( 21 mars, 2023 )

Les « péniblogirls »

On en connaît toutes une parmi nos relations de ces personnes centrées sur elles-mêmes, à tel point que leur unique sujet de conversation s’avère être leur petite personne. Il leur arrive toujours quelque chose, le moindre virus, c’est pour elles, le covid, elles l’ont eu un nombre incalculable de fois. Et je ne parle pas de la gastro, de la grippe. Quant à leurs amours, c’est toujours une histoire digne d’un polar avec moult rebondissements à tel point que l’on se demande si tout a réellement été vécu. Victimes de tout et de rien, j’en viens à me demander si au fond, ce n’est pas un mode d’être, une façon d’exister. Ces péniblogirls, elles seront toujours dans vos pattes à chouiner, à réclamer conseils et aide, qu’elles ne vont jamais écouter ! Vous les reconnaîtrez particulièrement par leur égoïsme à outrance caractérisé par une absence de réciprocité. Jamais elles ne vous demanderont de vos nouvelles, ou très rarement, et surtout au fond, elles n’en ont strictement rien à cirer de ce que vous pouvez vivre.
Comment s’en protéger ? C’est loin d’être facile, car elles s’accrochent à vous comme une huitre sur un rocher, tant qu’elles n’ont pas trouvé une autre oreille qui va les consoler. Ne vous faites surtout pas dévorer, car elles peuvent être très énergivores. Mettrez juste un peu de distance, doucement, sans violence, simplement pour vous retrouver. Et dans tous les cas, si vous ne voulez pas un jour devenir une péniblogirl, demandez toujours à votre interlocutrice comment il va, écoutez sa réponse, et évitez de monopoliser le temps que vous partagez. Une relation saine passe nécessairement par un moment de partage !

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( 20 mars, 2023 )

Pourquoi une flambée de dysfonctionnements en 2022 ?

Plusieurs études mondiales montrent une augmentation des dysfonctionnements thyroïdiens en particulier liés à des maladies auto-immunes comme Hashimoto ou Basedow au cours de l’année 2022. Un pic similaire, même si on a moins de statistiques, est à noter en 1987, année post Tchernobyl.
Pourtant, allez-vous me dire, nous n’avons pas eu en 2022 de catastrophe nucléaire ! C’est vrai, mais nous avons eu la pandémie. Il semblerait, supposition car il faudrait plus de recul, que le covid ou les vaccinations ARN en stimulant tous les anticorps du corps, finissent par se retourner contre la thyroïde.
À prendre avec des pincettes, car les spécialistes ne sont pas d’accord sur le sujet. Il n’en demeure pas moins que de nombreux nouveaux cas sont apparus, et notre association a ressenti également cet impact. Et puis, il faut également ajouter que le confinement fut également source d’anxiété, et a généré de nombreuses thyroïdites. Que d’appels et de sos, nous avons reçu durant ce confinement, en particulier le premier. Peur que les maladies thyroïdiennes prédisposent à un développement pessimiste du Covid-19. Il n’en fut heureusement rien.
Une maladie auto-immune est une pathologie au cours de laquelle le système immunitaire agresse ses propres constituants. L’impact du covid fut minime hormis pour un bon nombre concernant les anticorps tpo qui souvent, si testés, ont flambé. Par ailleurs, un malade de la thyroïde n’est pas immunodéprimé, ce que beaucoup ont cru, pathologie particulière traduisant un affaiblissement du système immunitaire (système de défense de l’organisme) et constituant un facteur d’exposition à d’autres maladies. Il s’agit donc à la fois d’une maladie et d’un facteur de risque. On parle également de déficit immunitaire.
Dans le cas de Basedow ou d’Hashimoto, les malades ont des anticorps qui fonctionnent trop, mais qui marchent. Dans le cas de l’immunodépression, il n’y a plus d’anticorps, donc pas de défense.

 Le risque d’attraper le Covid-19 fut similaire à la majorité des français que votre thyroïde soit défaillante ou non.
Contrairement à des dires, la fatigue thyroïdienne n’a nullement prédisposé à choper le virus, mais par contre l’organisme a dû se défendre contre lui et « activer » une thyroïdite. D’où une récupération plus longue, ce qui ne veut pas dire complications.
Que l’on se rassure, les maladies auto-immunes comme Hashimoto ou Basedow sont loin derrière des pathologies plus lourdes auto-immunes comme la sclérose en plaques. Il faut savoir que :  « Le COSV déclare que « près d’une personne sur dix atteintes d’une maladie auto-immune inflammatoire à médiation immunitaire ne développerait pas de réponse satisfaisante à la vaccination anti-Covid-19 ».
Est-ce la raison des nombreux retours d’inflammations de la thyroïde suite à la vaccination ?

Dans tous les cas, que l’on se rassure, les taux retournent à la normale quelques mois plus tard, quant aux nouveaux patients, nul ne saura s’ils doivent ce nouvel handicap invisible au covid, à la vaccination ou simplement au pur hasard … Il n’en demeure pas moins une grande fatigue persistante pour beaucoup !

Bon courage les papillons

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( 19 mars, 2023 )

Apprendre, c’est beaucoup raté !

 

Lorsque j’étais enseignante, j’aimais dire aux parents obnubilés par la sacro-Sainte réussite de leurs enfant, qu’apprendre, c’est beaucoup raté. Certes pour atteindre une réussite au bout du chemin, mais avant d’y arriver, cela peut-être compliqué. N’importe quel apprentissage ne se réussit pas en un claquement de doigts. Pour apprendre, il faut faire de nombreux essais, recommencer encore er encore, déchirer, détruire et surtout ne jamais rien lâcher. Peu importe le domaine ! Ce sera toujours pareil.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre. Il n’y a pas d’âge pour se tromper.
Pour revenir à mon dada, l’art, je dirais que chacun a en soi la fibre artistique, plus ou moins développée. Certains seront amoureux des couleurs, d’autres des formes, d’autres encore de la matière, peu importe. Certains sentiront mieux les œuvres abstraites, d’autres le réalisme.

Si on passe par contre au dessin pur, on doit impérativement passer par la case «  travail ». Pour apprendre, on va faire des brouillons, souvent des esquives ratées, qui vont finir en boule à la poubelle. Ce n’est pas un drame. Cela ne doit pas décourager. Il faut simplement se dire que ce sont des ratés qui finiront par porter leurs fruits.

Rater est au final une bénédiction, car on apprend beaucoup plus de nos erreurs ! Apprenez cela à vos enfants dès le plus jeune âge. Cela les aidera à réussir !

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( 18 mars, 2023 )

Créer des liens

Je suis une personne sociable, qui aime les autres. J’aime créer des liens. Je trouve que c’est extrêmement important. Pourquoi est-ce si important de créer des liens ? Peut-être parce que la phrase du Petit Prince résonne dans mes oreilles.
« - Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ?
- Tu n’es pas d’ici, dit le renard, que cherches-tu ?
- Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ?
- Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C’est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C’est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
- Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ?
- C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens… »
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde… »
J’ai toujours adoré le livre de Saint Exupéry, tellement magique, tellement fort, tellement puissant.
Créer des liens, c’est donner une vraie existence aux autres, c’est pouvoir leur dire : « Je suis là, si tu veux … »
Difficile pourtant, car une catégorie de personnes ne se contentent pas de créer ce lien, mais ils prennent ! Et prendre sans cette notion d’inter-échanges se révéler extrêmement dramatique.
Créons du lien pour mieux vivre ensemble. Créons du lien pour partager. Créons du lien pour apprendre à dire simplement je t’aime ( au sens pur) aux autres.

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( 17 mars, 2023 )

Pourquoi faire semblant ?

Trop de personnes se disent franches et authentiques, alors qu’elles portent en réalité un masque, celui qui les fait être bien vu dans notre société, en particulier celle des réseaux sociaux. Pourquoi faire semblant ? Ayant passé l’âge de la découverte de l’humain, je continue pourtant de me poser cette question, inéluctablement. Pourquoi faire semblant ? Est-ce pour mieux appâter le client comme on dit lorsque l’on a une page de ventes ou simplement est-ce un besoin illimité d’amour et de reconnaissance ?
Dernièrement, je me suis éloignée d’une personne qui se façonne une image positive et heureuse, honnête, alors qu’elle est loin d’avoir une énergie aussi lumineuse. J’en ai connu tout au long de ma carrière, familles ou collègues, des personnes masquées. Encore une fois, pourquoi ce besoin de faire semblant ?
La vie m’a appris qu’il faut rester honnête envers soi-même, toujours, ce qui ne veut pas dire pour autant balancer des mots agressifs ou des ressentis à tout va, sans avoir au préalablement mis de la distance entre ses émotions et les faits. Réagir trop impulsivement n’est jamais positif, car les mots restent et peuvent faire beaucoup de mal. Être « vrai », cela ne veut pas dire avoir le droit de dire ce que l’on pense tout le temps, ce n’est pas non plus jouer un rôle. Ne pas faire semblant, c’est savoir prendre de la distance quand il le faut, sans pour autant détruire l’autre, c’est respecter ceux qui ont l’expérience, qui sont plus âgés. Trop de personnes à vouloir paraître ce qu’elles ne sont pas, en viennent à perdre ceux sur qui elles auraient pu compter un jour …

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( 16 mars, 2023 )

Artiste un jour, artiste de nos vies

Nous sommes tous des artistes, les artistes de nos vies. Nous peignons le monde avec nos émotions afin d’y mettre de la couleur, de la vie. Sur une toile, les artistes réinventent la réalité, ils la subliment. Ils font d’une simple toile blanche un tableau magnifique.
Nous sommes tous des artistes, nous donnons la vie, nous créons un avenir dont les gestes, les œuvres, les mots sont de vraies lumières qui nous remplissent de joie à chaque minute.
Ces jours-ci, je côtoie de nombreux artistes, de tout, ceux qui ont le melon et qui me font rire, ceux qui sont dans l’ombre et dont les toiles explosent de lumière, ceux qui débutent et qui n’osent pas.
En art, on est toujours un débutant, même ceux qui ont la tête bourrée d’orgueil. Il y aura toujours meilleur que soi, simplement parce que chacun a un ressenti différent, une sensation autre. Un tableau touchera un visiteur lors d’une exposition et mettra un autre mal à l’aise. C’est ce qui est formidable, car chacun a sa chance. Ce que je trouve fantastique dans l’art, c’est qu’il n’y a pas de barrière, de limite. Des artistes vont barbouiller une toile sans mettre de formes hormis leurs émotions, d’autres vont dessiner pour se rapprocher le plus possible de « la réalité ». Peu importe au final. L’important reste ce qui va toucher !
Artisans de nos vies, nous le sommes tous. Artistes, également …

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( 15 mars, 2023 )

Ces mots qui poussent au pire

De plus en plus de jeunes sont poussés à une situation extrême, jusqu’à le point de non-retour. Poussés par ces mots dits trop vite par des ados boutonneux. Terrible société. Avant les moqueries se crachaient dans la cour de récré, aujourd’hui, cela reste en mode public sur les réseaux sociaux. Les mots vont enfermer, vont scléroser, vont détruire de l’intérieur. Pour les adultes, c’est la même chose, les douleurs sont les mêmes. Elles saignent. Seulement, si un adulte a forgé depuis des années sa carapace, alors qu’un gosse prendra tout dans la figure. J’ai la chair de poule à chaque fois que j’entends dans les faits divers le suicide d’un jeune. Les larmes me montent systématiquement aux yeux. Une vie détruite, gâchée.
Ces mots qui poussent au pire devraient être évités, tout comme aucunes de ces jeunes vies ne devraient pas être écourtées.

( 14 mars, 2023 )

Charlatans et brouteurs

Quelle plaie sur les réseaux sociaux cette avalanche de charlatans ou brouteurs en tous genres. Et un qui vous promet une perte miraculeuse de kilos en un claquement de doigts ( si c’était possible, cela se saurait) ou cette tisane merveilleuse qui va vous sauver la vie. Attention, je n’ai rien contre les plantes ! Mais de là à faire des miracles ! Faut-il parler de toutes ces voyances en ligne qui ne sont au final que d’excellents psychologues, mais rien de plus, juste là pour vous faire croire ce que vous avez envie de croire. Il en va de même pour de nombreuses thérapies à distance, reiki, massage énergétique …. Il faut rester lucide ! Si cela fait du bien à certains, tant mieux, mais pour moi, cela reste des charlatans qui s’empochent une somme rondelette non déclarée chaque mois. Autant, je crois au vieux rebouteux du fin fond du Berry dont les mains « coupent » le feu. Je l’ai vécue. Enfant, j’ai fait une chute à vélo, visage complètement écrasé contre le sol. Ma grand-mère affolée m’a emmenée chez le médecin qui lui a dit que je serai défigurée, que la croûte allait mettre six semaines à tomber. J’avais dix ans. Je n’ai jamais vu ma mémé avoir si peur ! Seulement, mes parents revenaient me chercher dix jours plus tard. Comment leur annoncer que leur fille allait porter une cicatrice à vie ? La chance a voulu que nous étions dans le Berry, et que le bouche à oreilles a fonctionné. Je me souviens de cet homme, ordinaire, âgé selon mon regard de gosse, qui a posé ses mains sur mon visage du côté gauche où j’avais frappé le sol. Je me souviens de la douleur, encore cinquante ans après, ses mains me brûlaient comme un fer rouge. Deux jours plus tard, la croûte est tombée, je n’avais aucune trace. Ma mère ne l’a jamais su.
Il y a de vraies personnes avec de vrais dons qui exercent bénévolement sans demander de l’argent. Mais lorsque l’argent s’en mêle ou que ces charlatans exercent à la chaîne, il faut se poser des questions !

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( 13 mars, 2023 )

Dysfonctionnements thyroïdiens et les autres

Il faut bien l’avouer, côtoyer un malade avec un dysfonctionnement thyroïdien n’est pas toujours simple.
La plupart de ces dysfonctionnements agissent sur l’humeur. Même si le malade est en souffrance, ce ne sera pas facile à vivre. Trop souvent, l’entourage subira des remarques acides ou les réactions parfois pires que du vitriol. L’agressivité est très fréquente avec Basedow ou en hyperthyroïdie pouvant même être parfois violente. Ces réactions sont très difficiles à maîtriser en début de maladie et on imagine fort bien la personne, qui avant était toute douce, se transformer en dragon ! La cohabitation avec des collègues de travail sera compliquée, surtout que ces sautes d’humeur s’accompagnent souvent de fatigue récurrente. Le malade va réagir au quart de tour, sans réfléchir, répondant du tac au tac à une remarque pas nécessairement malveillante. Les autres ne comprennent pas, ne veulent pas non plus faire l’effort de comprendre. Vous êtes debout, avec une bonne mine parce que les kilos pris ont cet effet, alors pourquoi traînez-vous tant des pieds ? Pourquoi êtes-vous si agressives ?
Reprenons Basedow par exemple, réputé pour avoir en son sein des malades extrêmement agressifs, qui pensent que l’on peut tout dire et faire mal. C’est faux. Il faut apprendre avec cette maladie à mesurer son agressivité, prendre conscience que l’on ne peut pas tout dire même si cela fait du bien. Certains se cachent derrière leur maladie de cette façon, en n’hésitant pas à mettre en avant leur franchise. Vivre avec les autres c’est autant faire en sorte qu’ils acceptent nos dysfonctionnements thyroïdiens que l’inverse. J’aime donner en exemple une maman d’élèves qui a passé tout le premi trimestre à l’épique pour s’énerver de tout et de rien. Lors de la remise des livrets, elle m’a avoué être fatiguée avec des problèmes intestinaux, une perte de poids. J’ai immédiatement pensé à Basedow ou à une hyperthyroïdie. Bingo ! Malheureusement, des malades diagnostiqués ne veulent pas toujours entendre et c’est regrettable, car ils pourrissent la vie des autres.
Trop souvent, à un dysfonctionnement thyroïdien s’ajoute un état négatif possible voire dépressif.
La dépression, facteur que l’on retrouve dans 60% des dysfonctionnements thyroïdiens et qui malheureusement sont souvent soignés à coup d’antidépresseurs qui ne vont faire l’objet que de simples pansements. Le déprimé ou le dépressif peut vite faire subir à son entourage un enfer avec des pensées négatives, s’enfonçant dans une boucle sans fin. On retrouvera en particulier en hyperthyroïdie et avec Basedow, une anxiété pathologique liée à un trop peu d’hormones de la thyroïde.
Pour tous les autres dysfonctionnements, en particulier Hashimoto, on verra régulièrement une émotivité extrême, avec les larmes aux yeux fréquentes. Terrible de se retrouver à pleurer comme une madeleine alors que l’on ne veut pas montrer sa sensibilité. Une apathie totale avec manque de combativité.
Côtoyer une personne avec un dysfonctionnement thyroïdien, c’est accepter de se heurter à des troubles de l’attention ou cognitifs. Pas simple, car cela signifie travailler par exemple avec une personne qui a beaucoup de mal à aller vite, à réfléchir sur le long terme. Cela énerve !
On pourrait également parler des problèmes thyroïdiens et la vie de couple. Très difficile ! Le couple va devoir s’adapter à cette fatigue, et surtout survivre aux troubles de « l’humeur sexuelle », extrêmement fréquents. Trop de couples sont détruits simplement à cause de cette maudite thyroïde qui un jour a tout changé ? Des hommes qui ne supportent plus la suspicion de leurs compagnes ou leurs sautes d’humeur, des phrases dites trop vite, des crises de colère sans sens.

Encore une fois, il est important que les malades soient compris, entendus, mais que eux-mêmes prennent également conscience du mal fait parfois involontairement aux autres. Il faut que le réalité brute soit dite.
Peut-être ainsi, le malade supportera-t-il plus facilement sa maladie ?
Ensemble, les papillons !

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( 12 mars, 2023 )

Salons et expos

J’aime beaucoup les salons du bien-être comme Chrysalide, ou les expositions de peinture. J’aime me promener dans les allées, prendre les flyers, m’attarder sur les stands de lithothérapie par exemple afin de regarder les pierres, les sentir. Parfois, il m’est arrivé de découvrir une nouvelle thérapie inconnue, d’autres beaucoup moins sérieuses, des charlatans également que je sens immédiatement. Mais c’est tellement amusant ! Dans les expos artistiques, cela permet, outre le fait d’exposer modestement, de trouver de nouvelles idées pour une future toile ou simplement de passer avec mon chéri un bon moment !
Au passage magnifique expo à VSO que je conseille !

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