une plénitude totale.
Malgré tout, je me retrouve souvent face à ma toile ou ma page blanche, la regardant fixement, sans rien dire. Alors, il m’arrive de tout ranger et de retourner vaquer à d’autres occupations. Tout simplement parce qu’il manque l’essentiel, la motivation. Pourquoi écrire si personne ne nous lit ? Pourquoi peindre si c’est pour faire des croutes qui vont finir à la poubelle ? On oublie trop souvent l’importance de la motivation dans l’imagination. Très important de motiver les enfants dès leur plus jeune âge, en leur offrant des défis, des moyens de se sentir valorisés.
Rester motivé, c’est s’autoriser des buts. Longtemps j’ai fui les salons ou les expositions, fatiguée par le négativisme de certaines personnes, par les critiques gratuites, mais cette année, j’ai fait peau neuve du passé, et je me lance de nouveau dans la course ! Motivation maximum, simplement pour le plaisir …

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( 9 janvier, 2023 )

Trucs et astuces en cas de dysfonctionnement thyroïdien

Quelques personnes glissent régulièrement avec acidité que nous ne parlons que des côtés négatifs des dysfonctionnements thyroïdiens. C’est un peu vrai, mais qui d’entre vous saute de joie d’avoir cette maladie ? Mieux vaut lister tout ce qui peut poser problème pour finalement avoir une bonne surprise !
Alors oui, des solutions existent, pas toujours fonctionnelles, mais pour une fois, nous allons proposer des pistes ( qui ne nous engagent pas, juste des retours d’adhérentes ayant testées)
Chacun prendra donc ce qui lui convient ou pas, peu importe !

Que faire pour les yeux secs qui piquent autant en hypo qu’en hyper ?
Malheureusement, tant que la thyroïde dysfonctionne, c’est un problème récurrent. On peut soulager ses yeux avec un gant froid ou chaud au lever et au coucher.
Se faire prescrire «  des larmes artificielles » soulage également.
Certains malades conseillent l’argent colloïdal.

Que faire contre les cheveux qui grattent ?
Le cuir chevelu qui démange n’est pas synonyme de poux, que l’on se rassure, mais bien d’un souci thyroïdien. Tout simplement parce que la peau s’assèche en hypothyroïdie et se craquelle.
Des solutions ? Certaines personnes préconisent l’aleo vera qui hydrate et renforce les cheveux. L’idéal est de choisir un aleo vera naturel, non traité, à appliquer quotidiennement.
Ce produit est également préconisé pour la peau souvent sèche et irritée.
Ce n’est pas un produit miracle, mais cela ralentit les désagréments.
Il existe également les produits de la marque Roche Rosay en pharmacie.

Douleurs muscles
Les douleurs sont intimement liées au dysfonctionnement thyroïdien. Douleurs musculaires, tendinites fréquentes, capsulites, la liste est longue et douloureuse. Les courbatures peuvent atteindre 80% des personnes atteintes d’hypothyroïdie.
Il est très difficile de faire disparaître de telles douleurs qui vont s’avérer chroniques. On peut soulager avec des séances de kinésithérapie, voire d’ostéo. Un sport doux peut également beaucoup aider ( pensez à l’AquaBike, idéal pour ces douleurs)
Ne pas hésitez non plus à prendre de l’arnica en homéopathie. Au pire, cela ne fera rien !

Rétention d’eau
La thyroïde peut provoquer des rétentions d’eau, des poches sous les yeux, des jambes gonflées à cause d’un faible taux d’hormones thyroïdiennes a un impact sur la fonction rénale en diminuant l’excrétion de sel et d’eau dans les urines.
Certaines personnes soulignent que cette retention d’eau peut faire prendre pas mal de poids. Jusqu’à prendre une dizaine de kilos en quelques semaines, kilos qui ne sont au final que de l’eau.
Comme toutes les rétentions d’eau, hormis diminuer le sel, il n’y a pas grand chose à faire ! Prendre son mal en patience ! Une fois stabilisé, tout rentre dans l’ordre.

Intestin irritable
Le problème de l’intestin irritable est intimement lié à une thyroïde qui dysfonctionne. On va alors voir plusieurs causes, trop d’acide, donc des remontées acides, des allergies ou intolérances alimentaires, des douleurs intestinales, des ballonnements, des gonflements du ventre.
Malheureusement, c’est souvent irréversible, mais certains malades ont vu des résultats.
Diminution du gluten peut diminuer les douleurs. La suppression totale est souvent montrée du doigt dans certaines études canadiennes. Que faut-il en penser?
Chacun est différent, donc ce qui ira aux uns ne conviendra pas nécessairement aux autres.
L’intolérance au lactose peut diminuer le syndrome irritable. De nos jours, il existe du lait sans lactose. Inutile de le supprimer totalement, même si on peut préférer du lait d’amandes.
Évitez également tous les aliments acides, qui peuvent irriter l’intestin. On peut aussi,protéger l’intestin avec des traitements comme Carbo-Sylane.

Le stress et la thyroïde
Pas très bon le stress pour notre thyroïde ! Même la thyroïde la mieux stabilisée peut se déréglée sous l’effet du stress, ou d’un choc.
Il est donc primordial lorsque l’on a une maladie thyroïdienne de prendre du recul par rapport à sa vie. Est-ce que je n’en fais pas trop ? Puis-je prendre du temps pour moi ? Pourquoi est-ce que je suis toujours stressée ?
Là encore, apprendre à gérer son stress est primordial. Pour cela, il existe des solutions :
Se faire aider soit par une thérapeute, soit une coach de vie.
Prendre du temps pour soi en pratiquant une activité dite douce : yoga, méditation, sophrologie, sport, reiki … On peut également se mettre à la marche ( excellent également pour le surpoids, la circulation, la rétention d’eau)
Apprendre également à penser positif en s’éloigner des personnes, des situations nocives.

Sommeil
De nombreux malades atteints de dysfonctionnements thyroïdiens se plaignent d’insomnie.
Là encore, ce problème se résorbe lorsque le dosage ou la thyroïde est dans la norme du confort du malade. En attendant, passer des nuits à se retourner n’est pas agréable !
Evitez les traitements dits lourds comme les somnifères. On s’y accoutume trop vite.
Privilégiez un endormissement serein, ce peut-être un moment de lecture ou une écoute musicale. Oubliez les disputes le sour, les aliments trop gras, trop sucrés, trop riches.
Certains malades conseillent en homéopathie ou huiles essentielles de la Passiflore.
L’huile essentielle de Lavande est également préconisée.
Après, songez également aux tisanes qui peuvent être efficaces sur des petites insomnies.

L’irritabilité et sautes d’humeur
Souvent en hyperthyroïdie, ce désagrément peut gâcher la vie du malade et de son entourage. Bien évidemment, il existe les traitements allopathiques dits forts comme les antidépresseurs, les anxiolytiques, souvent non dénués d’addiction.
En complément du traitement pour soigner l’hyperthyroïdie, consulter un médecin homéopathe ou naturopathe n’engage vraiment à rien et peut parfois soulager avec des huiles essentielles par exemple.

Dans tous les cas, selon les médecins, selon les naturopathes, vous pouvez vous voir prescrit des « vitamines ou minéraux » ! Attention ! Il faut être extrêmement prudents. Ce qui va aller à une personne n’ira pas nécessairement à une autre. Prenons le cas de l’iode, extrêmement contreversé selon le type de dysfonctionnement que vous aurez. Attention également aux allergies, plus fréquentes qu’on le pense, particulièrement avec la génération née autour de Tchernobyl.
Toujours faire ses dosages sanguins et vérifier le taux sur 24h dans les urines. Ne pas s’amuser à avaler des compléments d’iode parce qu’un docteur ou un coach santé l’a dit sans avoir vérifié si vous êtes en carence.
On ne doit pas jouer avec le corps comme un apprenti sorcier !
Vivre avec un dysfonctionnement thyroïdien n’est pas drôle, mais on peut vraiment alléger les symptômes en écoutant ce que notre corps nous dit, en s’adaptant à un nouveau rythme de vie, en supprimant tout ce qui est nuisible pour notre organisme.
Et si vous avez des « astuces », n’hésitez pas à les partager !
Courage les papillons !

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( 8 janvier, 2023 )

Ces lectures dites « faciles »

Comme elles sont dénigrées ces lectures dites faciles beaucoup commentées ces jours-ci depuis le décès de l’écrivaine Francoise Bourdin. Pas de la littérature disent certains. Mais comment certaines personnes peuvent-elles juger qu’un livre est de la bonne lecture plutôt qu’un autre ? L’époque des Zola, des Hugo, des auteurs que l’on s’est farcis en classe est révolue ! On peut aimer les classiques sans pour autant cracher sur d’autres écrits.
Personnellement je n’ai jamais lu de romans de Françoise Bourdin, à ma grande honte et je pense faire un tour à la médiathèque prochainement pour y remédier. Il faut que cessent les aprioris sur les lectures faciles. Même les romans Harlequin ont leurs bons côtés, simples à lire dans le RER ou quand on a un coup de blues. Le tout est de lire et je ne cesserai jamais de le dire mieux vaut lire des lectures simples telles que des romans de gare, des BD, des Mangas que de ne pas lire du tout !

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( 7 janvier, 2023 )

Paris police 1905

Je ne dirais pas que cette série est exceptionnelle, mais elle est bien construite et pose l’histoire de la prostitution au dix-neuvième siècle. Le scénario tourne autour d’une enquête sur un mort mystérieux retrouvé au bois de Boulogne. Un homosexuel. On y découvre un univers que l’on a bien du ma l à imaginer aujourd’hui, où le spectre de la syphilis était bien pire que celui du covid aujourd’hui, où les homosexuels étaient condamnés, enfermés, jugés comme diabolique. Je lisais un article qui expliquait que le Sodome et Gomorrhe de Marcel Proust n’était paru que seize ans plus tard. On peut se glorifier à notre époque de constater une évolution des mentalités, malgré encore des réticences, le choix d’un partenaire sexuel n’étant plus montré du doigt. Peut-être est-il bon de préciser que de nos jours la syphilis est toujours « active », et qu’elle continue à se transmettre lors des rapports sexuels. Heureusement à notre époque, la syphilis n’est fatale que pour 15% des personnes. Le traitement de la syphilis repose sur l’administration de pénicilline G de façon progressive sur une période précise.
Une série donc qui permet de poser de nouveau un problème occulté par trop de personnes. Des points historiques à ne pas oublier comme l’apparition des giratoires, et surtout le recensement des « pédérastes » jusqu’en 1982 ( quelle horreur !)
Une série à voir plus pour le côté historique que pour le fond policier quasi inexistant.

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( 6 janvier, 2023 )

Critiques et mal-être

Nous vivons dans un monde terrible où la critique est reine, et surtout où le «  je sais tout, moi » est roi.
Tous ces intellectuels en culottes courtes fraîchement diplômés qui vous prennent de haut, toutes ces personnes pas si bien que cela dans leur peau qui lancent leur pic, consciemment ou non, pour eux se libérer de leur propre anxiété. Quand on a, comme moi, pris beaucoup de recul, on en sourit. Ce qui ne nous empêche nullement de nous en protéger en évitant de tomber dans ces pièges. Faites-y attention ! On retrouve cette perversion dans les réseaux sociaux et médias en tous genres qui ont augmenté l’autoflagellation. Trop gros, trop maigre, alimentation bio, pas bien de boire de l’alcool, de fumer, rapport à l’éducation : bon parent ou mauvais parent etc … Comme si lâcher un mot positif était difficile, allait écorcher la langue. Si on se met à écouter les autres, on ne fait jamais rien de bien ! Alors qu’à l’inverse, dans tout acte, il y a quelque chose de positif selon la façon dont on le regarde. Le négativisme est à bannir. C’est le poison de notre vie ! Ne jamais oublier que ceux qui sont de bonne volonté font le maximum pour faire le mieux possible. Ne jamais oublier que ceux qui critiquent le font rarement pour aider, mais pour se complaire dans un moule défini par notre société, car notre siècle fonctionne ainsi.
Soyez, soyons, plus intelligents !

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( 5 janvier, 2023 )

Harry & Megan

J’ai adoré ce documentaire mettant en avant le pouvoir des médias, le racisme envers cette superbe femme qu’est Megan. Il porte surtout à la réflexion : pourquoi les tabloïds ont-ils un tel pouvoir sur le monde, sur l’économie d’une nation. Comment au nom de la liberté d’expression peut-on écrire tout et n’importe quoi. On le voit, la Justice est impuissante, tout simplement parce que les mots restent des mots et non des faits. Que l’on ne se voile pas la face, même si c’est la monarchie qui est pointée du doigt, le pouvoir des journalistes est partout, détruisant des couples, des vies. Naïvement, je me demande toujours pourquoi au lieu de publier sans cesse scandales, cancans, mensonges, pourquoi les articles des journaux ne sont-ils pas emplis de pensées positives ! Il y a tant de causes justes à défendre, tant de belles choses à raconter, pourquoi les gens ne s’intéressent-ils qu’à ce qui est « moche » et négatif ?
Pour revenir à cette série documentaire, ce couple est vraiment très sympathique, avec un courage à saluer pour avoir choisi la voie du coeur.

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( 4 janvier, 2023 )

Le dry january

On en parle beaucoup ces jours-ci, du dry january. Ne buvant pas une goutte d’alcool, je ne peux que saluer une telle initiative, même si je ne suis pas convaincue de son utilité. La règle du Défi de janvier est simple : ne pas boire d’alcool à partir de l’heure de lever le 1er janvier, jusqu’à la fin du mois. C’est bien. C’est bon pour le corps. Seulement, les personnes trop portées sur l’alcool vont-elles vraiment le suivre ?
Je ne peux m’empêcher de penser à ma frangine qui fut si longtemps imbibée de ce poison jusqu’à y laisser sa vie. Rien ne pouvait la faire stopper malgré l’aide de médecins ou de son entourage. Elle pensait alcool, vivait alcool, dépensait alcool à tel point qu’elle transpirait alcool. Aurait-elle pu, même si elle l’aurait voulu, faire ce dry january ? La dépendance était si forte que j’en doute. J’ai toujours beaucoup de mal à admettre que dans notre société civilisée, on ne cherche pas des moyens pour réduire cette dépendance. Les psychiatres sont eux-mêmes impuissants. L’alcool est le sang qui coule dans leurs veines. Les cures de désintoxication n’aident qu’une poignée de personnes. Les autres replongent. L’alcool est alors bien plus qu’une habitude, c’est un moyen de survivre quitte à plonger dans les noirs abîmes. Le dry january n’est donc qu’un leurre, car si on réfléchit un peu, on saurait que notre cher pays, un des plus grands producteurs de vin au monde ne voudrait pas voir sa manne disparaître, même si c’est pour sauver des milliers de personnes. Savez-vous que 10% des français consomment chaque jour plus de deux verres d’alcool, comme une habitude même applaudie. Une habitude qui rapporte gros. Ce qui est effrayant, c’est que 24% sont des jeunes de moins de 25 ans depuis le covid.
Alors le dry january ? Peut-être simplement une façon de se donner bonne conscience !

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( 3 janvier, 2023 )

Musées, expos …

Dernièrement, une relation tentait de me convaincre qu’il était préférable de voir une exposition de peinture ou une visite de musée « en ligne » plutôt que de se déplacer pour les voir. J’avoue ne pas être une adepte des « visionnages » via Internet, n’ayant jamais ressenti l’émotion que j’ai pu avoir face à certains tableaux. Les couleurs, les lumières ne sont jamais rendues à l’identique. J’aime particulièrement les expositions de peinture commentées par des conférencières. J’y apprends toujours quelque chose, une nouvelle interprétation du tableau, une façon différente de la mienne de sentir la peinture.
Après, aimer ne veut pas dire pour autant abuser. Je ne dépasse pas deux expositions par mois afin de bien savourer celles qui en valent vraiment la peine et surtout parce qu’il faut bien le dire, ces visites ont un coût de plus en plus élevé. Après, pour ceux qui sont loin de Paris, cela reste certainement une bonne initiative !

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