( 10 mai, 2023 )

Citation du jour

Juste une citation aujourd’hui …

 « Si tu cherches un trésor, il faut le chercher dans les endroits les moins visibles. Ne cherche pas dans les paroles des gens, tu ne trouveras que du vent. Cherche au fond de l’âme de celui qui sait parler aux silences. »

Alda Merini

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( 9 mai, 2023 )

Comment aborder l’échec ?

L’échec fait partie de la vie, pire, il sert à grandir. L’échec permet de rebondir. Il est important de bien comprendre que tout le monde échoue, tout le monde se trompe, tout le monde fait des erreurs. Personne ne peut vivre sans avoir un jour croisé l’échec. Il faut aborder l’échec en le regardant droit dans les yeux, en essayant de comprendre, de l’accepter. Il faut se dire que l’échec n’est qu’une simple étape dans la réalisation d’un projet, c’est de les laisser s’inviter, et de ne pas leur donner l’importance qu’ils n’ont pas.
Il est important de se reconstruire après l’échec, d’en faire une force. Et surtout de ne jamais abandonner !

( 8 mai, 2023 )

Les maladies auto-immunes de la thyroïde

Qu’est-ce qu’une maladie auto-immune ? Une maladie auto-immune résulte d’un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s’attaquer aux constituants normaux de l’organisme.

Elles sont de deux sortes : la maladie d’Hashimoto et la maladie de Basedow.
La maladie d’Hashimoto, le système immunitaire développe des anticorps contre ses propres cellules thyroïdiennes. On observe une incapacité de la glande à produire suffisamment d’hormones, conduisant à une hypothyroïdie. Les symptômes principaux sont une fatigue, une faiblesse musculaire, une modification du poids, un goitre. Seuls des tests sanguins vont pouvoir affirmer dans la majorité des cas, la présence d’anticorps permettant un diagnostic précis. Le traitement consiste à donner pour de nombreux malades une hormone de substitution à vie.
Reprenons donc les différents symptômes.
L’hypothyroïdie incite les organes à fonctionner au ralenti par manque d’hormones thyroïdiennes tandis que l’hyperthyroïdie fera fonctionner l’organisme en mode accéléré.
La fatigue est le premier symptôme d’un problème de thyroïde, aussi bien en hypothyroïdie qu’en hyper même si, dans ce dernier cas, de nombreux malades ont une première phase d’hyperexcitation, voire de grande forme. L’asthénie va vite apparaître, et se retrouve dans 99 % des cas.
La plupart des malades présentent une frilosité anormale, une peau est sèche, jaunie, voire grisâtre. Des symptômes de bradycardie (rythme cardiaque au repos en dessous de la normale), ce qui n’est pourtant pas général. De nombreux malades en hypothyroïdie signalent des battements du cœur violents. On trouvera des cheveux secs, cassants, qui tomberont. Le visage sera souvent gonflé, surtout autour des yeux et du menton et les traits s’épaississent, les ongles peuvent se strier, devenir mous, puis se casser et les sourcils se raréfier.
En cas d’hypothyroïdie, le malade pourra être dépressif, irritable, nerveux, très instable émotionnellement. Il pourra pleurer sans raison, être plus sensible, prendre tout à cœur. « r. Ceci restant variable pour chacun. Le poids reste le problème majeur puisque la grande majorité des cas verront leur poids grimper malgré une alimentation normale, le corps gonfler. On observe, également parfois, une hypoglycémie, car le foie se dérègle, et une hypercholestérolémie peut survenir. La fonction sexuelle est presque toujours affectée par l’hypothyroïdie. Chez les femmes comme les hommes non traités, la libido s’effondre, ils souffrent d’un manque de désir et de satisfaction. On peut constater aussi des troubles menstruels, avec des règles se rallongent, hémorragiques, et les seins fibrokystiques, des difficultés de procréation. La mémoire aussi sera touchée, en particulier la mémoire à court terme, ainsi que des problèmes de concentration qui peuvent se coupler à un raisonnement plus lent et à l’impression d’avoir le cerveau dans le brouillard. Une élocution plus lente se remarque également dans la majorité des cas d’hypothyroïdie. C’est même une des manières, avec le temps, de pallier une crise, en reprenant rapidement ces symptômes. L’articulation des mots devient de plus en plus difficile, on trébuche sur les phrases et l’on finit par marmonner. C’est la conséquence d’un apport insuffisant en « hormones thyroïdiennes qui ralentit le fonctionnement du cerveau. L’hypothyroïdie peut aussi générer des problèmes de digestion, de constipation, de gaz accompagnés d’une dilatation abdominale. Le corps souffrant de ces multiples dérèglements, on assiste à des soucis au niveau des muscles, des articulations et des ligaments. Le corps commence à se raidir, on constate des troubles de la coordination et des vertiges. Ces handicaps sont dus à l’accumulation de liquide dans les muscles, ligaments et tissus, ce qui fait que les déchets et toxines y stagnent. Les nerfs sont, eux aussi, atteints par une circulation sanguine diminuée. Des sensations d’engourdissement et de picotements apparaissent. Le syndrome du canal carpien apparaît dans de nombreux cas d’hypothyroïdie. Une fois encore, nous ne le dirons jamais assez, cette maladie invisible, même si elle n’est pas mortelle, n’est pas facile à vivre. 

La maladie de Basedow doit son nom à Carl von Basedow. En 1840, il fut le premier Allemand à décrire une hyperfonction de la thyroïde. C’est une maladie auto-immune de la thyroïde dans laquelle le malade va développer des anticorps contre lui-même. La conséquence de cette pathologie est une production très importante d’hormones thyroïdiennes causant une augmentation de taille de la glande et une hyperthyroïdie (augmentation du taux d’hormones thyroïdiennes dans l’organisme). C’est pour cette raison que Basedow est majoritairement associé à une hyperthyroïdie. La maladie de Basedow est détectée biologiquement par une prise de sang qui vise à doser les hormones thyroïdiennes et détecter la présence d’anticorps. On peut aussi recourir à l’imagerie, par le biais d’une échographie ou parfois d’une scintigraphie, examen permettant d’observer la fixation d’iode sur la thyroïde. La maladie de Basedow est à l’origine de plus de 60% des hyperthyroïdies. Cette maladie auto-immune touche principalement les femmes. Au cours de cette maladie auto-immune, le système immunitaire va produire des anticorps dirigés contre la thyroïde. Ces derniers vont stimuler de manière trop importante la glande, qui va alors produire des hormones en trop grandes quantités. Ce qui distingue cette maladie des autres formes d’hyperthyroïdie est son irrégularité. Des phases de poussées et de rémissions s’alternent de façon imprévisible. Les hormones fabriquées par la thyroïde permettent de réguler le rythme cardiaque, les cycles menstruels ou encore la consommation de calories ou d’oxygène par les cellules. En ce sens, une surproduction de ces hormones entraîne de nombreuses conséquences, comme si le corps était en surrégime.

Extrait de maladies thyroïdiennes dévoreuses de vie ( en vente sur Amazon)

Ces deux dysfonctionnements sont de vrais handicaps et amènent beaucoup de souffrance.

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( 7 mai, 2023 )

Trouver un style qui nous ressemble …

Au début où l’on peint, on « obéit » aux règles académiques, aux directives des profs, en clair, on apprend. C’est un passage obligé, et puis, petit à petit, coups de pinceaux après coups de pinceaux, on commence à « sentir » ce qui nous plaît vraiment et peu importe que ce soit ou non dans l’air du temps, on se laisse glisser dans l’ivresse des couleurs. Dernièrement, une personne me demandait si un artiste restait toujours sur le même style, dans les mêmes couleurs. Bien sûr, on pense évidemment à Mirõ et ses bleus, mais il est bon de savoir que de nombreux tableaux de ce peintre ne sont pas bleus.
Peint-on une couleur qui correspond à nos émotions ? Pas obligatoirement. Personnellement, j’ai longtemps utilisé majoritairement du jeune et du rouge ( alors que je déteste le rouge). Depuis quelques temps, mon pinceau s’est tourne plus fréquemment vers les bleus. Cela ne veut pas dire que j’ai l’âme plus spirituelle actuellement, simplement j’ai découvert la force vibratoire d’une palette de bleus. Je crois que j’aimerais essayer l’ultra coloré juste pour éviter que l’on me colle un style précis ! :) :) :)
Trouver un style qui nous ressemble est primordial pour se sentir en accord avec nos créations.

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( 6 mai, 2023 )

Alternance et apprentissage

De nombreuses primes sont versées aux entreprises pour aider à l’embauche de jeunes en alternance, pas assez semble-t-il lorsque l’on constate la difficulté que ces jeunes ont de trouver une entreprise. Ils ont beau avoir franchi avec brio les concours parfois très ardus, inscriptions à ces examens payantes, ils ont beau avoir un dossier en béton, ils se heurtent de plein fouet à des non réponses de job !
Je suis scandalisée, moi l’ancienne enseignante qui a toujours prôné les études pour tous, de constater que si vous voulez franchir la barrière du bac plus deux, hors circuit universitaire, vous vous retrouvez, sauf si vous avez les moyens, face à un mur. Les entreprises ne recrutent en alternance que sur connaissance ! C’est moche quand on a un travail bien éloigné du secteur recherché !
Faire des lois pour soit disant sauver la retraite des jeunes, je veux bien, mais si on ne m’offre pas à ces jeunes l’opportunité de réaliser leurs rêves, surtout quand ce sont des jeunes motivés et bosseurs, je dis qu’il y a un vrai problème dans notre société !
En tous les cas, si vous avez des connaissances dans le secteur robotique systèmes embarqués, un petit coup de main, ce serait drôlement chouette, car on cherche depuis janvier !

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( 5 mai, 2023 )

Qu’est-ce que le bonheur ?

« Il est où le bonheur, il est où ? » Comme le dit si bien les chansons, tout le monde le veut le bonheur, tout le monde le cherche, mais au fond, personne ne sait vraiment ce qu’il est. J’ai envie de dire, le bonheur, c’est simplement ce qui vous rend heureux. C’est pour cette raison que le bonheur se trouve partout, qu’il est différent pour chacun, et surtout différent à chaque âge. Plus on prend des années et plus le bonheur s’assimile à une sérénité, une paix intérieure. Si vous interrogez des jeunes, pour eux, le bonheur sera synonyme d’argent, de fêtes, de délires, tandis qu’à la trentaine, il sera lié au travail, à la famille , aux voyages etc Chaque âge a sa conception du bonheur.
Le bonheur, au fond, ce n’est pas ce qui nous arrive, mais l’interprétation que nous faisons de tous les pseudos petits bonheurs que nous vivons. Notre société a plutôt tendance à pointer du doigt ce qui ne va pas, les guerres, les pandémies, les problèmes économiques, ce qui est très loin du concept du bonheur. Résultat, nous ne prenons pas conscience de notre bonheur, tellement asphyxiés par les informations récurrentes négatives.
Et pourtant, le bonheur, comme le chante Christophe Maé, « Il est là. », il suffit de bien écouter, de bien regarder, d’admirer le printemps qui bourgeonne, les fruits qui commencent à pousser. Le bonheur est ce que nous en faisons de chacune de nos secondes de vie.

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( 4 mai, 2023 )

Le plaisir du cinéma

Depuis toujours, je suis une grande adepte des salles obscures. J’aime ces pauses-cinéma hors du temps où tout s’arrête le temps d’un film. Lors du Covid, j’avais stoppé ce plaisir. Les mesures étaient devenues tellement drastiques. Par facilité, je m’étais tournée vers les films sur Netflix, mais pour une inconditionnelle comme moi, cela n’avait pas la saveur des salles de cinéma. Depuis quelques mois, ayant découvert un cinéma de quartier très sympa et à petits prix, je me régale ! Car il faut bien le reconnaître, une place de cinéma reste chère, trop chère pour la plupart des familles. Tout comme les entrées aux musées au passage. J’ai de plus en plus l’impression que la Culture, tout le monde « s’en fout » ! À cela on me rétorque que maintenant on peut voir un film sur son smarthphone ou visiter un musée virtuel.
Autant pendant la pandémie, ce fut une excellente chose, autant maintenant, il est temps de retourner dans le vrai monde ! Et voir un film grand spectacle sur écran géant, c’est tout de même mieux que sur sa télé, même si ces dernières sont de plus en plus performantes !

( 3 mai, 2023 )

Maladies thyroïdiennes : tu as dit fatigue ?

Ah cette fatigue que connaissent toutes les personnes sujettes à un dysfonctionnement thyroïdien ! Cette fatigue persistante, imprévisible, qui survient toujours quand on ne l’attend pas. Cette fatigue réellement handicapante. Je ne comprends toujours pas au jour d’aujourd’hui pourquoi ces maladies thyroïdiennes, en dehors des cancers thyroïdiens, et encore pas tous, ne sont pas reconnues par le ministère de la santé. Des maladies invisibles comme la fibromyalgie sont, elles, reconnues et de ce fait comprises, ayant même un jour qui leur sont dédiées, des émissions de télé consacrées, voire des gens du spectacle qui en parlent. Ce n’est pas le cas pour les maladies thyroïdiennes, et pourtant il en existe des dysfonctionnements comme la maladie d’Hashimoto, la maladie de Basedow, les dérèglements liés à des suites de couches, à des grossesses, les problèmes de naissance sans thyroïde etc
Trop longtemps, on a attribué ces dysfonctionnements spécifiquement aux femmes, alors qu’il n’en est rien et que le nombre d’hommes est en augmentation constante. Il est même très important de souligner que le diagnostic d’un dysfonctionnement thyroïdien chez un homme est très souvent détecté très tardivement.
De nombreux témoignages montrent des licenciements abusifs liés à cette fatigue. Notre société n’accepte pas la fatigue au travail. Si on a deux jambes qui fonctionnent, on doit, on peut, aller travailler sans se plaindre.
J’ai entendu dernièrement que l’endométriose par exemple était une maladie enfin reconnue à laquelle des jours vont être octroyés aux femmes en souffrance, je m’interroge donc : pourquoi n’en est-il pas de même pour une maladie thyroïdienne ?
Une fois encore, il faut bien le dire un dysfonctionnement thyroïdien ne se voit pas. La personne en général a plutôt bonne mine. Tous ses symptômes sont invisibles. Et même si elle se permet d’en parler, nombreux sont ceux qui vont lui rétorquer que ce n’est pas bien grave. Mais qui peut juger de la gravité d’une souffrance ?
Prenons l’exemple de la mémoire qui se retrouve souvent altérée en hypothyroïdie. Comment expliquer à une personne inconnue, un professeur à l’université, un patron, que soudain, même si on a un âge qui n’est pas celui de la sénilité, on a énormément de mal à retenir une information, à la restituer, à se souvenir, même de ce que l’on nous a dit la veille. Comment faire comprendre que ce n’est pas de la mauvaise volonté, que l’on ne le fait pas exprès, que c’est lié à cette petite glande méconnue nommée thyroïde ?
Dernièrement au centre commercial, une jeune femme d’une trentaine d’années était bloquée devant son code bancaire. Fondant en larmes, elle regarde la caissière et lui dit : je viens d’être diagnostiquée Hashimoto. Je n’arrive plus à me souvenir !
Étant positionnée derrière elle, je lui dis de bien respirer, de faire le vide et le code allait revenir, ce qui fut le cas. J’en ai profité pour expliquer à la caissière abasourdie ce qu’était cette maladie qui effectivement ne se voyait pas sur les traits de cette jeune femme. Mais combien de personnes osent vraiment en parler ?
Une adhérente de l’association l’envol du papillon m’écrivait récemment qu’elle avait honte d’être malade ! Que sa famille la traitait de folle !
Cela fera peut-être sourire certains mais n’oublions pas qu’au siècle dernier les problèmes de thyroïde n’étaient pas soignés et souvent les malades étaient déclarés « crétins ». De nos jours, le regard est plus subtil, mais il n’en est pas plus bienveillant ( malheureusement !)
Pour en revenir à la fatigue, pour ceux qui ne l’ont pas vécue, c’est une fatigue particulière. Comme si on avait subitement coupé le bouton énergie. On se sent vide dès le lever, avec le corps lourd, parfois douloureux. De nombreuses personnes connaissent la fatigue en fin de journée après avoir travaillé. Là avec un problème de thyroïde, c’est autre chose. Le malade a dormi et pourtant il n’est pas en forme et il ne le sera pas de toute la journée. Il est important que l’on parle de cette fatigue, de ces pathologies, car vous qui n’êtes peut-être pas concernés, imaginez un seul instant la vie d’une jeune maman de plusieurs enfants qui en plus de la fatigue que tout le monde a, se retrouve en plus avec ce surplus, imaginez votre collègue infirmière ou aide-soignante qui doit être au taquet, qui essaie, mais qui n’en peut plus, imaginez l’enseignante de vos enfants qui victime de cette maladie n’arrive plus à se concentrer et à faire un programme correct, et ce chauffeur de taxi qui peine à conduire « vite » un client, même ce médecin qui doit réfléchir longuement sur un cas, n’arrivant plus à ordonner ses idées. Nous ne sommes pas dans une série télé et ces exemples ont tous existé.
Alors, il faut en parler ! Pourquoi les magazines de Santé ne parlent-ils que des cancers thyroïdiens ( et encore, vite fait et sans parler des conséquences des ablations) ou du problème des traitements ? Pourquoi personne ne parle des malades ?
Personnellement, j’ai souvent envoyé des articles à ces enseignes sans aucune réponse.
Qui peut alerter si on nous refuse le droit à la fatigue ?

Ensemble, les papillons, ne lâchons rien !

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( 2 mai, 2023 )

Mes lectures d’avril 2023

J’ai moins lu ce mois-ci, mais heureusement, je suis tombée dans l’ensemble sur de très bons livres récemment sortis. Un mois de pur plaisir lecture !

PRÉCIPICE de Céline Denjean
Michel Lafon
5/5
Coup de ❤️
Excellent livre ! J’ai immédiatement accroché à ce polar bien écrit et bien rythmé, dont l’intrigue tient en haleine, même si j’ai vite deviné qui était le tueur, cela n’a aucune incidence sur la lecture. L’auteure parsème des tonnes de détails, des minis rebondissements. L’intrigue est bien menée jusqu’à la fin, les personnages bien campés. Un vrai plaisir !
*****
Un œil dans la nuit de Bernard Minier
XO éditions
5/5
Coup de ❤️
Quel bonheur de retrouver un nouveau Servaz. Je suis totalement fan de ce personnage, de ses ambivalences, de ses émotions. Et comme d’habitude, l’auteur ne m’a nullement déçu en flirtant avec le monde du cinéma d’horreur, celui où le fil du rasoir n’est pas éloigné. Je n’en dirai pas plus, sauf vivement le prochain, parce qu’il y aura un prochain !
*****
L’énigme de la Stuga de Camilla GREBE
Calmann Levy
5 étoiles
Une histoire bien construite, un drame à la connotation bien spéciale, un livre qui ne se lâche pas. Dommage que j’ai deviné très vite « le dénouement », mais cela reste un excellent thriller. Un bon cru « Grebe ».
****
L’HALLALI de Nicolas LEBEL
Le masque
3/5
J’ai choisi ce livre suite à des commentaires encensant l’auteur, et je fus bien déçue ! Déjà, je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire avant une quarantaine de pages, puis le contenu ne m’a pas convaincu. Peut-être aurais-je dû lire les précédents, car même les personnages ne m’ont pas vraiment attiré.
Après, c’est un roman bien écrit, qui ferait une bonne série télé vu tous les clichés utilisés.
****
Un Hiver Meurtrier Franck ESPOSITO
Dès les premières lignes, on plonge en plein dans un meurtre, celui d’une call-girl, ÉlisaTruffaut
issue de milieux aisés. L’enquête, diablement bien ficelée, est conduite par le lieutenant Costa, une policière aussi ingénieuse que jolie. Divers personnages vont graviter autour de cette intrigue. J’ai bien aimé celui de Steiner, un personnage bien dessiné, que l’on a presque envie de rencontrer, tout comme son délicieux café. La jeune enquêtrice va devra nous emporter dans une enquête bien tordue comme je les aime, avec des pièges, des trahisons, des chemins détournés, en clair, idéal pour se creuser un peu les méninges !
Un bon petit polar idéal pour les futures vacances d’été !
****
Les cartographes de Peng Shepherd
Albin Michel
Coup de ❤️
J’ai adoré ce livre. !
Un livre passionnant, original, teinté de magie, extrêmement bien documenté, un livre sur les Cartographes, avec pour philosophie, l’acte même de dessiner la carte, réelle pour en faire quelque chose qui ne l’est pas et son lien avec ces actes qui vont déterminer nos existences ou pas et ce que l’on va en faire. Malgré les presque 500 pages, je ne me suis pas ennuyée une seconde. Un roman qui sort vraiment du lot. !
****
IN VINO VERITAS de Magali Coller et Isabelle Villain
Taurnada éditions

Tout d’abord je tiens à remercier Joël de Taurnada éditions pour son SP ainsi que les auteures. J’étais curieuse de lire ce thriller écrit à quatre mains. C’est un bon livre avec une histoire qui tient bien la route.
L’assassinat de Aurélie l’épouse de Mathias, gendarme, lors d’un vernissage. Commence alors une enquête où de mêlent les trahisons de jeunesse, les mensonges d’adultes.
Le début du livre qui commence fort, qui dès les premières pages nous projettent dans l’insoutenable. Après l’écriture est très calme, un peu trop à mon goût, mais l’analyse des personnages reste intéressante. On s’attache en particulier à Fanny, l’enquêtrice et proche de son collègue Mathias. Pas de surprise pour le dénouement que j’avais vu venir depuis la moitié du roman.
Cela reste un bon polar à lire cet été en vacances.
****

J’ai commencé mais pas accroché… :

La secte des oubliés de Karin Slaughter
J’aimais sa série avec Will mais ce nouveau personnage de Marshall ne m’a pas convaincu

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( 1 mai, 2023 )

Je vous souhaite tout le bonheur du monde

Cette année, le muguet n’a pas eu le temps de fleurir dans mon jardin. Dommage, il est tellement cher dans le commerce. J’ai tout de même mon pot, que je replanterai !
En tous les cas, même si c’est la fête du travail, les manifestations, je me contenterai juste de vous souhaiter tout le bonheur du monde, parce qu’un peu de bonheur, par ces temps qui courent, et bien cela ne fait pas de mal !
Bon 1er mai à tous …

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