Être grand-parent, une sacrée histoire !
Les magazines, les réseaux sociaux regorgent d’articles sur l’art d’être une bonne grand-mère, comme si c’était indispensable de se fondre dans le moule défini par notre société.
En soi, devenir grand-mère est une étape importante. J’avais cinquante ans lorsque ma première petite-fille est née. Ce fut une expérience merveilleuse partagée entre bonheur et appréhension. car, il faut bien le dire, hormis la naissance de nos propres enfants, il n’y a pas de plus grand bonheur. De nos jours, être grand-parent, c’est souvent un soutien pour les enfants, en particulier durant les vacances.
En dehors du côté que je dirais pratique, je trouve que le rôle d’une grand-mère ( ou d’un grand-père) est primordial. Souvent élevées à l’ancienne, elles sont garantes d’un équilibre et d’une morale, qui se perdent de plus en plus. Elles ont un rôle important concernant les valeurs. Après, il faut remettre ce rôle dans l’air du temps. Les grands-parents, de nos jours, ne sont plus des vieillards, mais des personnes encore jeunes, avec de nombreuses activités, et surtout qui ne vivent pas exclusivement pour leurs petits-enfants.
J’adore mes petits-enfants, mais j’avoue qu’avec mon mari, nous les appelons communément , les « Chic-Ouf », mais qu’est-ce qu’on les aime ces « Chic-Ouf »
Je ne suis pas encore grand-mère, mais j’ai hâte!
Ceci dit, je comprends tout à fait le « chic/ouf ».
Lorsque je garde mes petites nièces, je vois débouler les deux tornades et je finis la journée lessivée! ^^
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