( 17 avril, 2023 )

Maladies thyroïdiennes et le mental

Avoir un mental de résistant, c’est une expression très à la mode, seulement, c’est loin d’être si simple dans la réalité lorsque la thyroïde se met à jouer des tours. Très souvent, on assiste à des comportements de type bipolaire, avec des crises de larmes par moment, des fous rires, des mots parfois qui dépassent la pensée. De nombreuses malades se heurtent ainsi à la famille ou aux collègues de travail qui ne comprennent pas. Côtoyer une personne qui fonctionne comme une pile électrique ou à l’inverse qui ronge son frein en broyant du noir, n’est jamais très facile. Surtout si le malade est soit disant «  bien dosé ». Il va alors passer aux yeux des autres pour un dingue, voire un maniaco-dépressif. Là encore, on va se heurter à une réalité, celle du regard des autres, celle de la non-acceptation de leur douleur.
Très fréquemment, le blues post-partum se mélange très souvent avec un dérèglement thyroïdien.
Il existe même des thyroïdites post-partum qui surviennent quelques mois après l’accouchement, accentuant le baby blues. Toute femme peut se trouver toucher par une dépression post-partum, mais si en plus, la thyroïde joue des tours, il ne faut surtout pas la négliger. ( ce qui malheureusement est souvent le cas)
Il est important de bien écouter son corps, je le dis et le redis. Aucun spécialiste ne le fera à votre place, tout comme aucune personne de votre entourage. Vous êtes les seuls à savoir ce qui est vraiment bon pour vous. N’hésitez pas à noter sur un carnet toutes vos fluctuations. Un changement dans le mental peut avoir mille raisons, dont un stress, un deuil, un problème familial, mais également un problème de thyroïde. Le stress tout de même reste un des gros problèmes pouvant troubler le mental, aggraver des dysfonctionnements thyroïdiens. Lorsque le mental en prend un coup, le corps trinque. Il est donc primordial de gérer au maximum son stress pour éviter les fluctuations dont on parle plus haut, nuisibles pour la thyroïde.
Outre le problème du changement d’humeur, de nombreux malades de la thyroïde souffrent de crises d’angoisse, dont beaucoup se manifestent la nuit. Ces angoisses naissent aussi bien chez les malades atteints d’une maladie auto-immune, une ablation, un cancer, peu importe. Ces angoisses sont là.
De nombreuses études étrangères sont formelles, l’anxiété est intimement liée à la thyroïde, en général à une inflammation de cette glande.
Un rien va dérégler cette thyroïde et son équilibre précaire, ce fut le cas en particulier lors de l’affaire du Levothyrox, et du changement de molécules qui a provoqué de gros troubles.
De nombreux médecins préfèrent prescrire des petits cachets roses lorsqu’un malade arrive avec une baisse du moral même si cela s’accompagne de troubles divers comme prise de poids et fatigue. Le verdict sera tranchant ! Déprime. Dépression. Un mot à la mode. Facile, trop facile. Et hop, un traitement fera l’affaire, une ordonnance d’antidépresseurs ou d’anxiolytiques et envoyez la monnaie. Et pourtant, le fonctionnement de tout notre système nerveux est lié à cette petite glande en apparence insignifiante. Cette hormone thyroïdienne va donc agir au niveau  de l’humeur avec un grand H. Les statistiques montrent que les risques de troubles de l’humeur sont multipliés par 7 ( vous avez bien lu !) avec un dysfonctionnement thyroïdien et pas nécessairement un « gros ».

Si on résume, un dysfonctionnement thyroïdien que ce soit lorsque la thyroïde s’active ou se ralentit, va jouer au niveau du moral et du comportement. Personne n’est habilité à juger une autre personne que ce soit un médecin, un collègue, un patron, un ami ou un conjoint. Une personne en souffrance psychologique a besoin d’aide et non de jugement. Lorsque vous voyez une personne que vous connaissez devenir agressive sans raison, pleurer pour un rien, s’énerver pour une broutille, devenir insomniaque ou à l’inverse dormir trop, il faut l’entourer, l’inciter à rechercher un problème de dysfonctionnement thyroïdien, mais surtout ne pas l’enfoncer. Encore une fois, ne pas avoir le moral un jour, être en forme le lendemain est chose courante. Cela ne veut pas dire que la personne est bipolaire, juste que la thyroïde débloque. Pleurer à la moindre critique ne veut pas dire être faible ou folle, juste que la thyroïde débloque. S’énerver pour un oui ou un non n’est pas pathologique simplement que la thyroïde débloque.

On vit beaucoup mieux avec ces dysfonctionnements quand les proches, les Autres le comprennent !

Alors, gardons espoir les papillons … Et passons le message :)

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( 16 avril, 2023 )

L’amour des mots …

Dès que j’ai appris à parler, à faire des phrases, je n’avais que trois ans, déjà j’aimais les mots à tel point que l’on m’avais surnommée « la petite piplette ». Ensuite, lorsque j’ai été capable de poser mes mots sur le papier, ce fut une bénédiction. Enfin, je pouvais me relire, « écouter » ce que je pensais. J’ai rempli des dizaines de carnets qui sont tous au chaud dans un carton, décorés de photos d’une autre époque, couplés de dessins, de citations. Je n’ai jamais cessé d’écrire durant toute ma vie, de remplir des pages et des pages. Je surfe sur l’amour des mots, parce que j’aime leurs sons, leurs musiques. Les mots sont ceux qui donnent du soleil dans la vie, qui mettent de l’extraordinaire dans l’ordinaire. J’aime l’amour des mots, c’est pour cette raison que j’écris chaque jour sur ce blog, des mots, qui parfois ne sont que des mots. N’y cherchez pas nécessairement un sens, parfois il n’y en a pas si ce n’est la partition qui se joue, la danse des phrases, pour ne rien dire ou pour tout dire. Les mots, aimez les mots, juste les mots …

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( 15 avril, 2023 )

Faut-il être compatible pour s’aimer ?

Dernièrement, j’ai jeté un coup d’œil curieux sur l’émission « Mariés au premier regard » et j’avoue que je suis restée perplexe. J’ai trouvé cela préfabriqué, surfait. Je ne remets pas en cause la science et les statistiques, mais l’émission fait fausse, comme si c’était des figurants qui jouaient. En plus, soyons francs, les filles sont sublimes, les mecs plutôt beaux gosses, et comme par hasard la compatibilité à plus de 80%. La seule chose qui m’a plu dans cet épisode, c’est la robe de mariée qui était absolument sublime ! J’ai toujours adoré les belles robes de mariées :)
J’ai donc poussé plus loin mes interrogations, plutôt que de continuer à regarder ces épisodes. Il ressort que la majorité des « candidats » ne sont plus en ensemble et sont vite revenus à un célibat. Après pour s’amuser, pourquoi pas, il ne faut pas oublier que tout est pris en charge de la robe, le maquillage, les chaussures, la fête, bref. … J’ai ainsi découvert que la majorité des couples ordinaires ne sont compatibles qu’entre 50% et 70%, cela signifierait-il au final que la compatibilité n’est pas indispensable pour s’aimer ? Qu’il faut justement cette dissonance qui permet à chaque couple d’évoluer ? À méditer …

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( 14 avril, 2023 )

Ce besoin de perpétuel changement

Je connais de nombreuses personnes qui n’arrivent pas, malgré la cinquantaine passée, à se poser et continuent de vouloir constamment changer de conjoint, d’amis, d’activités … Ce sont des personnes insatisfaites de tout ce qu’elles entreprennent, jamais contentes. J’ai une connaissance en tête qui est branchée sur un site de rencontres en vue de trouver l’homme idéal, qu’elle ne trouve jamais. Côté activités, elle a fait quelques mois de danse, puis est passée à la rando, puis lassée elle s’est tournée vers le yoga. Dernièrement, elle m’a avoué « en avoir assez ». Elle s’est aussi lancée après le covid dans les voyages, mais jamais aucun endroit ne lui plaît ! Toujours une critique acide à formuler.
C’est usant de discuter avec de telles personnes avec ce besoin constant de changement, parce qu’il faut bien le dire, l’idée que l’herbe est plus verte ailleurs; est courante. Seulement, c’est ce désir de persister qui est limite pathologique, comme si la personne voulait se prouver quelque chose.
Peut-on ainsi trouver le bonheur ?
Je sais que tout dépend du concept même de bonheur, mais s’il y a bien une chose dont je suis certaine, c’est que l’herbe est verte où on l’arrose et non en changeant sans cesse de coin de verdure !

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( 13 avril, 2023 )

L’absence d’envie ou pas

Nous sommes dans une société suractive, où il faut avoir envie : envie de bouger, envie de voyager, envie d’être connectés. L’envie est même devenue une valeur commerciale ! Un comble ! Ceux qui n’ont pas envie sont perçus comme des parasites. C’est bien triste ! On a tous le droit à ne pas avoir envie ! L’important est que cette absence d’envie ne perdure pas ce qui pourrait alors se conjuguer avec une forme de dépression.
L’envie est souvent liée à nos émotions. On ne peut avoir envie si on a la tête préoccupée ou un travail trop prenant.
Il est donc important de se libérer de ses chaînes pour avoir envie et surtout de s’autoriser à avoir envie.
Personnellement, il y a des moments où j’éprouve l’envie d’écrire, ce que je fais en ce moment, à d’autres instants ce sera celle de marcher des heures ou de sortir avec des amies. Je peux aussi avoir envie de ne rien faire ce qui est considéré par beaucoup comme une absence d’envie. Mais c’est faux. J’ai juste envie de ne pas avoir envie.
Laissons à chacun cette liberté très intimiste, celle d’avoir le choix de ne pas avoir envie !

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( 12 avril, 2023 )

Humour : J’ai pris un peu de poids, et alors ?

Il faut que cesse les raccourcis concernant le poids, tout comme tous les critères liés à l’esthétique. La beauté parfaite n’existe pas, et je dirais même plus, elle ne peut exister, car chaque individu porte en lui sa propre notion du beau. Alors quand j’entends encore des remarques spécialement en direction des moins de trente ans sur la rondeur des fesses ou le tour de taille, j’ai envie de hurler ! Qui va critiquer un homme avec « un gros ventre » ? Personne, cela semble même normal qu’à partir d’un certain âge les messieurs prennent à cet endroit, mais les dames, elles, n’ont pas le droit d’être enrobées.
Serait-ce oublié ( hormis pour une petite catégorie de la population) que la majorité des femmes prennent bon nombre de kilos lors d’une grossesse, qu’elles perdent rarement surtout si elles s’occupent des bambins, car le goûter reste incontournable. Faut-il rappeler que le cycle hormonal de la femme varie, et de ce fait, cette dernière prendra quelques kilos avant les règles ou pendant pour les reperdre ensuite ?
Et en vieillissant, combien de femmes échappent aux fameux kilos de la ménopause ?
Et après, on va leur demander de rentrer dans une taille 38 bien ajustée ?
Laissons les corps vivre. À certains moments de la vie, on sait qu’on ne va pas y échapper. Plutôt que critiquer, plutôt que se morfondre, accepter simplement ces quelques kilos qui, il faut bien l’avouer, donnent bonne mine ! Et puis, il vaut mieux faire envie que pitié, non ? Que chacun se rassure, une fois que l’on sera dans la boîte, on ne verra plus un seul de nos kilos, alors profitons-en ! Rangez vos balances quelques semaines et cessez de critiquer :)

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( 11 avril, 2023 )

Dysfonctionnements thyroïdiens et vie quotidienne

Depuis le changement d’heure, de nombreuses personnes se plaignent d’un retour de symptômes. Scientifiquement parlant, rien n’est prouvé, et pourtant ! Serait-ce la luminosité qui joue sur la thyroïde, l’heure décalée du traitement ou simplement l’entrée dans le printemps ?
Peu importe au final, on sait tous comme sont pénibles ces dysfonctionnements thyroïdiens qui impactent la vie, qui perturbent le quotidien.
Personnellement, j’ai pris trous kilos en une quinzaine, sans changement alimentaire, sans stress, aussi je m’interroge. Avec se rajoutent la fatigue, la perte des cheveux et les douleurs du dos. Nul doute, ma thyroïde s’est déréglée ! Je sais qu’il va me falloir «  la relancer ». J’ai l’habitude depuis dix ans. Malheureusement, pour beaucoup, le diagnostic de base est compliqué, de nombreux malades attendent des mois avant d’avoir un traitement, simplement parce qu’il existe cette fichue norme dite scientifique, mais qui en profondeur ne veut rien dire. Une tsh dans la norme n’est pas nécessairement synonyme de grande forme et même si les symptômes les plus handicapants ont disparu, d’autres s’accrochent et ne veulent pas partir. Seulement « dans la norme » signifie pour un médecin « on laisse comme c’est, on ne va même pas chercher au niveau des t4 ou t 3. » Les maux sont pourtant là, ils n’intéressent personne et vont parfois pourrir la vie du malade fort longtemps, renforcer par de nombreux petits pics verbaux qui bousillent tels que : «  tout est dans la tête ! »
Et bien non, que chacun se rassure, avoir un dysfonctionnement thyroïdien ne donne pas d’hallucinations, ne fait pas de vous « une folle ». Heureusement ! Par contre, ces mots dits trop vite génèrent une véritable anxiété chez le malade. Et qui dit angoisse dit perturbation de la thyroïde. Il serait temps de comprendre que tout est lié dans cette maladie. La thyroïde est une glande indispensable qui régit ls corps et le mental. Un stress, un choc, un changement de vie va réactiver la thyroïde, en particulier lorsqu’une personne n’a plus de thyroïde ou qu’elle est atteinte d’une maladie auto-immune.
Il est donc indispensable lorsque la vie quotidienne se trouve impactée par des symptômes même peu importants, de penser immédiatement au retour d’une thyroïdite. Les symptômes premiers seront souvent la concentration, un sacré fardeau, invisible, mais tellement lourd. Rien n’est pire que de chercher ses mots, ses idées lorsque l’on présente un projet, de buter sur une date ou un numéro de téléphone, lorsque l’on doit payer et que l’on oublie son code de carte bancaire.
Cela fait peur. Cela angoisse et comme toute situation anxiogène, cela n’arrange pas la thyroïde.
L’apparition de troubles digestifs également, en particulier le syndrome de l’intestin irritable.  De nombreux malades essaient le sans gluten, le sans lactose, des régimes divers, des compléments variées, et pourtant rien n’est vraiment miraculeux pour certaines personnes. Je dirais même mieux, c’est tellement différent selon l’âge, le type de dysfonctionnement, le taux d’anticorps. Trop de personnes pensent simplement à une gastro ou une intoxication, alors que constipation durant des jours ou à l’inverse accélération du transit sont monnaie courante. Et je ne parle même pas des désagréments comme ces « pets » incontrôlés, très mal tolérés par les malades. Les dysfonctionnements thyroïdiens dans la vie quotidien trimbalent aussi leur lot de maux de dos, courbatures plus fréquentes, tendinites, lumbagos, cervicites, un dos qui ne « tient » pas. Sans oublier, les cheveux, la fatigue et les kilos, la bête noire.

Stabiliser ne veut pas dire ne plus avoir de symptômes. Il suffit parfois d’un rien pour que cet handicap invisible reprenne des forces. Les petits symptômes du quotidien ne doivent pas être pris à la légère, même si beaucoup de médecins et de spécialistes pensent que ces dysfonctionnements ne sont pas graves. Ces maux sont invalidants, difficiles à vivre, car souvent imprévisibles. Un jour, tout va bien, le lendemain, tout peut partir en vrille.
Il faut donc rester attentif aux changements afin de profiter au maximum du présent !
Bon courage les papillons

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( 10 avril, 2023 )

Se sentir toujours obligés

Nous sommes conditionnés à faire plaisir aux autres, des restes de notre éducation souvent chrétienne où le don de soi est applaudi. Pourtant, de plus en plus de psychologues incitent à rejeter cette notion de devoir. Nous sommes obligés de vivre au milieu de règles et de lois, pas toujours justes, pas toujours adaptés à ce que nous sommes. Si nous vivons autrement, de manière non conformiste, nous avons toutes les chances de nous retrouver catalogués avec une étiquette : « bizarre », « étrange », « fou », peu importe. Alors pour plaire et nous intégrer, nous allons renoncer à dire nos mots pour éviter de froisser les esprits étriqués. Ceux qui comme moi sont des artistes depuis toujours le savent. Notre petit grain de folie, comme je l’appelle, d’où naît notre inspiration, dérange ! Alors on le cache, on le bride. L’obligation d’être devient un obstacle. Il faut du temps et du travail pour sortir de cette obligation d’être, il faut aussi du courage. Il faut surtout se dire que ceux qui vivent dans cette obligation de « paraître » ne sont pas des personnes que l’on doit admirer, car au fond d’eux brille un petit feu qui se meurt. La seule obligation que l’on doit s’imposer, c’est celle d’être heureux ! Heureux et libre ! Notre créativité, notre imaginaire, ne peut, ne doit, pas être mis en cage ! Ouvrons lui la porte …

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( 9 avril, 2023 )

Être une femme …

On parle beaucoup de féminisme, de libération de la femme, et pourtant être une femme, c’est loin d’être facile même au 21 ème siècle. Les jeunes demoiselles sont toujours sujettes aux préjugés, aux remarques acides sur la façon de s’habiller, sur leur mode de vie.
Être une femme reste presque un tabou. Je pense à une discussion récente en groupe où des adultes racontaient en détails très intimes leur accouchement. La discussion a dévié sur les règles, et là sujet tabou. On n’en parle pas.
Pourquoi ? Il faut que cessent ces préjugés ! Les règles ne sont ni sales ni dangereuses et chacun devrait en parler comme si de rien n’était. Je suis toujours stupéfaite en écoutant des hommes énonçant leur surprise en découvrant le prix des tampons ! Alors oui, c’est une ruine : tampons périodiques, serviettes hygiéniques, culottes périodiques … Une étude a montré qu’en moyenne une femme dépensait 500€ minimum par an pour ces protections. Injustice si on considère que les hommes, eux, vont donc économiser cette somme chaque année. J’ai eu mes règles durant 47 ans ce qui fait une dépense 24 000€ que ne va pas payer un homme !
Tout de même …
Alors, être une femme coûte tout de même bien cher !

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( 8 avril, 2023 )

Exposition art

Ma passion se décline avec expositions …
Aujourd’hui, c’est à Leuville où 3 toiles sont exposées. Pour le « fun » comme on dit, car ce ne sont pas mes meilleures, mais c’est vraiment sympa ces ambiances :)

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